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Architecture as a key factor for Quality Education
Thea MATHUES | 29/02/2016
The quality of education is determined by teachers and their professionalism, the students, the lessons and the way lessons are taught. Exactly what the Teacher Training Education project is focusing on.It is also influenced by the physical learning environment. Building schools with a favorable learning environment is the priority of the architecture team in the project. On the picture, two of the construction workers are fine-tuning one of the new classrooms in National Teachers’ College Muni, based in the northern part of Uganda. While construction is going on, the project also tries to incorporate cross cutting issues. In Uganda, women are not always afforded the same employment and economics opportunities as men. The picture portrays the story of two committed, female construction workers, setting the example for a more equitable world. Text and Picture by Shelley Heugen.
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Plataforma de Administración del Aprendizaje Virtual (Learning Management System): E-learning.
Cecilia TORRES | 26/02/2016
Diseño e implementación de una Learning Management System (LMS) o Sistema de Gestión de Aprendizaje (plataforma eLearning), que permitirá el acceso a actividades de capacitación e inducción a la totalidad de recursos humanos del SIS y sus contrapartes.
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Diagnóstico del Clima Organizacional del Seguro Integral De Salud (SIS)
Cecilia TORRES | 26/02/2016
El objetivo principal de esta actividad es analizar la percepción de los colaboradores y/o trabajadores del Seguro Integral de Salud. Para ello se llevó a buscó identificar las dimensiones y componentes que influyen en el modelamiento del clima organizacional del Seguro Integral de Salud, medir (estudio cuantitativo) y comprender (estudio cualitativo) la percepción y satisfacción personal de los trabajadores del Seguro Integral de Salud, con los componentes clave identificativos en el clima, para la elaboración de políticas del Sistema de Recursos Humanos, preparar un Plan de Mejora del Clima Organzacional con la participación del Personal de Gerencias y Recursos Humanos del Seguro Integral de Salud.
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Launch study on the evaluation of teacher performance in Vietnam
Hans LAMBRECHT | 26/02/2016
On January 22nd 2016, the Department of Teachers and Educational Administrators (DTEM) of the Ministry of Education and Training (MOET) in Vietnam launched the report of a study about the performance evaluation of teachers, which was supported by Belgium. The study was initiated as a result of the work done by the School Education Quality Assurance Programme (SEQAP) on the development of a lesson observation tool to assess effectiveness of training of teachers. The work on this tool attracted the interest of the leadership of the Ministry because they needed to establish a new procedure and a set of tools that can be used for independent evaluation of teachers. For that reason, MOET requested Belgium to support conducting a study that could link international experience in teacher evaluation with the current practice in Vietnam and the plans for teacher evaluation and development in the context of the ongoing education reform in Vietnam.The result of the study is a set of recommendations for an improved procedure to evaluate teachers in Vietnam based on an evaluation of the current practice and some international examples. The report includes the following sections:Section 1: Overview of teacher evaluation in VietnamSection 2: Overview of international practices in teacher evaluation (Singapore, UK (England), Canada (Ontario), Finland and Belgium (Flanders))Section 3: Recommendations for Vietnam based on international experienceThe study was conducted by Dr. Patrick Vander Weyden (Free University of Brussels & FocusUP, currently Country Programme Manager of VVOB in Cambodia) and Prof. Pham Van Hoan (dean at the Hanoi College of Education).The launching event was opened by Mr. Hoang Duc Minh, the director of DTEM, and Mr. Geert Vansintjan, the development counselor at the Embassy of Belgium in Hanoi. Mr. Vansintjan emphasized in his opening speech that by supporting this study, Belgium wants to contribute to strengthening systems that provide support to teachers, teacher development and teacher management so the sustainable development goal of inclusive and equitable quality education can be achieved. On the short term, he hopes that the study will contribute to the evaluation and revision of the teacher standards that are currently used, in response to the demands of the education reform and the new curriculum.The results of the study have already been taken onboard in the formulation of the Enhancing Teacher Effectiveness Programme (ETEP), the Government programme supported by a loan of World Bank that will address the reform of the teacher training and development system in Vietnam.
