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  • Gestion des statistiques sécuritaires : Enabel accompagne l’actualisation du Sygestas

    Bénin: Le Système de gestion des statistiques sécuritaires (SYGESTAS) vient d’être actualisé!


    Reece-hermine ADANWENON | 27-06-2022

    Dispositif efficace et léger qui permet d’enregistrer les données sur la sécurité publique, le Système de gestion des statistiques sécuritaires (SYGESTAS) vient d’être actualisé. Conçu et mis en œuvre depuis 2018 par le Ministère de l’intérieur et de la sécurité publique, le SYGESTAS vise à assurer la sécurité des personnes et des biens en ce sens qu’il est un important outil d’aide à la prise de décision politique pour régler les problèmes de sécurité. Pour son toilettage, les acteurs impliqués dans sa gestion ont pris part du lundi 20 au vendredi 24 juin 2022 à Grand Popo à un séminaire d’actualisation, de prévision, de planification et de gestion efficace des questions sécuritaires. Organisé avec l’appui technique et financier du Projet d’appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine (PAOP) mis en œuvre par Enabel au Bénin, cet atelier a réuni les cadres du ministère de l’intérieur et de la Police Républicaine, premiers utilisateurs du système pour une mise à jour des différents éléments du système. De façon spécifique, il s’est agi de mettre à jour : le répertoire des infractions ; les fiches de collecte de données et le guide d’utilisation du système ; l’application SYGESTAS et le guide d’utilisation du système. 


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    Bénin BEN19011

  • Des acteurs locaux renforcés et équipés pour une gestion améliorée de l’eau potable dans les Province de Bujumbura et Rumonge

    Burundi: Des acteurs locaux renforcés et équipés pour une gestion améliorée de l’eau potable


    Jonas Eric UWIZERA | 24-06-2022

    Les 23 et 24 juin 2022 s'est tenu un atelier organisé par le Programme d’Appui Institutionnel au Secteur de la santé, PAISS 5, en appui aux infrastructures, équipements et maintenance mis en œuvre par Enabel, l’agence belge de développement et l’ONG Pro Action Développement (PAD). Ils sont au total 44 intervenants en eau à être renforcés techniquement dans la gestion des infrastructures d’adduction d’eau et à recevoir les kits fontainiers. Eux, ce sont des responsables des régies communales, des ingénieurs communaux et des membres des Comités des points d’eau venus des communes Isale, Kabezi, Nyabiraga, Mugamba. Ces communes ont bénéficié d’adduction d’eau grâce au programme PAISS 5 d’Enabel. L’atelier, animé par le coordinateur provincial de l’Agence de l’Hydraulique rurale pour la Province de Bujumbura, a été une occasion d’échanger les expériences des uns et des autres et de se renforcer mutuellement. Les participants ont travaillé sur diverses thématiques telles que l’eau potable en milieu rural, le fonctionnement des comités de point d’eau, le lien entre eau potable, hygiène et santé et les paramètres techniques des infrastructures hydrauliques. Les kits reçus permettront d’outiller chaque commune bénéficiaire pour assurer une meilleure maintenance des réseaux d’eau dont elle a la charge. Un atelier similaire se tiendra à Rumonge les 28 et 29 juin au bénéficie des communes de Rumonge, Buyengero, Burambi appuyées par l’intervention. Ces ateliers de renforcement des compétences s’inscrivent dans le cadre des activités du PAISS 5, dans le but d’assurer une gestion maîtrisée des investissements faits dans le cadre des travaux d’adduction d’eau potable de 25 Centres de Santé. Enabel a ainsi fait recours à l’expertise de l’ONG Pro Action Développement pour assurer les activités d’intermédiation sociale accompagnant les travaux des entreprises. Le partenariat avec PAD permet de veiller à ce que les travaux contribuent réellement à améliorer durablement les conditions et pratiques d’hygiène. Les ouvrages hydrauliques construits par Enabel sont d’une valeur d’1,5 million d’EUR et permettent à plus de 300.000 personnes de bénéficier de l’approvisionnement en eau potable dans les aires de responsabilité de 25 Centres De Santé à Kirundo, Muramvya, Bujumbura Rural et Rumonge. L’atelier avait été ouvert par l’Administrateur communal de Mukike qui a représenté le Gouverneur et il a été clôturé par le Conseiller du Gouverneur en charge du développement de la province Bujumbura.


