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  • EQUITE : Ensemble pour une Qualité des soins Inclusive et Transparente, orientée vers l’Egalité genre

    EQUITE : Ensemble pour une Qualité des soins Inclusive et Transparente, orientée vers l’Egalité genre


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    L’Agence Française de développement (AFD) en concertation avec l’Etat béninois a décidé de confier la mise en œuvre du Projet «EQUITE»  à Enabel, présente au Bénin dans le secteur de la santé depuis 20 ans. D’un montant de onze (11) Millions d’Euros,  cette intervention se focalise sur les Maladies Non-Transmissibles (MNT), les Soins Obstétricaux et Néonataux d’Urgence (SONU), le genre, le renforcement des Ressources Humaines en Santé (et les institutions de formation) et le développement du système de santé local au niveau des Zones Sanitaires (ZS) et Directions Départementales de la Santé (DDS) appuyées. L’intervention proposée comprend un objectif transversal de réduction des inégalités femmes/hommes, qui se traduit par la mise en place d’activités spécifiques dans chaque sous-composante de l’intervention:Composante 1 : Rendre disponibles des services de santé promotionnels, préventifs et curatifs de qualité SONU et MNT, en tenant compte des besoins spécifiques des femmes, des adolescent(e)s et des enfants dans les Collines et au niveau du pôle pédiatrie du CHD du Borgou avec une meilleure  redevabilité envers les patients. Composante 2 : Renforcer les capacités du  personnel soignant disponible et mieux former en tenant compte des enjeux de genre dans les formations sanitaires. Composante 3 : Renforcer les capacités techniques et la gouvernance des institutions partenaires du projet, dans le respect de l’égalité femmes/hommes des structures ciblées par le projet. Ambitions du Projet : « EQUITE »L’objectif général est de contribuer à l’amélioration de la santé des populations du Bénin en particulier les plus vulnérables, en visant l’égalité femmes/hommes. L’objectif spécifique vise à ce que la population du Bénin dispose d’une offre de soins intégrée de qualité pour les Soins Obstétricaux & Néonatals d’Urgence (SONU) et les Maladies Non Transmissibles (MNT), en tenant compte des besoins spécifiques liés au genre, principalement dans le département des Collines et au niveau du pôle pédiatrie du Centre Hospitalier Départemental du Borgou. Zones d’intervention - Le département des Collines qui comprend trois zones sanitaires (ZS) : Les Zones Sanitaires Dassa-Glazoué (DAGLA), Savé-Ouèssè (SAO), Savalou-Bantè (SABA). - Le service de pédiatrie du Centre Hospitalier Départemental (CHD) du Borgou - Les institutions de formation (IFSIO à Parakou, INMES à Cotonou).Résultats attendus de la Composante 1 ·         Amélioration du Plateau Technique avec acquisition et maintenance des équipements biomédicaux ; ·         Mise en place de la démarche qualité dans l’ensemble des formations sanitaires appuyées ciblant les services SONU et MNT comme ‘services traceurs’ ; ·         Renforcement de la disponibilité des produits sanguins labiles au niveau des formations sanitaires ; ·         Amélioration de l’offre intégrée des services promotionnels, préventifs et curatifs des MNT ; Mise en place d’un dispositif de redevabilité patient (Plateformes des Utilisateurs des Services de Santé (PUSS) et un appui à la structuration de la demande au sein des zones sanitaires (ZS). Résultats attendus de la Composante 2 ·        Deux instituts de formation d’infirmiers et de sages-femmes du pays, l’Institut National Médico-sanitaire (INMeS) situé à Cotonou et l’Institut de Formation en Soins Infirmiers et Obstétricaux (IFSIO) situé à Parakou sont ciblés par cette intervention.  De nouvelles formations de qualité seront créées dans ces deux institutions pour pallier l’insuffisance du personnel soignant au Bénin dans certaines spécialités. Des bourses pour les étudiants seront accessibles de façon équitable (femmes/hommes) afin de lever l’obstacle financier rencontré précédemment pour l’accès à des masters ;  ·         Une politique de stabilisation des ressources humaines formées est développée afin de limiter le turnover du personnel ou réduire son impact en remplaçant du personnel formé. Dans cette politique de stabilisation, le projet travaillera avec les acteurs des SYLOS (Systèmes locaux de santé) à améliorer les conditions de vie et de travail pour le personnel travaillant des zones rurales enclavées.   Résultats attendus de la Composante 3 ·        Les capacités du Ministère de la Santé (MS, de la DDS et des ZS des Collines), de l’IFSIO et de l’INMeS sont renforcées pour appuyer : o   i) la mise en œuvre de la stratégie genre au niveau départemental ; o   ii) l’intégration du thème de l’environnement/lutte contre le changement climatique dans toutes les stratégies sectorielles ;  o   iii) l’opérationnalisation des stratégies MNT & SONU au niveau départemental ; o   iv) la gestion rationnelle des équipements et infrastructures.   o   Au niveau local, un audit organisationnel et de capacités incluant un plan d’actions et des indicateurs de suivi est réalisé en début de projet au niveau de la DDS et des ZS afin d’améliorer leur performance pour le pilotage et la gestion du système local de santé.


