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  • Un rempart naturel contre la désertification et le phénomène d'ensablement

    Un rempart naturel contre la désertification et l'ensablement des oasis marocaines


    Meriem HILALI | 17/06/2020

    Les palmeraies du sud-est du Maroc forment un rempart naturel contre la désertification et le phénomène d'ensablement.Ces dernières décennies, les changements climatiques, la raréfaction des ressources en eau et l’exode rural ont fragilisé l’équilibre de l’écosystème oasien et entrainé la disparition progressive de ces barrières végétales et microclimatiques. En conséquence, le désert a gagné du terrain et les conditions favorables à l’exploitation agricole se sont dégradées, ce qui a affecté négativement les revenus des populations oasiennes.Conscient du problème, le projet d’appui aux Groupements d’intérêt 2conomique pour le développement de la filière Phoenicicole au niveau des oasis marocaines (PAGIE) a pris en compte la dimension environnementale de manière transversale, tout en mettant en place des actions ciblées pour :• Améliorer les techniques des producteurs.trices afin de valoriser la culture du palmier dattier ;• Promouvoir l’entrepreneuriat rural et dynamiser l’économie oasienne.Le premier axe vise le renforcement des capacités techniques des producteurs.trices, selon des principes fondés sur l’agroécologie. Dans ce sens, 160 #formations, ainsi que de nombreuses sessions de sensibilisation ont été organisées au profit de 2000 #agriculteurs.trices. L’objectif est d’améliorer la productivité et le rendement des palmiers dattiers pour renforcer l’attractivité économique de la filière et encourager de cette façon l’entretien et la plantation de palmeraies.Le deuxième axe porte sur la création d’emploi via la constitution de coopératives de services. 14 #coopératives de services ont été créées et équipées avec du matériel adéquat, afin d’assurer des prestations de qualité en matière d’entretien des palmeraies et offrir des opportunités économiques locales. De plus, elles agissent également contre la désertification de manière directe, notamment en installant des barrières fabriquées à base de déchets du palmier dattier pour retenir le sable.Grâce à ces initiatives, en améliorant les conditions socioéconomiques des populations rurales et en encourageant la pratique de l’agroécologie, le PAGIE contribue ainsi à la gestion durable des oasis via la création d'activités économiques viables.


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    Marokko MOR1404711

  • 20 ans d’interventions en zone oasienne

    La coopération belge revient sur ses 20 ans d’interventions dans les Oasis du Maroc


    Meriem HILALI | 17/06/2020

    Cela fait déjà plus de 20 ans qu' Enabel appui ses partenaires pour la sauvegarde et le développement des oasis du Maroc, le dernier rempart contre la désertification.Découvrez en plus au travers de cette vidéo. 


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    Marokko MOR1404711

  • Amuddu renforce sa collaboration avec la société civile afin d’améliorer l’intégration économique des personnes migrantes

    Amuddu améliore l’intégration économique des personnes migrantes au Maroc


    Meriem HILALI | 12/06/2020

    Le projet « Amuddu » concrétise des partenariats avec différentes organisations de la société civile pour renforcer l’employabilité des personnes migrantes au marché de l’emploi et de l’auto-emploi dans les régions de Casablanca-Settat et Rabat-Salé-Kénitra.   Le premier partenariat facilite l’accès aux personnes migrantes à la formation professionnelle avec l’Association Marocaine d’Appui à la Promotion de la Petite Entreprise (AMAPPE). Plus de 50 personnes migrantes se sont inscrites à des programmes de formations professionnelles, tout en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé et des bourses octroyées par l’association. Parmi elles 34 femmes se sont inscrites dans les Centres de Formation et d’Éducation (CEF) et les Centres de Formation par l’Apprentissage (CFA).   En outre, une deuxième convention a été signée avec le Réseau Marocain de l’Économie Sociale et Solidaire (REMESS) afin de mobiliser au moins 10 entreprises labélisées RSE en vue de recruter des personnes migrantes régularisées dans la région Rabat-Salé-Kénitra.Cette  intervention envisage également la sensibilisation de 100 acteurs locaux (associations, pouvoirs publics, organismes d’appui et entreprises privées) sur l’importance de l’intégration socio-économique des migrant·e·s.  In fine, ces acteurs contribueront activement à l’appui des bénéficiaires du projet pour la création des initiatives auto-emploi ou bien dans l’insertion à l’emploi salarié.   Enfin, une troisième convention de subsides avec CARE Maroc a pour objectif de tester des méthodes novatrices, comme le mentorat, afin de mieux accompagner l’intégration économique des personnes migrantes. Dans le cadre de ce partenariat, plusieurs résultats sont escomptés tels que : · la mise à disposition à plus de 50 migrant·e·s d’un plan d’action personnalisé incluant un soutien des pairs issu du secteur privé afin de leur faciliter leur entrée sur le marché du travail. · le renforcement des compétences entrepreneuriales de 20 personnes migrantes ainsi que l’octroi de 20 kits de démarrage aux personnes migrantes leur permettant in fine de créer leur propre activité entrepreneuriale.   Ce projet prévoit également une collaboration étroite avec les services de l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) afin de mieux intégrer l’approche genre dans les services offerts aux personnes migrantes et réfugiées.   Les activités réalisées à travers ces conventions se concrétisent en partenariat avec le Ministère délégué auprès des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'Étranger, Chargé des Marocains Résidant à l’Etranger (MDCMRE), l’Entraide nationale et l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC).