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Renforcer l'autonomie des femmes rurales
Meriem HILALI | 23/02/2016
Au Maroc, la Belgique appuie l’approche stratégique du pays en matière d’agriculture, qui repose sur deux piliers majeurs : l’agriculture moderne et solidaire.Dans le cadre du développement de la filière du safran dans la Région Souss-Massa-Drâa, un accent particulier est mis sur les femmes rurales, qui jouent un rôle-clef dans la production de safran. Souvent, ces femmes ne sont pas alphabétisées ou ne connaissent pas leurs droits. C’est la raison pour laquelle la CTB et son partenaire, l’Office régional de Mise en Valeur agricole de Ouarzazate, ont conclu un partenariat le lundi 22 février 2016 avec l’association Migrations et Développement. Cette association est active depuis des décennies dans la région pour répondre aux besoins des populations fragiles de la zone de production du safran, en apportant une attention particulière à la prise d’autonomie par les femmes. Grâce à des actions de sensibilisation et d’alphabétisation fonctionnelle, elle donne confiance aux femmes et les rend plus fortes dans leurs relations avec le marché.Le partenariat entre la CTB, l’ORMVAO et Migrations et Développement soutiendra l’organisation des femmes en coopératives structurées et professionnelles. Elles deviendront des acteurs-clef de la filière safran en plein rayonnement.
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Des points d’eau bien gérés, élément essentiel à la survie des villages
Stephanie EECKMAN | 16/02/2016
Ce n’est un secret pour personne: l’accès à l’eau est un problème majeur pour les populations rurales au Niger. Pourtant, même si le désert couvre les trois quarts de ce vaste pays la nappe phréatique devrait permette de satisfaire les besoins de la population. On estime à 2,5 milliards de mètres cubes le volume annuel des ressources hydrauliques renouvelables. Les solutions – même si leur coût demeure très élevé – sont donc nombreuses. Cependant, c’est la gestion des ouvrages, qui est trop souvent négligée. Pourquoi un Comité de Gestion du Point d’Eau? La question mérite d’être posée! Le défi consiste à trouver l’équilibre entre l’équité de l’accès aux services pour des populations qui ont pour une grande part des revenus très modestes et l’exigence de pérenniser le système de gestion. Malheureusement, il n’y a pas de système de gestion parfait. Il peut y avoir des difficultés, des trous dans la trésorerie, des conflits liés aux différents usages et besoins d’eau, … Pourtant, quelques constantes se retrouvent dans les projets réussis: l’implication des populations dès la conception de l’ouvrage, les investissements dans la formation, l’engagement de la communauté et l’appropriation des structures. Le Programme d’hydraulique villageoise et pastorale s’appuie sur ces facteurs de succès. En impliquant les populations concernées dès la conception de l’ouvrage, le programme s’attaque au point le plus délicat du montage et de la viabilité des points d’eau, à savoir l’appropriation par les comités de gestion et, plus globalement, par les populations villageoises. Les usagers prennent en charge, dès la mise en service, l’entretien et la maintenance de leurs points d’eau. Depuis 2013, 108 points d’eau ont été construits. Pour chaque ouvrage, un comité de gestion, constitué d’usagers, est mis en place de manière démocratique et en essayant de tenir compte du genre. Ce comité est généralement composé de cinq membres : un(e) Président(e), un(e) Trésorier(e), un(e) Secrétaire et deux Hygiénistes. Les membres des Comités de Gestion de Point d’Eau, reçoivent une formation participative pour leur permettre de mieux comprendre et appréhender leurs rôles et leurs responsabilités. Cette formation est animée en une seule session qui dure trois jours. Les principaux thèmes développés sont: la connaissance du projet et de ses partenaires de mise en œuvre ; la connaissance et la gestion de la vie associative ; les règlements d’usage des points d’eau ; la relation entre eau, hygiène et santé. Au final, cette initiative vise à favoriser une dynamique locale, centrée sur la bonne gestion de l’eau et l’établissement d’un modèle de partenariat durable entre usagers et pouvoirs publics, pour la gestion des infrastructures au niveau local.