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  • Appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine

    Appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    La Police Nationale et la Gendarmerie, deux corps d'armée initialement distincts en République du Bénin avaient fusionné en décembre 2017 pour donner naissance  à une Police républicaine en application de la Loi N°2017-41 du 28/12/17 portant création de la Police Républicaine. Cette réforme, qui s’inscrit dans une dynamique globale nationale de lutte contre la corruption, de la recherche d’efficience pour une orientation  « client » est l'occasion du lancement de grands chantiers tels que la digitalisation, la revue du cadre organique de la nouvelle organisation et l'amélioration de la couverture nationale. La Belgique ayant opéré cette fusion,  a décidé de s’investir de manière significative aux côtés des acteurs de la sécurité nationale béninoise, afin d’appuyer l’opérationnalisation de cette nouvelle institution.Ambitions du programme PAOPL’ambition est de définir et de compléter le cadre organique et la couverture territoriale de la Police Républicaine ; d’améliorer le contrôle qualité des différents processus et d’élargir le soutien à la Police Républicaine. L’objectif général est de promouvoir l’avènement d'une société pacifique et ouverte à tous aux fins d'un développement durable, d’assurer l’accès de tous à la justice et  de mettre en place, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous. L’objectif spécifique est d’appuyer l’opérationnalisation de la Police Républicaine.Résultats attendus de l’interventionLe concept de Police communautaire est développé et mis en œuvre. Ce premier résultat ne pourra être atteint qu’à travers plusieurs actions concernant (i) l’amélioration de la couverture territoriale des Commissariats d’arrondissement, (ii) le renforcement des capacités de projection des policiers dans leur territoire  (iii) le renforcement des mécanismes d’appui, de suivi et de contrôle des commissariats d’arrondissement (iv) le développement et la mise en œuvre du concept de Police Communautaire, (v) amélioration des fonctions de base des commissariats d’arrondissement.Les phénomènes prioritaires locaux liés à la délinquance informatique sont mieux gérés. Il s’agira pour atteindre ce deuxième résultat de : (i) définir le rôle et le cahier des charges des différents services, (ii)  renforcer les capacités en matière d’analyse criminelle et de planification stratégique, (iii) d’appuyer à la mise en œuvre du plan de lutte contre la cybercriminalité, la création de partenariats et de développement de réseau  (iv), et l’appui à l’accueil et l’accompagnement des victimes.La Gestion des Ressources Humaines, et de son axe formation, sont renforcés. Ce troisième résultat sera atteint grâce à un (i) appui à la gestion et à la planification du personnel de la Police Républicaine, (ii) la prise en compte du genre dans le recrutement et la gestion du personnel, (iii) la finalisation des formations statutaires et à la constitution du répertoire des formateurs, (iv)  l’amélioration des processus de Gestion des Ressources Humaines avec le développement de la formation continue, (v) le recueil et la prise en compte des besoins des policiers, (vi) la création de partenariats externes et mise en réseau des structures de formations.


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    Benin BEN19011

  • A year later: slowly recovering from Idai, but shielding from Covid-19

    Mozambique: A year later: slowly recovering from Idai cyclone, but shielding from Covid-19