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    Marokko MOR1605211

  • APPUI A LA LUTTE CONTRE LE COVID-19 AU BURKINA FASO

    Appui à la lutte contre le Covid-19 au Burkina Faso


    Kader TAPSOBA | 09/06/2020

    Dans le but de contribuer à une meilleure connaissance des risques liés à la maladie de coronavirus, à une meilleure appropriation des mesures de protection et de lutte contre la propagation de la maladie, Enabel au Burkina Faso à travers le programme de formations, études et expertises (Paaspanga) a lancé le lundi 8 juin 2020 et pour une durée de trois mois, une campagne de communication digitale en collaboration avec la Direction Générale du Développement de l’Industrie Numérique (DGDI) et l’Association des Bloggeurs du Burkina (ABB). Au menu, la publication de capsules vidéo et audio, des interventions d’artistes musiciens et conteurs et un jeu concours sur la page Facebook de l’Association des bloggeurs du Burkina : @BlogeursBurkina.Nous vous proposons de visionner une des capsules vidéo de sensibilisation aux fakenews réalisées dans le cadre de cette campagne de communication contre le Covid-19.


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    Burkina Faso BKF1803311

  • Enabel and the World Food Programme partner to connect Kigoma farmers to market in refugee food assistance - Tanzania

    Enabel and the World Food Programme partner to connect Kigoma farmers to market in refugee food assistance - Tanzania