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Agir maintenant pour assurer l'avenir
Stephanie EECKMAN | 16/02/2016
La jeunesse et l'agriculture: deux défis majeurs pour le Niger de demainComme dans la plupart des pays africains, l'exode des jeunes ruraux demeure une problématique majeure au Niger. La majorité des agriculteurs nigériens dépendent de la production de mil et de sorgho, mais le rendement de ces cultures n'a pas augmenté au cours des trente dernières années. En outre, la production de ces céréales reste insuffisante pour couvrir la période de soudure - la période entre la fin de la consommation de la récolte de l'année précédente et la récolte de l’année suivante. Bien que cette période dure généralement de juin à septembre, elle peut être beaucoup plus longue, à l’instar de ces dernières années, en raison de l'augmentation de la sécheresse. En bref, les terres au Niger sont de moins en moins rentables, alors que les villages n'ont pratiquement pas d'autres moyens de gagner leur vie. En raison de la faiblesse des secteurs industriels et de services au Niger, le chômage des jeunes demeure très élevé. La jeunesse, notamment celle en milieu rural qui dépasse largement de moitié celle de la totalité du pays (83 % selon UNFPA en 2010), est donc en proie à l’inquiétude. Dans ces conditions, l’attrait des villes et des pays étrangers (Nigéria, Europe) est très fort chez les jeunes ruraux. Aujourd’hui, plus que jamais, ceux-ci attirent irrésistiblement les jeunes en raison des commodités et opportunités qu’elles offrent. Les conséquences négatives de cet exode sont toutefois nombreuses. En outre, la production agricole dans les villages baisse, puisqu’ils se vident de leurs bras valides. « Sans effort supplémentaire, le Niger restera un pays en position d’insécurité alimentaire quasi permanente », affirme Kader Niaoné, Coresponsable du Programme PAMED.Soutenir les jeunes agriculteurs, une voie qui sortira le Niger des cycles récurrents de crises alimentaires.Cette insécurité alimentaire chronique est liée à plusieurs causes, dont la faiblesse d’investissements dans l’agriculture, l’insuffisance de l’encadrement des acteurs du secteur, le difficile accès aux financements... C’est pour cette raison qu’à travers le Programme d’appui à la mise en place des entités décentralisées dans la région de Dosso (PAMED), la CTB travaille en étroite collaboration avec les collectivités territoriales et les communautés locales de la région de Dosso. Sous l’impulsion des communes et à travers l’aménagement de sites maraîchers, par exemple, et l’encadrement de proximité, le Programme a réussi à convaincre les jeunes de rester dans leurs villages après la récolte principale pour s’adonner aux cultures maraîchères de contresaison, qui ont grandement amélioré leurs conditions de vie. En développant une culture parallèle et/ou complémentaire à la culture des céréales, les producteurs sont plus à même d’absorber les chocs en cas de crise alimentaire grâce à la consommation ou à la vente de leurs produits. « Au départ, je partais dès l’annonce de la période de soudure pour revenir dès l’annonce de la période des pluies. J’ai suivi ce mouvement pendant des années », déclare Yahaya Harouna, 36 ans, un habitant de la commune rurale de Douméga. « Mais, cette année, grâce à la vente des pastèques, j'ai gagné beaucoup plus que l’année dernière. » Yahaya cultive des tomates, des choux, des laitues, des oignons et des pastèques, pour ne citer que cela, sur une partie du site maraîcher du groupement Fodi. « Moi, je ne partirai pas. Le maraîchage et la production de contresaison sont plus rentables », affirme-t-il. « C’est le soutien de la CTB à l'aménagement du site et l’échange de savoirs et de pratiques avec les autres membres du groupement qui fait la différence pour moi. »
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La Quinua, una nueva alternativa de producción en Totora (Cochabamba)
Pierre-henri DIMANCHE | 15/02/2016