    Akila MUNIR | 06/04/2020

    By Evert WAETERLOOS, Enabel MaputoOn March 15th last year, a major humanitarian crisis hit Mozambique. Cyclone Idai brought heavy rains and floods to the provinces of Tete, Manica, Niassa, Zambezia and Sofala, and destroyed most of the city of Beira (see Van de Velde, A. and E.Waeterloos ‘Climate and energy crises in Mozambique: time to refuel the debate?’ on open.enabel.be April 2019). Mozambique and Belgium have ongoing collaboration projects in capacity building for sustainable access to energy, with an emphasis on renewable and decentralised energy for rural areas in the provinces of Zambezia, Manica and Sofala. Partners are the Ministry of Mineral Resources and Energy (MIREME), selected Provincial Directorates of Mineral Resources and Energy (DIPREME), the new National Energy Regulatory Authority ARENE, and the Energy Fund FUNAE. Idai caused significant damage to the DIPREME offices in the cities of Beira (Sofala) and Chimoio (Manica); windows and roofs were blown away causing considerable water damage to the IT Equipment. To support MIREME at national and provincial level in its reporting and planning tasks, Enabel responded positively to the request to replace the necessary equipment in both provincial DIPREME offices, and to improve the internet connectivity between the central and provincial offices. This support was also deemed urgent, as it provides the basic infrastructure for the presently ongoing financing of an integrated country-wide IT platform for energy data management in MIREME. In collaboration with the IT technicians of MIREME, appropriate equipment and services were identified, assessed and sourced through public procurement. All IT material was eventually sourced through local suppliers. These face sometimes challenges with stock and foreign exchange management, as well as security risks with transport, as threats of armed attacks along the main highway linking Maputo with the central provinces resurface regularly.  In addition, setting up all systems locally proved to be a challenge as well. Building repairs in the provincial offices took place at the same time, as the necessary budget allocations from central government were delayed. And as local DIPREME internet capacity failed for the installation of software downloads, a solution was found in temporarily borrowing the project modem from Enabel. However, in the end and unfortunately later than planned, all equipment was delivered and installed as designed by the partner’s technical team, and are now able to run promising IT applications for improved communication and reporting in the near future.   With the promised aid for recovery from last year’s Idai disaster trickling in only very slowly from different corners, Mozambique is facing a new disaster. Because of the Covid-19 pandemic, a state of emergency of 30 days has been declared as from April 1st.  The state of emergency intends to restrict movements to reduce transmission of the disease, which at present stands at 10 officially confirmed cases out of around 360 tested. While this is not yet a full lockdown, there is an intense debate of the possible impact on livelihoods of a total lockdown such as the one in neighbouring South Africa with 1655 confirmed cases and 11 deaths. With the degree of poverty and informal or low-grade urbanisation prevailing in Mozambique, most people live from day-to-day without money or food reserves, in self-built houses, in close vicinity of each other, and without access to proper water and sanitation. This renders the idea of a preventive forced isolation unfeasible. Unless it is accompanied by extraordinary compensatory public services and costly crisis measures. However, the alternative of the same poor households having to cope with an exponential growth in sick and dying people because of a weak health system - with an officially reported 22,000 test kits available only - is equally undesirable. The delayed release of the Government of Mozambique’s new 5-year plan 2020-2024 has allowed a last-minute inclusion of additional management and resilience promotion activities in view of the increased risk of natural and man-made disasters. At a meeting with donors last week, government asked for US$703 million to fight Covid-19. However, part of it is requested as budget support and the majority of the resources are earmarked for the construction of district hospitals promised during last year’s election campaign. The resumption of budget support is not likely since donors stopped it in 2016 when secret public debts to the tune of US$2 billion were revealed. Hence, additional or ahead of schedule-financing of the common fund for the health sector PROSAUDE - of which Enabel manages technical assistance in Public Finance Management financed by Flanders - is a valid alternative being considered. Meanwhile, the promotion of emergency measures in the formal public and work places is necessary to reduce the risk of a rapid spread of the pandemic. However, it is clear that in the case of disasters such as these, Mozambique’s poor populace is again caught between a rock and a hard place. Their precarious livelihoods do unfortunately not leave much room for increased risk aversion practices. These are reminders that development cooperation needs to address both emergency situations as well as the structural causes of inequality in the face of such emergencies.


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    Mozambique MOZ1403011

  • Le projet Amuddu contribue à l’économie sociale et solidaire territoriale en promouvant le rôle de 13 femmes migrantes entrepreneuses

    Le projet Amuddu contribue à l’économie sociale et solidaire territoriale en promouvant le rôle des femmes migrantes entrepreneuses


    Clara HUYGHE | 02/04/2020

    6 coopératives de personnes migrantes à Casablanca ont été accomapgnées dans le cadre de la mise en œuvre du projet Amuddu de concert avec ses partenaires, l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) et l’appui de l’Office du Développement de la Coopération (ODCO), à travers l’accompagnement et la mobilisation communautaire de proximité déployée par ses 4 agent.e.s communautaires.En effet, grâce à l’accompagnement et la mobilisation communautaire assurés par les agent.e.s communautaires, équipes opérationnelles et de proximité du projet Amuddu, ainsi que des partenaires institutionnels de référence sur ce domaine -l’ANAPEC et l’ODCO-, six coopératives sont accomapgnées à Casablanca, couvrant les secteurs des services, notamment la restauration et l’artisanat. Il s’agit des coopératives :  Grillade Party (5 membres du Gabon, Cameroun et Congo) Food Ivoire (5 membres de Côte d’Ivoire) Chez Maman Nathou (5 membres de Côte d’Ivoire) Ezer Coiffure (5 membres de Côte d’Ivoire) AB (5 membres du Congo) AKWABA (5 membre de Côte d'Ivoire et Sénégal)Accompagnées par des collaborateurs Enabel, agents communautaires du projet Amuddu, ces premières coopératives de service ont vu le jour entre février et mars 2020. C’est au travers d’ateliers de création de coopératives, organisés en partenariat avec l’ANAPEC et l’ODCO, que les coopérant.e.s ont été informé.e.s sur les modalités et procédures à suivre puis accompagné.e.s jusqu’à la création juridique et administrative de ces entités.  Désormais, ces groupements économiques seront intégrés dans le processus d’accompagnement prévu dans le cadre de l’intervention Amuddu, visant des actions de renforcement de capacités allant de formations en gestion jusqu’aux ateliers dédiés aux techniques de commercialisation et en passant par d’autres thématiques telles que le réseautage et le marketing.