    Cindy SPIEKART | 08/06/2020

    World Food Programme and Enabel join achievement has been published in the paper edition of "The Guardian" in Tanzania. Here under, you'll find extracts of the article, the full article is available here: https://www.ippmedia.com/en/business/belgian-agency-enabel-team-wfp-offer-kigoma-farmers-marketKakonko, like neighbouring districts, has red soil that turns into a heavy dust during the dry season. When it rains, most of the residents are busy planting maize, cassava, beans, bananas as well as other staple crops. Many of the farmers are dependent of the annual harvest for the majority of their income for the entire year. “Every year we are in the fields working, but the lingering question always is, ‘Are we going to be able to find a buyer?’ and ‘How much will we get,’” says Jackson Christopher, a forty-year-old farmer, born and raised in Kakonko. Kakonko is in Kigoma region, bordering Burundi in the northwest of Tanzania. It is estimated that as a region, over 90,000 metric tonnes of beans – enough to fill 3,000 trucks - are produced in Kigoma each year. Of this, 24,000 metric tonnes are “surplus” and traded within Tanzania, supplying markets such as Dar es Salaam, and in neighbouring regions.For smallholder farmers like Jackson, accessing these markets can be a daunting challenge. Typically, farmers market their produce locally within the village or ward. A buyer might come and purchase the produce, but the prices can be unfavourable for the farmer who is left with little to no other option. For the buyer, receiving consistent quality can be a challenge and transporting the produce up the supply chain can be expensive. “That is why we use a value chain approach to organize smallholder farmers to produce high-quality produce and bring it to market,” said Earnest Musinamwana, Agricultural Marketing Advisor for Enabel – The Belgian Development Agency. Enabel, with funding from the Government of Belgium, works with 15,000 farmers throughout Kigoma region under the Sustainable Agriculture Kigoma Regional Project (SAKIRP). Using a pro-poor value chain development approach, farmers are systematically supported from production all the way through storage and marketing. Access to finance helps farmers purchase various agro inputs like improved and marketable seed varieties, pesticides and fertilizer while training and extension coaching on good agricultural practices helps farmers to maximize the quantity and quality of their harvests. “Our ultimate objective is to increase the income of smallholder farmers in Kigoma region,” said Earnest. “While we work to boost smallholder farmer productivity and reduce their post-harvest losses, the last piece is finding a reliable market for the produce.”"..."The United Nations World Food Programme (WFP) provides, refugees with rations of cereals, pulses (including beans), vegetable oil, specialized nutritious food and salt to meet their daily minimum food requirements. In total, WFP provides food assistance to 230,000 refugees in Tanzania and over one million vulnerable persons in neighbouring countries including Uganda, Democratic Republic of Congo, South Sudan Burundi and Rwanda. Last year, WFP purchased20,000 metric tonnes of food in Tanzania at a cost of nearlt USD 9 million. The food was then distributed in Tanzania and in neighbouring countries. “WFP is a big buyer of food commodities produced locally in Tanzania,” said Michael Dunford, WFP Representative in Tanzania. “In collaboration with Enabel, WFP is now able to help unlock a new market for smallholder farmers in the host community can benefit from WFP’s support to refugees. With the success of this procurement WFP will continue to expand support through more purchases directly from the local community.”With the assurance that WFP would buy their beans, farmers supported by Enabel mobilised themselves to produce a sufficient quantity of beans while meeting the required quality levels. Jackson harvested 18 bags, or about 1.3 metric tonnes of market-grade beans."..."“WFP and Enabel are key partners in this project, providing a catalyst for transforming smallholder farming from a largely subsistence operation into a commercial one,” said Peter Van Acker, Ambassador of Belgium to Tanzania, “and purchasing food directly from smallholder farmers in Kigoma is a great opportunity to support the refugee hosting communities. In my previous capacity as Director of Humanitarian Affairs at the Belgian Ministry of Foreign Affairs and Development Cooperation, I had been struggling with the concept of the nexus between humanitarian and development aid. To see this happening now in Tanzania makes me extremely proud."“For too long, humanitarian and development actors have been working independently one from another. Enabel believes that strengthening the coherence and coordination between humanitarian and development efforts and building on their respective comparative advantages strongly contributes to reduce needs, risks and vulnerability of populations. Supporting the humanitarian-development architecture through local development actions reduces the vulnerability of displaced women and men while it enhances the resilience of communities and systems in hosting countries” said Patrick Gaudissart, Resident Representative of Enabel in Tanzania.About 150 kilometres to the southwest of Kakonko is Tanzania’s largest refugee camp, Nyarugusu. The camp is home to 136,000 refugees, of which 76,000 are from Democratic Republic of Congo and the remaining are primarily from Burundi. Ms. Abilola Tabu Angelique, a refugee from the Democratic Republic of the Congo serves as the President for refugees in Nyarugusu Camp. She has been in Tanzania for 22 years, first at Lugufu refugee camp before being moved to Nyarugusu ten years ago. “We are continually grateful to the Government of Tanzania and to our neighbouring residents for being generous hosts,” said Abilola. “It makes us happy to know that our closest hosts are doing well and able to access the WFP market.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------*The United Nations World Food Programme is the world’s largest humanitarian organization, saving lives in emergencies, building prosperity and supporting a sustainable future for people recovering from conflict, disasters and the impact of climate change. Top donors to WFP Tanzania’s refugee operation include USA, United Kingdom, European Union, Ireland, Canada and Germany. **Enabel is the Belgian development agency. It implements and coordinates Belgium’s international development policy and primarily works for the Belgian State. The agency also implements actions for other national and international donors. Enabel manages about 150 projects, mostly in fragile states in Africa. Enabel has 1,500 staff, of which more than 70% is local personnel. In Tanzania, Enabel is currently active in three sectors: Natural Resources Management/Water/Agriculture in Kigoma region and food security in Arusha Region. 