El Gobierno Autónomo Municipal de Totora (Departamento de Cochabamba) y el Programa de Apoyo al Riego Comunitario (PARC) del Ministerio de Medio Ambiente y Agua (MMAyA), financiado por la cooperación belga, financiaron la contratación de un profesional de Acompañamiento y Asistencia Técnica (A/AT), para el proyecto “Sistema de Riego Sifón Azul Qhocha”, que desarrolla sus actividades con los regantes durante el proceso de construcción de la infraestructura y durante un año después de la entrega definitiva de la misma.El profesional A/AT, dentro de sus diversas actividades programadas, estableció una parcela demostrativa de quinua (variedad Real) con uno de los usuarios del sistema. Esta variedad fue introducida en la zona a solicitud de los usuarios del sistema, con el objetivo de determinar su adaptabilidad.La siembra fue realizada en julio del 2014 en una superficie de 1200 m². El método de riego aplicado en la parcela demostrativa fue riego en surcos debido a las condiciones topográficas de la zona.La cosecha fue realizada de forma manual a fines del mes de diciembre del 2014. Los rendimientos de grano obtenidos estuvieron entorno a 1.250 Kg/ha, obteniendo una relación beneficio-costo de 1.6, aspecto que incide en el mejoramiento del ingreso para los usuarios del sistema de riego. Además que el cultivo de quinua, por sus características nutritivas se constituye en un alimento con bastante proteína que permitirá garantizar la seguridad alimentaria.La quinua de variedad Real, no producido generalmente en la zona, se adaptó perfectamente a las condiciones agroclimatológicas de la comunidad Azul Qhocha. Los usuarios del sistema de riego, interesados en la producción del cultivo introducido, priorizaron la elaboración de un proyecto de producción, transformación y comercialización del cultivo de quinua en la comunidad Azul Qhocha, trabajo que fue realizado con el apoyo del profesional contratado de Acompañamiento y Asistencia Técnico.
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Plan de género e interculturalidad
Cecilia TORRES | 15/02/2016
Con el objetivo de incluir de manera sistemática los temas transversales de la CTB en el trabajo y las actividades del Programa SISTEC, se realizaron entre mayo 2015 y febrero 2016 un diagnostico situacional de la integración de los enfoques de género e interculturalidad en el Programa, así como un Plan de transversalización de dichos enfoques. Este Plan tiene como objetivo garantizar la toma en cuenta del género y de los aspectos interculturales a nivel del trabajo diario, de la comunicación del Programa así como en todas las fases del desarrollo de sus actividades. A través del Plan, se busca sistematizar los esfuerzos del Programa hacía las metas de igualdad de los Objetivos de Desarrollo Sostenible y estimular cambios sociales que puedan brindar un mayor acceso y ejercicio del derecho a la salud para hombres, mujeres, niños y niñas beneficiarios/as del SIS en el Peru. A través la recolección de datos desagregados, la creación de indicadores adaptados, el uso del lenguaje inclusivo y varias actividades de capacitaciones para el personal del SIS y del Programa SISTEC, se busca crear e internalizar una cultura de igualdad de género y de inclusión social; tal como lo requieren las normas internacionales, peruanas, belgas y los lineamientos del MINSA, del MIMP y de la CTB respecto a los temas transversales de la Agencia Belga de Desarrollo.
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Video de presentación del Programa SISTEC
Cecilia TORRES | 11/02/2016
Deseamos compartir con todos y todas el video de presentación del Programa SISTEC, el cual no solo brinda información sobre los objetivos, ámbitos de acción, actores principales, etc., sino que recoge el testimonio de los mismos beneficiarios: Desde los trabajadores del Seguro Integral de Salud - SIS, como socio en co-gestión, hasta la misma población asegurada, expresando la importancia de nuestras acciones para conocer y ejercer los derechos en salud de todo peruano y peruana.
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Apoyo en la realización de campañas de difusión de deberes y derechos en centros poblados
Cecilia TORRES | 11/02/2016
Con el objetivo de reforzar la presencia del SIS en los lugares donde se encuentra la población más vulnerable, es que el Programa SISTEC realizó una experiencia piloto de apoyo para campañas en centros poblados. Esta experiencia consistió en facilitar unidades móviles que sirvieran para desplazarse a zonas remotas, que además permitiese transportar material de difusión y campaña, con la flexibilidad de horarios y distancias. Complementariamente a ello, el Programa brindó al personal encargado de la realización de campañas, implementos como chalecos, ponchos de lluvia, salvavidas, botas, entre otros para facilitar su labor de empoderamiento de los asegurados y aseguradas.