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    Marokko MOR1605211

  • Sessions de formation des formateurs en genre et développement des organisations de la société civile de la région de Koulikoro

    Formation de formateurs en genre et développement des organisations de la société civile de la région de Koulikoro


    Nènè TRAORE | 01/04/2020

    La ville de Fana a abrité pendant dix jours deux séances de formations des formateurs en genre et développement à l’intention de vingt personnes des organisations de la société civile de Koulikoro. Facilitée par l’ONG Internationale « Le Monde selon les femmes », cette formation visait à renforcer les compétences du personnel de différentes organisations afin de constituer un vivier de ressources humaines compétentes en genre et développement. Elle envisageait par ailleurs de contribuer à l’amélioration de la prise en compte de la problématique genre dans les projets et programmes de développement dans la région de Koulikoro.Découvrons d’avantage les thématiques abordées dans la vidéo.


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    Mali MLI1604711

  • Le personnel de l’Entraide Nationale -service social publique- améliore ses compétences digitales

    Le personnel de l’Entraide Nationale -service social publique- améliore ses compétences digitales


    Clara HUYGHE | 27/03/2020

    Les capacités des ressources humaines des centres de formation relevant de l’Entraide Nationale (EN) à Rabat ont été renforcées en matière de digitalisation (gestion informatique). Cela permettra, entre autres, d’améliorer la remontée de l’information sur le nombre de personnes migrantes bénéficiant des services de l’Entraide Nationale à Rabat et de favoriser l’utilisation de contenus multimédia lors des cours de formation professionnelle offerts par cette institution.Organisée dans le cadre du projet Amuddu, cette action de formation a permis de former 12 personnes, parmi elles 5 femmes et d’améliorer la mise à niveau informatique des ressources humaines des centres de formation par apprentissage de l’Entraide nationale. Ensemble avec les apprentis marocains, cette institution accueille également des personnes migrantes souhaitant apprendre un métier de manière pratique.La formation informatique dispensée contribuera ainsi à favoriser un meilleur suivi, rapportage et remontée de données statistiques au niveau central sur le nombre d’apprentis et leurs profils, ainsi qu’une meilleure utilisation de l’outil digital dans l’animation des cours de formation professionnelle au profit des bénéficiaires, y inclus les personnes migrantes.À l’issue de cette formation action, Madame Ghizlane Messrour, directrice du centre de formation par apprentissage (CFA) de l’Akkari à Rabat souligne que ; « l’appui d’Enabel est très important, grâce à ce matériel et à la formation, nous allons pouvoir améliorer nos services aux apprentis y compris les migrants ». Cette action de formation a été complétée également par la dotation d’équipement informatique pour plusieurs centres de formation à Rabat, Salé, Mohammedia et à Casablanca.En outre, cette initiative s’inscrit dans un processus plus large visant le renforcement de capacités inhérent à l’amélioration du système de monitoring de l’EN, notamment en ce qui concerne la dimension migratoire. Dans ce cadre, une sensibilisation des points focaux « migration » au niveau des coordinations de l’institution à Rabat et Casablanca a été réalisée précédemment afin d’améliorer le travail de suivi de l’Entraide nationale en ce qui concerne la Stratégie nationale d’immigration et d’asile. 