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    Burundi BDI1307911

  • Accès aux droits des réfugiés et demandeurs d'asile : échange autour du rôle des avocats dans la procédure de détermination du statut de réfugié et pa

    Maroc: Organisation d'une formation destinée aux avocats sur le droit des réfugiés


    Bilal ALJOUHARI | 24-06-2022

    Dans le cadre de son appui à la mise en œuvre de la Stratégie nationale d’immigration et d’asile (SNIA) et de son engagement à favoriser l’accès aux droits des réfugiés, des demandeurs d’asile et des migrants, le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » a organisé, en coordination avec le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), une formation au profit des avocats sur le droit des réfugiés et le rôle des avocats dans la procédure de Détermination du Statut de Réfugié (DSR).   Cette formation s’est déroulée le 10 juin 2022, à Rabat, et a rassemblé une quarantaine d’avocats issus des régions de Casablanca-Settat, l’Oriental, Rabat-Salé-Kénitra et Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Les avocats ayant participé à cette session sont membres d’un réseau travaillant sur la thématique migratoire. Le réseau d’avocats a été initié dans le cadre du projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » et il contribue au renforcement de capacités, partage d’expertise et d’expériences entre des avocats souhaitant contribuer, au travers de leur travail, au renforcement de l’accès aux droits et à la justice des migrants, réfugiés et demandeurs d’asile. La mise en réseau des avocats spécifiquement autour de la thématique migratoire contribue à pallier au fait que d’un côté, très peu d’avocats soient sollicités par les étrangers ou pour des questions relatives aux droits des étrangers et que, de l’autre côté, très peu d’avocats soient spécialisés sur le droit des étrangers et disposent dès lors d’informations complètes leur permettant de conseiller, assurer la médiation et la défense d’étrangers au Maroc. Étant donné ses objectifs d’amélioration de l’accès aux droits, le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » vise notamment à renforcer les capacités des avocats en matière de droits des étrangers avec pour objectif, sur le long terme, d’assurer qu’un nombre important d’avocats soient mobilisables par l’État, la société civile, les organisations internationales et les personnes migrantes elles-mêmes pour assurer le conseil, la médiation et l’orientation et la représentation d’étrangers. Au travers de cette session de formation organisée le 10 juin 2022, le HCR a pu partager son expertise en la matière et sensibiliser sur le rôle crucial que ceux-ci peuvent jouer dans la procédure de DSR. Il est important que les avocats connaissent les procédures et les règles afin d’améliorer l’accompagnement des demandeurs d’asile. L’intervention de représentant légaux dans la procédure d’asile permet en effet d’assurer des procédures plus transparentes, plus équitables et de renforcer la qualité des décisions prises dans les processus de DSR. Au terme de cette session d’échange, les avocats ont démontré leur engouement et leur engagement pour la matière avec la volonté affirmée d’approfondir leurs connaissances et de travailler avec les demandeurs d’asile pour améliorer leur accès à la procédure d’asile.      Le lendemain de cette journée de formation, les avocats ont également identifié leurs besoins complémentaires en matière de formation et de réseautage, de même que les modalités de fonctionnement du réseau en matière de renforcement de capacités et de coordination. Les fruits de cette réflexion mèneront à des ateliers organisés, entre juillet et octobre 2022, par le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » afin de pérenniser le travail collectif de ces avocats et de favoriser la continuité de leurs échanges au-delà de la durée du projet -qui se clôturera au cours des prochains mois.     Le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » est financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, l’Agence belge de développement, en partenariat avec le Ministère de la justice et le Département des Marocains résidant à l’étranger (MRE) au sein du Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Ce projet contribue à appuyer le Royaume du Maroc dans la mise en œuvre SNIA au travers du renforcement de l’accès aux droits des migrants, réfugiés et demandeurs d’asile au Maroc.  