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    Tanzania TAN1403111

  • Pour la protection de l'environnement

    Focus sur la protection de l'environnement dans la filière phoenicole au Maroc


    Meriem HILALI | 05/06/2020

    La protection de l'environnement est une question d'importance majeure.Elle a des effets sur le bien-être des populations, particulièrement dans les zones oasiennes, qui sont fragiles.Dans le cadre du projet d’appui aux groupement d’intérêt économique pour le développement de la filière phœnicicole dans les oasis marocaines (projet PAGIE), Enabel et ses partenaires ANDZOA, ORMVAT, ORMVAO et ONCA, ont pris en considération cette composante de manière transversale, notamment grâce à deux initiatives :i) l’accompagnement et la formation des producteurs et productrices de dattes sur la protection des écosystèmes oasiens ; ii) l’appui en équipement des coopératives de services et l’installation de systèmes photovoltaïques au sein des unités de valorisation des dattes. 11 unités de valorisation sont actuellement en train d’être équipées de systèmes photovoltaïques. Ce système permettra à la fois de produire une énergie écologique et propre et de réaliser des économies conséquentes sur la facture d’électricité. Ces investissements couvriront ainsi la totalité de la facture énergique des unités, de leurs entrepôts frigorifiques en atmosphère contrôlée ou les caissons négatifs, particulièrement gourmands en énergie durant la saison chaude.22 coopératives de services ont reçu du matériel de production (outillage divers, équipements de protection), qui leur sert à entretenir les palmeraies et à nettoyer les touffes :Les risques d’incendies dans les oasis sont réduits ;Les déchets (palmes sèches) sont réutilisés pour la production de bois de chauffe et de compost naturel ;Les jeunes ruraux organisent la sensibilisation sur l’entretien des champs, l’économie en eau et la revitalisation des terroirs oasiens


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    Marokko MOR1404711

  • Mainstreaming gender in Enabel interventions in the (renewable) energy sector in Mozambique: why and how?

    Mainstreaming gender in the (renewable) energy sector in Mozambique


    Akila MUNIR | 05/06/2020

    By: Evert Waeterloos, Enabel Mozambique Energy inequality and genderThe world today faces a significant energy divide between rich and poor countries, with more than 95% of the world’s population lacking access to electricity and clean cooking facilities living in sub-Saharan Africa and developing Asia. But energy inequality also persists within countries, for instance between income classes or regions, with the majority of people without access to electricity in their home residing in rural areas. For those in rural areas who do have access, lighting and television use account for at least 80% of electricity consumption; only 2% of the rural population uses electricity for cooking. Thus, 2.7 billion people rely daily on traditional biomass and solid fuels for cooking.  The energy divide is also gendered. Women are to a large extent responsible for household and community energy provision. Thus, without access to modern energy services, women and girls spend most of their day performing basic subsistence tasks, including time-consuming and physically draining tasks of collecting biomass fuels. This constrains them from accessing decent wage employment or other livelihood options, educational opportunities, and social and political interactions outside the household. At the same time, cooking with biomass is particularly detrimental to the health of women and children. Illnesses from indoor pollution result in more deaths of women and children annually than HIV/AIDS, malaria, tuberculosis and malnutrition combined. Other important direct gendered health impacts include chronic diseases such as asthma, burns, injuries and violence against women and girls when collecting fuel from remote areas or at night (UNIDO/UNWomen 2013). In the context of the post-2015 development agenda, the UN launched in 2012 the “Sustainable Energy for All Initiative” (SE4ALL). The SE4ALL initiative aims to ensure universal access to modern energy services, double the global rate of improvement in energy efficiency, and double the share of renewable energy in the global energy mix by 2030. The consultation process has led to, among others, a focus on gender when working towards energy for all, and a proposal to extend the SE4ALL objectives with two additional targets: Reducing by half the number of  premature deaths due to indoor and outdoor air pollution; and providing modern energy services to 400,000 primary healthcare service providers in developing countries (UNIDO/UNWomen 2013).  Gender and renewable energy in MozambiqueMozambique ranks 142nd out of a total of 189 according to the UNDP Gender Inequality Index (2018). Of its population of 51% women, 72.2% live in rural areas and 24.1% are household heads. The social sectors of education and health have seen improvements in terms of gender equality and equal opportunities. However, the economic situation has seen limited improvements for the large majority of Mozambicans depending on small-scale agriculture and the informal economy.  A main challenge is that the state and the judiciary are not sufficiently strong to implement legal instruments such as the Family Law and the Law Against Domestic Violence at the local level (Tvedten 2011). Mozambique has a huge energy potential of more than 23 TW. For rural electrification projects, the current technological evolution allows decentralised generation by harnessing renewable energy resources such as sun, wind, water, biomass and geothermal energy. This generation is off-grid at or near the point of use, where the users are the producers -whether individuals, small businesses and/or a local community. Such small-scale generation plants may ideally also be connected with each other or with nearby networks.  Despite the wide range of socio-economic and environmental arguments in favour of such decentralised energy production, policy, legal, technical and financial barriers prevail. Specific examples are poor institutional frameworks and infrastructure; inadequate planning policies; uncoordinated actions in the energy sector; pricing distortions due to the strong subsidy of fossil energies; high initial capital costs of decentralised systems; weak dissemination strategies; lack of consumer awareness, skilled (wo)manpower and baseline information; and weak services and weak maintenance of infrastructures (Vezzoli et al. 2018).It is against this backdrop of access to clean, affordable, sustainable energy in Mozambique to promote economic development, poverty reduction, environmental sustainability and not in the least gender equity, that Enabel has this year sought expert guidance on gender mainstreaming its energy portfolio.  This will include advice on gender-responsive policy frameworks; the promotion and training of women in business management and sustainable energy technology; and the promotion of equitable power relations within households, workplaces and communities. The elaboration of such a systematic approach through the Enabel project “Capacity Development of the Ministry of Mineral Resources and Energy (MIREME) and Energy Regulatory Authority (ARENE)”  is also hoped to inform ongoing and future Enabel interventions in Mozambique on access to water and health and climate change adaptation/mitigation. REFERENCESTvedten, I. (2011) Mozambique Country Case Study: Gender Equality and Development, World Development Report 2012 Gender Equality And Development Background Paper, Bergen: Chr. Michelsen Institute, 30p.UNIDO/UNWomen (2013.) Sustainable Energy for All: the gender dimensions. Guidance Note: https://www.esmap.orgVezzoli, C., F.Ceschin, L.Osanjo, M.M’Rithaa, R.Moalosi, V.Nakazibwe, J.C.Diehl (2018) Designing Sustainable Energy for All. Sustainable Product-Service System Design Applied to Distributed Renewable Energy, Springer, ISBN978-3-319-70223-0