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    Marokko MOR1605211

  • CHRIS AND YUDATA, TWO SKILLED WELDING EXPERTS LIVING THEIR DREAMS

    CHRIS AND YUDATA, TWO SKILLED WELDING EXPERTS LIVING THEIR DREAMS


    Racheal AKELLO | 18/03/2020

    At Bwendel Diary and Fabrication farm in Hoima, the duo Chris Byamukama, and Yudatha Agonzebwa, both graduates of St. Simon Peter's Vocational Training Institute in Hoima, are busy carrying out assigned tasks. Bwendel, 23, grew up in Kyangwali seeing many of his seniors operate machines at a nearby printery. To him this was magic. This affected his craving to become a teacher. “I always wanted to do something practical and sophisticated,” he says.  His dream turned into reality when he chanced upon a radio announcement that was mobilizing for the enrolment of students in vocational training in Hoima. “When I came here, I wanted to become a motor vehicle mechanic but the course did not seem so “hi-tech” so I settled for welding because of the opportunity presented by the construction boom in the town and availability of machinery at the training institute,” he affirms.The story is not very different for Yudatha. The 21-year-old lady wanted to be either an Electrical engineer or a teacher.   This decision became easier to make when the principal of St. Simon Peter's VTI Hoima, passionately gave a lecture on skilling at her local church after mass. “This motivational talk about ready employment particularly enticed me to quickly make a decision,” she says with a smile. Out of over 40 students who were on an internship, four interns were retained for employment at Bwendel and Yudatha was the only lady. The duo earn UGX 240,000 ($80) per month and Yudatha dedicatedly spends half the money to her young sister’s school fees. Chris is saving up to realise his dream of venturing into real estate (rentals) in the far future. He believes that rental space is easy to manage and he has the skill to do part of the work needed.Yudatha and Chris said that their biggest challenge is that they work 7 days a week and have no time to run personal errands. They, however, believe that the chance and opportunity to gain employment immediately after school has given them the needed exposure in the world of work. 


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    Oeganda UGA1402711

  • ELIZABETH MUKONYEZI, THE DOUBLE EMPLOYED CATERER.

    ELIZABETH MUKONYEZI, THE DOUBLE EMPLOYED CATERER.


    Racheal AKELLO | 18/03/2020

    Liz, as she prefers to be called, is 23 years old and is employed as a chef at Karibuni fast food restaurant and bar in Hoima. Two weeks before this interview, she had opened a roadside fast food business selling potato fries and roasted sausages.   The agile chef from Kiombozi Hoima, earns UGX 150,000 (USD 35) per month as salary from her regular job at Karibuni Restaurant, but was also able to save some money for 6 months before she ventured into her own food business.  “I only set up my roadside restaurant when I break off from work in the evening and I’m happy it supplements my income,” she says.Her dream of becoming a chef did not materialize on a silver platter. She had wanted to become a nurse but she did not pass her core science subjects to qualify for a nursing certificate course.  Catering was her only available next option.  She then counseled herself and enrolled. She says that she does not look back with regret because her choice is paying off well.She adds that at first it was boring to be a cook but she was motivated by the fact that the food business needs little capital to start, has a readymade market and a non-limited number of customers. “You see, everyone, whether poor or rich has to eat; you just have to position yourself well where your product can sell,” she affirms.Liz was exposed to an environment where girls are particularly skilled to compete favorably in a male-dominated world. She says that her roadside business has provided her with an environment to learn extra skills like budgeting and accounting for resources, managing sales and costs of production plus others related to running a business.Like most business people, Liz has a dream of growing bigger in business.  The present challenge is that fact the tax collectors who collect market dues want all the little money she makes but she adds that she has endured knowing that tomorrow will be better.   Millennium Business School, which is located in the Western region of Uganda in the district of Hoima, mainly specializes in Catering and Hospitality, Hairdressing and other female-dominated trades. 


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    Oeganda UGA1402711

  • Formation pratique à la maintenance préventive des installations de back-up de l’énergie solaire au profit des Centres d’Enseignement des Métiers au B

    Formation pratique à la maintenance préventive des installations de back-up de l’énergie solaire au profit des Centres d’Enseignement des Métiers


    Etienne RODENBACH | 10/03/2020

    Dans le cadre du Projet ACFPT, Enabel, l’Agence Belge de Développement, appuie les Centres d’Enseignement des Métiers en investissant dans des infrastructures ciblées dont des installations de backup de l’énergie électrique et solaire pour améliorer les conditions d’accueil et permettre aux établissements d’offrir une formation de qualité dans de bonnes conditions. Les installations de back-up de l’énergie ont été installées dans 10 centres d’enseignement des métiers bénéficiaires du projet afin de garantir un service continu au niveau de l’administration du centre et des salles Multimédias que le Projet a mis en place afin de faciliter la mise en application progressive des apprentissages à travers les outils digitaux et réduire la fracture numérique de l’Enseignement professionnel et technique. La formation donnée par l’entreprise prestataire ENERSOL au cours du mois de février 2020 visait l’accès aux principes de base de fonctionnement du système et à la recherche de panne (aide à la lecture et compréhension du schéma du système, description des différents éléments, leur utilité, les différentes pannes possibles, les risques liés à l’électricité, la théorie sur les batteries, sur les panneaux photovoltaïques et sur les régulateurs et onduleurs) et la maintenance préventive (principe de base d’un calendrier de maintenance, intérêt et compréhension, l’utilisation d’un multimètre indispensable pour déceler une panne). La formation a suscité un vif intérêt des techniciens de maintenance des centres pour une technologie nouvelle mais aussi des directeurs des centres face aux enjeux de réduction des charges de l’énergie pour le centre.  Enabel, contribue à l’élargissement des perspectives d’accès à une formation de qualité pour les jeunes burundais voulant accéder à un emploi de qualité et sécurise un environnement de travail optimal dans les centres prioritaires. 