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    Maroc MOR170571T

  • Seconde édition de l’école intensive sur la migration et l’asile ; des étudiants au service des personnes migrantes

    Maroc: Tenue de la 2ème édition de l’école intensive sur la migration et l’asile


    Bilal ALJOUHARI | 24-06-2022

    La Seconde édition de l’école intensive sur la migration et l’asile a été organisée, du 28 au 31 mars 2022, à la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Hassan II de Casablanca, dans le cadre du projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » et avec l’appui de l’UCLouvain. Espace de partage et d’incubation de compétences L’école intensive sur le droit d’asile et de la migration était un moment de partage de connaissances et de renforcement des compétences des étudiants en droit des cliniques juridiques partenaires du projet. Durant cette deuxième édition, 75 étudiants et doctorants provenant d’universités marocaines (Université Mohamed V de Rabat, Université Hassan II de Casablanca, Université Abelmalek Saâdi de Tanger et Université Mohamed I d’Oujda) et tunisiennes (Université de Tunis, Université de Tunis El Manar, Université de Sfax et Université de Sousse) ont bénéficié de l’expertise d’institutions publiques marocaines comme le Ministère de la Justice, le Ministère de l’inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, le Conseil national des droits de l’homme, mais également de l’expertise de professeurs universitaires marocains, tunisiens et belges, ainsi que de celle de représentants d’organisations internationales. Les différentes sessions de l’école ont porté sur le partage de notions théoriques et de documents de références sur les normes juridiques nationales et internationales liées aux droits de la migration et de l’asile. Les participants ont également pris part à des sessions pratiques leur permettant d’analyser des questions d’accès aux droits et de développer des raisonnements juridiques sur la thématique migratoire qui les aideront dans leur future pratique clinique du droit.  Un impact tangible sur les étudiants « Ce qui a fait la particularité de cette école, c’est l’intervention de plusieurs intervenants de haut calibre qui ont été tous très généreux concernant le partage d’informations. J’ai été marquée par la thématique en rapport avec le trafic des migrants et la traite des êtres humains notamment l’intervention d’un représentant du Ministère de la Justice et de la Commission nationale de lutte contre la traite et qui a présenté de façon détaillée la loi 27-14 relative à la lutte contre la traite des êtres humains. Par ailleurs, la thématique relative à la migration et le travail m’a beaucoup intéressé puisque le droit du travail est un droit social qui tient une importance capitale dans le maintien du développement socio-économique de toutes les sociétés, et dans ce sens l’intervention d’une représentante du Ministère de l’emploi et de la formation professionnelle était pertinente étant donné qu’elle a porté sur les normes nationales liées aux travailleurs migrants. En plus des interventions très enrichissantes au cours de ces jours de formation, nous avons eu l’occasion de travailler sur des cas pratiques fictifs, en groupes, chose qui nous a permis de partager nos avis dans un cadre de débat, d’échange, et d’apprentissage surtout. » Témoignage de Lamiaâ Azim, étudiante en deuxième année licence en droit à la faculté Hassan II Ain Chock de Casablanca et membre de la Clinique de droit de Casablanca. Des connaissances approfondies pour un meilleur appui des personnes migrantes       A travers l’école intensive, la consolidation des connaissances va permettre aux étudiants membres des cliniques juridiques de mieux formuler et produire les avis juridiques à destination des personnes migrantes. Cela permet de contribuer à un meilleur accès aux droits pour cette population qui peut désormais compter sur la compétence des étudiants afin d’être mieux informée, sensibilisée et accompagnée dans l’accès à ses droits.   « J’ai intégré la clinique juridique d’Oujda durant l’année universitaire 2019, motivé par des raisons personnelles relatives à mon parcours associatif et social avec les migrants depuis des années, ainsi qu’une motivation générée par nos professeurs du Laboratoire des droits de l’Homme et de la démocratie (Professeur Saadi, Professeur Aamarti, Professeur Aynaou…) qui nous ont inspiré par leur expertise et compétences en matière du droit international de la migration. La participation à l’école intensive donnera plus d’efficacité et du bon fondement juridique à nos futurs avis juridiques et cela ne sera que bénéfique pour les demandeurs d’avis. Les fruits de l’école intensive sont déjà visibles dans mon travail associatif et dans mon travail clinique. La participation à l’école intensive m’a aussi beaucoup aidé pour la réalisation de  ma thèse de fin d’études en cycle Master qui aborde le thème du droit international de l’asile et du droit international des droits de l’Homme. » Témoignage de MOUSSAOUI MOHAMED ABDELLAH, étudiant en 2ème année Master des nouvelles dynamiques des droits de l’Homme à la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’OUJDA.  MOUSSAOUI MOHAMED ABDELLAH est également actif au sein de l’association des Pionniers du changement pour le développement et la culture. Dans une optique visant à intégrer la sphère académique dans la réflexion sur la thématique migratoire, le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » collabore depuis 2018 avec des universités marocaines et tunisiennes, à travers leurs cliniques juridiques, afin de renforcer l’enseignement et la recherche sur la question des migrations auprès des étudiants et des doctorants mais également afin d’appuyer les universités dans la mise en place de dynamiques permettant de favoriser leur impact sociétal notamment au travers des cliniques juridiques. Cette collaboration se fait notamment au travers de partages d’expertises avec l’université belge Uclouvain. Les cliniques juridiques sont des structures pédagogiques universitaires qui permettent aux étudiants en droit de mettre en pratique leurs acquis théoriques à travers l’analyse de questions de droit. Ce processus permet, à travers des cas réels portant sur des défis d’accès aux droits, d’analyser différentes situations juridiques et de partager une analyse juridique de la situation (un avis juridique) visant à aider le bénéficiaire de la clinique dans son parcours d’accès à son droit. Afin d’appuyer les universités dans la formation des étudiants aux spécificités du droit des étrangers et du droit d’asile, mais également aux techniques d’analyse juridique, une session de 4 jours de formation a été organisée, dans la continuité de la Première édition de l’école intensive sur le droit d’asile et de la migration qui avait été organisée en novembre 2020, à l’Université Mohamed 1er d’Oujda. Le projet « Empowerment juridique des personnes migrantes » est financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, au Maroc et en Tunisie. Au Maroc, le projet est mis en œuvre en partenariat avec le Ministère de la justice et le Département des Marocains résidant à l’étranger au sein du Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.          