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Creación de Banco de Fotos para materiales comunicacionales del SIS
Cecilia TORRES | 11/02/2016
El Programa SISTEC trabajó conjuntamente con el Seguro Integral de Salud – SIS en la creación de un Banco de Fotos, con el objetivo de brindar material actualizado, variado y visualmente representativo para ser utilizado en los diferentes materiales informativos y promocionales del SIS. Estas fotos además incorporaron los enfoques de género e interculturalidad, alcanzando así imágenes de las diferentes regiones del país, con perfiles poblacionales de diferentes culturas y exponiendo tanto a varones y adultos mayores, además de mujeres, como protagonistas en el cuidado de la salud.
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Módulos de Atención para el asegurado y asegurada SIS
Cecilia TORRES | 11/02/2016
A finales del 2015, en el marco del Programa SISTEC, se implementaron 9 módulos de atención para los y las aseguradas del Seguro Integral de Salud – SIS, en hospitales de gran afluencia del país. El objetivo de estas oficinas es brindar orientación a los usuarios y usuarias del SIS sobre sus derechos en salud, así como brindar las herramientas para evitar que sus derechos sean vulnerados. Durante su primer mes de funcionamiento se han atendido a más de 1600 personas en los servicios de afiliación, orientación, asistencia y cautela de derechos.
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Taller de intercambio de experiencias para personal de atención al asegurado
Cecilia TORRES | 10/02/2016
El Taller de Intercambio de Experiencias y Fortalecimiento de Capacidades para la Elaboración de Campañas Informativas y Afiliación del SIS permitió fortalecer el trabajo de los profesionales de atención al asegurado y el personal de apoyo a ese personal en la realización de campañas informativas y de afiliación del SIS. Este taller de cuatro días consistió en una jornada altamente dinámica y práctica, en la cual se desarrolló conjuntamente nuevas herramientas a través del compartir de experiencias y lecciones aprendidas, así como conocer las técnicas para una comunicación más eficiente con su público objetivo.
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Maisha Bora food security programme in Tanzania - presentation
Mathias LARDINOIS | 09/02/2016
The Belgian Fund for Food Security (BFFS) finances integrated programmes to structurally improve food security. Maisha bora (meaning 'Good life' in Swahili) is a five-year programme (2015-2019) aimed at improving food security in Longido and Simanjiro districts in the north of Tanzania. Fifteen of the most food-insecure villages in these two districts, with a population of mainly pastoralists and agro-pastoralists, have been selected for the programme. In Tanzania, the institutional partners of the programme are the Prime Minister’s Office, the Ministry of Livestock and Fisheries Development, the Regions of Arusha and Manyara, and the Districts of Longido and Simanjiro. The programme's specific objective is to reach higher and more secured income used for nutrition, and improved local availability of food for 9,000 households in 15 villages in Simanjiro and Longido districts, and in particular for 40% of impoverished households, women and youth.The Belgian Fund for Food Security has selected five partner organizations: Vétérinaires Sans Frontières Belgium, Iles De Paix, TRIAS, World Food Programme and the Belgian Development Agency (BTC). Each partner has responsibility for the implementation of a specific component or (sub)-result of the programme, together with local partners: Heifer, UCRT, OIKOS, LCDO, PWC, MWEDO, MVIWATA-Arusha, TCCIA Arusha, TCCIA Manyara, and Childreach Tanzania.The major components are: Result 1: Households have livestock resources secured and can benefit more from different livestock products (VSF-B), with a major sub-result being sustainable access to adequate water for livestock is improved (IDP) Result 2: Women, youth and households income are more diversified, secured and this is used to increase the quantity and quality of food intake (TRIAS) Result 3:More households, and in particular more pregnant and lactating women and children under 5, consume more diversified foods, use cleaner water, prevent and treat diarrhoea effectively and are aware of HIV prevention (WFP) Result 4: Effective coordination of the programme assures external and internal coherence, induced cooperation and increases implementation efficiency (BTC)