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    Burundi BDI1307811

  • Skills training turns South Sudanese refugees to constructors

    Skills training turns South Sudanese refugees to constructors


    Ibrahim OGARAM | 10/03/2020

    They are working tirelessly under the hot sun. On right hand side, some of them are mixing sand. Others are placing sand on the house foundation.  On the left-hand side, a few are picking bricks from different locations. This is a group of young south Sudanese refugees and host communities’ members.  Early, last year, many of them had no construction skills. They were staying in the settlements without any source of income. The same year, an opportunity to train  was availed to them. They applied for the training in construction.  After training for six months, the youth opened a construction group called Yoyo young talent builders and carpentry association in November,2019.  They are among hundreds of young refugees and host communities who have been training under the skills development component under Enabel under the European Union emergency fund for northern Uganda. The project aims to equip the youth with skills so as to improve their livelihoods. According the group’s deputy chairperson, Francis Wani, a south Sudanese National, their group consists of 16 members.  The 9 members are from the host communities and the other 7 from the refugee communities. After training, the group applied for a building grant with Peace wind Japan to construct houses for people with special needs. They received the contract. In January, they received shs 1m. Later in February, they received another payment of shs 1.5m. Then most recently, they received another payment of shs 2m. Out of these payments, Wani says, each member is able to get shs 120,000. They use the money to buy household items including clothes. Wani who apparently stays with his elderly parents uses the money to support his young siblings with scholastic materials.  Wani says they are determined to build houses for fellow refugees in the settlement in Yoyo settlement in zone III. So far, they construct over three houses and handed it over to people with special needs. The group hopes to expand their construction group by buying more tools.  They have expanded their group by incorporating other youth. Wani says, they are employing other youth as casual labourers. According to the local authorities, the youth have been able to provide descent houses for people with special.  “So far, we have built five houses in the settlement. We work as a team. We are dedicated because this is our source of income.” Says wani  The group has been registered with the local authorities at the settlement. Their dream is to open bank account and train more in financial management so as to improve their business ventures. They also hope to become a bigger company.  


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    Oeganda UGA160321T

  • Enabel partners with Uganda’s leading telecommunications provider MTN to equip St. Daniel Comboni Polytechnic ICT Laboratory

    Enabel partners with Uganda’s leading telecommunications provider MTN to equip St. Daniel Comboni Polytechnic ICT Laboratory


    William YEKA | 28/02/2020

    Students of St. Daniel Comboni Polytechnic in the North Eastern district of Moroto are set to benefit from a fully furnished ICT lab courtesy of the MTN Foundation in partnership with the Belgian development agency, Enabel. The MTN Uganda Foundation which is the corporate social responsibility arm of MTN Uganda, in partnership with Enabel, a bilateral agency that implements and coordinates the international development policy of Belgium have extended support to vocational institutes through the provision of computers and fast internet connection.This is expected to partly contribute to the fulfillment of the aspirations of the 10-year BTVET strategic plan called “Skilling Uganda” and ultimately result in the equipping of youth with the skills needed for employment and job creation in order to eradicate poverty.  The laboratory will also support and provide educational services to students from neighboring communities. MTN Uganda renovated and repainted the laboratory, donated 10 computers connected to high speed internet connectivity and a digital learning platform. Other beneficiaries include; St Simon Peter’s Vocational Training Center in Hoima and Amelo Technical Institute in Adjumani district which were refurbished and commissioned last year. Speaking at the commissioning of the laboratory at St. Daniel Comboni Polytechnic in Moroto, Mr. Wim Vanhelleputte, the Chief Executive Officer MTN Uganda said that: “The aim is to skill Ugandan youth for the 21st century job market by enabling them to access technical and vocational information online through open education resources for skills development.” Vanhelleputte further noted that the decision to support vocational institutions was based on the fact that vocational training was found to be an effective way of addressing unemployment, which is a major issue for the youth in Uganda today. The Ambassador of the Kingdom of Belgium to Uganda H.E Rudi Veestraeten noted that his country and Ireland have close to 5 years heavily invested in skills development through supporting the implementation of the skilling Uganda strategic plan. The laboratory, he said, will address some of the challenges that vocational institutes currently face.“Although ICT has been formally integrated into the Business, Technical, Vocational Education and Training curriculum, Vocational Institutes lack general computer equipment, trained ICT staff and ICT content and programmes,” he said.       The Director for Higher Education at the Ministry of Education and Sports, Mr. Oceng Odok Robert lauded MTN Uganda and Enabel for supporting government initiatives through supporting the education sector. “As we are all aware, today, the role of ICTs in education cannot be under estimated. ICTs play a critical role of shaping the desirable 21st century work and life skills,” he said. Fr. Jude Kiggala, the Principal of the Institute said the laboratory will enable them to embrace modern technology to keep up with the ever-evolving trend so as to provide a workforce befitting the 21st century.       “Instructors will use the lab to source information to better the quality of their trainings, understand the latest trends in their respective fields then align their trainings accordingly.” Fr. Kiggala said.