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    Maroc MOR170571T

  • Enabel participe au Bénin Investment Forum 2022

    Enabel participe au Bénin Investment Forum 2022


    Reece-hermine ADANWENON | 24-06-2022

    Il s’est tenu ce jeudi 23 juin autour de la piscine du Golden Tulip, la cinquième édition de la startup night. Organisé par le Bénin Investement Forum en collaboration avec le Woment In Tech, avec l’appui technique et financier du projet DigiBoost, un projet financé par l’Union Européenne, et mise en œuvre par Enabel au Bénin. Cette soirée avait pour objectif, de mettre en lumière les femmes entrepreneures, les amazones du digital qui apportent des solutions technologiques innovantes.La soirée a démarré par la cérémonie d’ouverture ponctuée par des allocutions de plusieurs personnalités qui ont rehaussé cet événement. Il s’agit de la Directrice de MTN Bénin Madame Uche Ofodile ; La Sécrétaire Général du WIT, Mme Elodie Akotossodé, le président de la fondation WANNOU et promoteur du BIF Monsieur Bernard Wannou et l’Intervention Manager du projet DigiBoost Mme Emmanuelle Bouiti.Dans son allocution, Mme Emmanuelle BOUITI a rappelé que le projet DigiBoost s’est positionné sur cette activité, la « Startup Night » non parce qu’elle adresse particulière les femmes entrepreneurs, mais plutôt du fait qu’elle permet aux femmes Tech de se rencontrer, de présenter leurs innovations, de réseauter et de partager des idées qui peuvent faire avancer leurs projets, tout en les mettant en contact direct avec les investissements, les Business Angels, les PTF et les institutions étatiques.La soirée s’est donc poursuivi avec les présentations de plus d’une dizaine de solutions numériques qui touchent plusieurs domaines (agriculture, santé, mode, finance, digital marketing…). La phase de pitch a été suivie par la visite des stands d’expositions des projets afin de comprendre et d’avoir plus d’informations sur les solutions qui ont été présenté. La soirée s’est clôturée dans une ambiance conviviale marquée d’échanges, un moment de réseautage qui a amené les startups à discuter avec les organisations et particuliers présents dans le but de découvrir les opportunités qui s’offrent à eux.


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    Bénin BEN170321T

  • Deaf teenager in Uganda tailors her way into becoming a business owner

    Deaf teenager in Uganda tailors her way into becoming a business owner


    Racheal AKELLO | 24-06-2022

    As a deaf and dumb teenager in a hearing world, Masika Bridget from Kasese, who is now 18 years old, enrolled in a program in tailoring and garment making in February 2022. Bridget enrolled for a 6 months course with the Kasese District Union of Persons with Disabilities (KADUPEDI), a project funded by Enabel through the Skills Development Fund (SDF). In the African society, particularly in Uganda, Persons With Disabilities (PWDs) are often considered insignificant and little or no care is shown towards these people, due to lack of education or skills.  However, KADUPEDI decided to demystify this general outlook by providing a platform for disabled youth in Kasese and Bunyangabu districts to empower themselves. ‘Most of the disabled youth resorted to begging on the urban streets as a means for survival. Therefore as KADUPEDI, we decided to improve the standards of living of PWDs in the community through skills development,’ said Joshua Migyenyi, the Chairperson of KADUPEDI. In a country grappling with youth unemployment due to lack of quality skills, Bridget is or rather was one of the statistics in this category. However, with the grant given to KADUPEDI by Enabel, Bridget is starting to realise her dream of becoming a business owner. ‘Despite my hearing inability, I hope to one day start my own business and employ people like me,’ said a cheerful Bridget, as she operates her sewing machine. With the help of Biira Racheal, the sign language expert and interpreter, Bridget explains that she enrolled for this training due to a lack of tuition which forced her to drop out of school. Therefore, instead of sitting at home redundant, Bridget decided to respond to a radio advert calling for disabled youth to join skills development training. Bridget observed that this would be her chance to make herself useful and self-reliant. Although Bridget has just started this training, she says that when she starts making money, she will advise more youth like her about the goodness of skills training and encourage them to join such programs. The Support to Skilling Uganda programme has trained over 12,656 youth, women and girls in formal and informal courses such as Bakery, Soap making, Tailoring and so on, under the Skills Development Fund (SDF). The SSU programme is jointly funded and implemented by Ireland, Belgium and the European Union and operates in the regions of Karamoja, Albertine-Rwenzori and Northern Uganda, respectively. 