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    Mozambique MOZ1403011

  • Réhabilitation des systèmes d'eau existants à Kindu & Kailo

    Réhabilitation des systèmes d'eau existants à Kindu & Kailo en RDC


    Grâce MALI FAIDA | 03/06/2020

    La réhabilitation et l’extension des systèmes d’eau potable existants dont RVA dans la ville de Kindu et Kailo dans le territoire de Kailo, ont été exécutées par le projet depuis le second semestre de 2019 et présentement, ces deux réseaux sont opérationnels à la satisfaction des populations bénéficiaires. Après signature des contrats de travaux en date du 20 mars 2020 pour les travaux de construction d’ouvrages hydrauliques des systèmes d’adduction d’eau, dans les quartiers péris urbains de la ville de Kindu (réseaux Big five, Basoko et Kabasoga) ainsi que dans la Cité de Lokando et son camp militaire, ont aussitôt démarré pour un délai contractuel d’exécution de 18 mois. Ces différents réseaux une fois mis en œuvre vont approvisionner une population de 110 000 habitants. Une innovation attendue ; la production sera à l’énergie solaire, pour un coût de production moindre et un impact climatique, logistique diminué (en back up un générateur sera présent pour les journées nuageuses ou de fortes consommations.) Une convention de subsides a été signée le 23 mars 2020 avec l’ONG locale UWAKI Maniema. Tenant compte du moment, il a été recommandé à cette ONG de s’atteler aux activités adaptées aux mesures de protection contre le Covid-19 telles qu’encourager l’utilisation des Dispositions de Lavage des Mains, des savons de qualité & meilleur marché, la diffusion des messages de sensibilisation sur les gestes barrières, … Une Unité de production de l’hypochlorite de sodium par énergie solaire pour la potabilisation de l’eau distribuée par l’ASUREP RVA vient de démarrer. Un appui pour les centres de santé est envisagé pour la décontamination des lieux d’isolement dû au Covid-19.Le projet vient de remettre officiellement au Comité provincial de riposte contre le Covid-19/Maniema, des masques de protection en tissu confectionnés localement.Toutes ces actions sont intégralement financées par le Gouvernement belge, celles-ci viennent résoudre les problèmes d’accès durable à l’eau potable de ces populations, ainsi que l’amélioration de leurs conditions d’hygiène et d’assainissement