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    Oeganda UGA1402711

  • SYLVIA LACHORO THE FEMALE TRACTOR MECHANIC FROM NAPAK


    Joseph BASOGA | 26/02/2020

    From the little-known village of Lopida in Kangole town, Napak District, Karamoja region in Uganda, diminutive but resilient Sylvia Lachoro is has become an iconic mechanic.When you meet her on the dusty streets, her physical appearance cannot easily define the “lioness” spirit and ability to deliver. “I know this trade is generally reserved for men, but I joined to demystify this falsehood. Women too can be mechanics and I’m determined to be one of those very good ones,” she says with a shy smile.Her story begins from the time when her uncle Lote Michael (RIP) gave her a ride in a car that he had just repaired. She immediately admired him and she made up her mind to become a mechanic. “Uncle Lote is long gone, but I will never forget the impact he had on me after telling me that I could become anything I want,” she said. The dream to become a mechanic became reality when one of the graduates from Kangole technical institute came to her home with an application form requesting her to join the Skilling Uganda programme.  He encouraged her to apply even when she had resorted to selling local brew with her mother. At the time, she had also already given birth to her first baby at the age of 17. She revealed that life as a single mother was tough and she needed survival skills.  Lachoro enrolled for a certificate course in Mechanics and Moto-vehicle repair at Kangole master-craft garage. Lachoro confesses that she had to ignore a lot of teasing from the boys in the mechanics class. She clearly knows that this was to be the turning point in her life. In 2018, she completed the course and joined a road side garage in Napak owned to a one Hamid Kodet for her field practice. After for four months training she completed and was employed by the Lugazi Sugar corporation (SCOUL) as a trainee mechanic. She earns UGX 200,000 (approx. USD 70) a month and can afford the basics for her baby. “My life has changed a lot. I surely now know that skills can be very rewarding” she says with a smile. Sylvia lachoro is a true story of Karamojong girls with personal interest to learn skills in male dominated trades in order to escape extreme poverty.


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    Oeganda UGA160331T

  • Elevage dans la région de Koulikoro :  vers la professionnalisation du métier d’éleveur à travers l’embouche.

    Elevage dans la région de Koulikoro : vers la professionnalisation du métier d’éleveur à travers l’embouche.


    Nènè TRAORE | 26/02/2020

    Dans le cadre du projet d’Appui au renforcement de l’élevage et de l’économie pastorale au niveau de la Région de Koulikoro, un partenariat commercial sur la viande rouge a été mis en place entre Disnepal, une PME de distribution- négoce de produits alimentaires et une coopérative d’éleveurs à Fana. Au départ, des campagnes de sensibilisation ont eu lieu auprès des éleveurs afin qu’ils adhèrent à l’idée. Il s’agissait pour eux de mettre en embouche un certain nombre de bovins sur une durée minimum de 70 jours et maximum 90 jours. Au total, quinze éleveurs ont été mis en relation avec la PME pour cette phase pilote suivant des critères. C’est ainsi que le 14 février 2020 a eu lieu la livraison des animaux à la PME à Fana. Cette opération a consisté au pesage des animaux pour déterminer leur poids de sortie. A l’issue de ce processus, les éleveurs ont tiré des enseignements à savoir :  le respect de l’itinéraire technique mis en place pouvant aboutir à des animaux de qualité qui répondent au cahier de charge de la PME ; la professionnalisation du métier d’éleveur qui constitue des avantages pour eux et enfin réussir à casser le mythe chez les éleveurs qui est désormais d’accepter de vendre les animaux au poids vif.


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    Mali MLI1604811

  • Active Teaching and Learning Experiences

    Active Teaching and Learning Experiences


    Dorothy KYAMAZIMA | 26/02/2020

    “Tell me and I forget, teach me and I remember, involve me and I learn.” Teachers are stepping away from the old chalk and talk method and now using Active Teaching and Learning for effective teaching in their classrooms.


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    Oeganda UGA1502911

  • Les partenaires du projet Amuddu identifient des actions pour contribuer à l’équité de genre pour une meilleure intégration des personnes migrantes au

    Les partenaires du projet Amuddu identifient des actions pour contribuer à l’équité de genre pour une meilleure intégration des personnes migrantes.


    Said SAHLI | 24/02/2020

    Déconstruire les stéréotypes envers les personnes migrantes pour mieux intégrer celles qui sont en situation de vulnérabilité dans le marché de l’emploi et l’auto-emploi était l’un des objectifs de la formation-action sur l’approche genre organisée par le projet Amuddu.    Les partenaires du projet Amuddu ont approfondi leurs connaissances sur l’approche genre et ont élaboré un plan d’action opérationnel pour l’intégration de cette approche au sein du projet « Amuddu », lors de la formation-action organisée à Rabat du 4 au 7 février 2020.  En outre, plusieurs points ont fait l’objet de discussions très constructives et qualitatives de la part des participant.e.s, d’ailleurs inscrits dans le programme de l’atelier, présentés par l’experte internationale en genre, Mme. Marcela de la Pena, tel que la déconstruction des préjugés, la compréhension des mécaniques d’exclusion et l’appréhension des couches de discrimination envers les personnes migrantes en situation de vulnérabilité, notamment à travers l’adoption d’une analyse de l’intersectionnalité des discriminations.  Cette formation-action organisée par le projet Amuddu -mis en œuvre par Enabel en partenariat avec le Ministère délégué chargé des Marocains résidant à l’étranger, l’Entraide nationale et l’ANAPEC- pendant quatre jours, au profit des partenaires et des équipes du projet a été l’occasion d’interpeller les participant.e.s sur différentes thématiques interreliées, mettant le focus sur le lien entre le genre et la migration.  « A contrario des formations générales sur le genre qui présentent plus des aspects liés aux violences contre les femmes et qui ne sont pas des moindres, cette formation a fait le focus sur la question de l’intégration économique des femmes migrantes et des inégalités à tenir en compte pour leur meilleure mobilisation puis intégration socio-économique » dixit un des participants. En effet, pendant ces quatre jours de travail participatif et de co-construction, les présent.e.s ont exploré, à travers des données factuelles et encadrées par l’experte internationale genre, le parcours de migration avec une attention particulière à la situation  des femmes, parfois très rude, ainsi que les conditions de vie locales dans le pays hôte, qui font que cette cible soit vulnérable et plombée par plusieurs inégalités à la base. Les femmes migrantes peuvent être seules ou accompagnées par des enfants ou la famille, avec des niveaux de formation variés, confrontées seules à plusieurs écueils qui ne sont généralement pas pris en considération lors de son processus d’intégration économique.  Au-delà des objectifs de la formation-action définis par le projet, notamment la vulgarisation des concepts liés au genre et des outils d’analyse des rapports et rôles sociaux entre l’homme et la femme, ainsi que l’élaboration d’un plan d’action opérationnel pour intégrer le genre dans le projet, il s’est agi également de partager des constats et des témoignages émouvants par les participant.es, qui ont certainement contribué à une prise de conscience. À l’issu de cette action d’apprentissage, toutes et tous les apprenant.e.s ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité des données, concepts et outils présenté.es dans le moule d’une méthodologie interactive et audio-visuelle.  Dite formation a été lancée dans le cadre d’une approche globale basée sur les droits humains, porté par Enabel visant l’autonomisation (empowerment) des femmes et la promotion de l’égalité des femmes et des hommes lors de l’exécution de ses programmes de développement.  Dans ce sens, Enabel a élaboré une Stratégie genre qui couvre la période de 2019-2023, We for her[1], qui concerne toutes ses interventions. La nouvelle Stratégie genre 2019-2023 souligne qu’Enabel continuera à s’engager pour l’automatisation des femmes et pour la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes, le genre est ainsi inscrit dans l’ADN d’Enabel.   Cette stratégie propose un travail à deux niveaux : d’une part, une intégration du genre à la politique de développement, aux programmes et projets (niveau opérationnel) et, d’autre part, le gender mainstreaming sur le plan organisationnel (niveau organisationnel). [1] ENABEL : Note relative à la stratégie genre 2019-2023. WE FOR HER - #weforher et Enabel : Stratégie genre 2019-2023. #WE FOR HER. Plan d’action 2019-2023. Actions en 2019.


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    Marokko MOR1605211