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    DR Congo RDC1418811

  • Covid-19 : Le Kasaï-Oriental produit 2.000 masques en tissu

    Covid-19 : En RDC, le Kasaï-Oriental produit 2.000 masques en tissu


    Grâce MALI FAIDA | 03/06/2020

    Depuis le déclenchement de la pandémie du Covid-19 en RD Congo, le taux de contamination ne cesse d’augmenter. Dans un pays où le système de santé est fragile, nous nous sommes engagés dans la lutte collective contre le virus.Face à la demande grandissante durant cette période d’urgence sanitaire, la production des masques en tissu s’est imposée. En effet, disposant des filières de production locale de savons au Kasaï- Oriental, cette dernière a réadapté la production de savons en production de masques. L’initiative a pour objectif de confectionner et de distribuer 5000 masques au travers du Programme Santé Enabel, en support à la riposte à Kinshasa. D’ailleurs, on peut aussi ajouter que le Programme Eau Maniema appuie aussi la riposte à Kinshasa en se prêtant à la confection de masques.Conscient que le port du masque est primordial à la riposte, on a suivi toutes les recommandations selon les normes internationales afin d’accompagner ces filières dans le processus de fabrication.Le Programme Eau Kasaï- Oriental à Mbuji Mayi dispose désormais de 2000 masques. L’obligation du port du masque est une des mesures de lutte contre la propagation du Covid-19 mais elle doit s’accompagner de messages de sensibilisation.S’appuyant sur notre expertise en matière d’hygiène et d’assainissement, une vaste campagne de prévention est initiée afin de sensibiliser les populations à adopter les bons gestes barrières.La vulgarisation continuera tant qu'il n'y aura pas encore de vaccin afin de vaincre ensemble cette pandémie. 


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    DR Congo RDC1620211

  • Première édition de la newsletter trimestrielle de l’intervention e-TAMKEEN

    Consultez la 1ère édition de la newsletter trimestrielle de l’intervention e-TAMKEEN - Maroc


    Bassam ALAOUI MDAGHRI | 01/06/2020

    Lancement de la première édition de la newsletter trimestrielle de l’intervention e-TAMKEEN, un projet de renforcement des compétences des fonctionnaires au niveau central et local en matière de digitalisation. Consultez la newsletter via ce lien: https://bit.ly/2x26qcm 


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    Marokko MOR1688811

  • L’intégration des filles et fils grâce la formation professionnelle

    Filières du safran au Maroc: l’intégration des enfants de producteurs grâce la formation professionnelle


    Meriem HILALI | 28/05/2020

    Afin de faciliter l’intégration économique des fils et filles de producteurs, la formation professionnelle a été améliorée grâce à l’élaboration d’un guide et de fiches techniques ainsi que des films pédagogiques. Deux centres de qualification sont opérationnels et 131 apprentis ont été formés.Découvrez en plus à travers cette vidéo. 


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    Marokko MOR1204311

  • Une attention particulière à l’intégration des femmes

    Filières du safran au Maroc: une attention particulière apportée à l’intégration des femmes


    Meriem HILALI | 28/05/2020

    Le projet de développement des filières du safran et du palmier dattier dans les régions de Souss-Massa et Drâa-Tafilalet a accordé une attention particulière à l’intégration des femmes dans les organisations professionnelles et à l’amélioration de leur positionnement dans les filières. Plusieurs actions spécifiques au genre ont donc été mises en place pour améliorer les conditions des femmes rurales, telles que la lutte contre l’analphabétisme et la promotion de l’entrepreneuriat féminin à travers la formation professionnelle. À l’issue du projet, 1237 femmes ont été alphabétisées dont 304 femmes grâce au projet TIGHRI et de nombreuses coopératives ont élu au moins une femme au sein de leur conseil d’administration. L’adoption de l’approche genre en agriculture a facilité l’accès des femmes aux actions du développement agricole, réduit les écarts entre les hommes et les femmes et amélioré leur situation économique par la création d’activités génératrices de revenus.Découvrez en plus à travers cette vidéo. 


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    Marokko MOR1204311