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    Ouganda UGA1402711

  • L’AFD et Enabel dotent l’hôpital de Zone-Sanitaire de Dassa-Glazoué d’un incinérateur semi-électrique

    Vidéo - Au Bénin, l’AFD et Enabel dotent l’hôpital de Zone-Sanitaire de Dassa-Glazoué d’un incinérateur semi-électrique


    Reece-hermine ADANWENON | 24-06-2022

    Samuel Van Steirteghem, intervention-manager du projet Equité financé par l’Agence Française de Développement, AFD, et mis en œuvre par Enabel a officiellement remis au Directeur Départemental de la Santé des Collines, le Dr Codjo Dandonougbo un important lot d'équipements médico-techniques. C’était le mercredi 15 juin 2022 au cours d’une cérémonie fort simple qui a réuni plusieurs responsables de la santé dans le département des Collines. Le lot de matériels est composé de :- Un incinérateur semi électrique de type moderne d’une capacité de 200 kg de déchets par jour avec un abri de protection ;- Des équipements de gestion des déchets biomédicaux (sachets, boites de sécurités, poubelles, gants, pulvérisateur de solution chlorée …) ;-  2 tricycles entièrement couvert à l’arrière pour le transport sécurisé des déchets biomédicaux des formations sanitaires périphériques vers l’incinérateur installé à Dassa.-  50 tablettes pour la gestion des plaintes et les enquêtes de satisfaction des patients pour la Plateforme Nationale des Utilisateurs des Services de Santé (PNUSS)  et-  des armoires et matériels bureautiques appuyer les comités de gestion de santé (Coges) de la  Zone Sanitaire Dassa- Glazoué. D’un coût global de. 92.500.000 de Fcfa ces équipements permettront de soutenir l’amélioration de la gestion des déchets biomédicaux dans la zone sanitaire de Dassa Glazoué. Tour à tour, Osée Akpaki, représentant du maire de Dassa, Jacques Akpovi, médecin-coordonnateur de la zone sanitaire Dassa-Glazoué, Codjo Dandonougbo, Directeur Départemental de la Santé (DDS-Collines), Olivier Kayodé Danvi, président du Comité santé ont exprimé leurs gratitudes pour cet appui de l’AFD à travers le projet EQUITE. Ils ont promis faire une utilisation judicieuse de l’incinérateur et des autres matériels afin   que « ce mariage AFD - Enabel et l’hôpital de zone connaisse un lendemain meilleur ».  


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    Bénin BEN19010

  • Une équipe du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) en apprentissage au Sénégal avec l’appui d’Enabel au Bénin

    Une équipe du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) en apprentissage au Sénégal avec l’appui d’Enabel au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 24-06-2022

    Du 16 au 20 mai 2022, une délégation du FNDA conduite par Léonard Valère HOUSSOU, Directeur Général du Fonds, a effectué une visite d’échange d’expériences au Sénégal.Organisé avec l’accompagnement d’Enabel au Bénin, à travers le programme « Développement de l’Entreprenariat dans la Filière Ananas » (DEFIA), cette visité a permis à l’équipe de rencontrer plusieurs structures privées et nationales actives dans le financement agricole et rural et dont les missions recoupent celles du FNDA, à savoir : ·       Le Fonds National de Développement Agro-Sylvopastoral (FNDASP) et Fonds d’Appui au Développement Secteur Rural (FADSR), logés au sein du Ministère de l’Agriculture et de l’Équipement Rural ;· Le Fonds d’Appui à la Stabulation (FONSTAB), logé au sein du Ministère de l’Élevage et des Productions Animales ;·  Le Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires (FONGIP) ;·  La Banque Agricole (LBA), ex Caisse Nationale de Crédit Agricole ;·  La Banque Nationale de Développement Économique (BNDE) ;·  La Compagnie Nationale d’Assurance Agricole (CNAAS) ;·  L’U-IMCEC, une institution de microfinance ayant un guichet agricole. Les deux points d’orgue de cette mission ont été à coup sûr : la réunion de bienvenue organisée par Enabel Sénégal (qui a assuré toute la logistique sur le terrain (Enabel #One team !) et l’audience accordée par le Secrétaire Général du Ministère sénégalais de l’Agriculture et de l’Équipement Rural, en présence des Conseillers techniques du Ministre, du Directeur Général de l’Agence et des Responsables des Services compétents. Le Directeur Général du FNDA et son équipe reste très satisfaits de cette mission, comme l’illustre ces mots : « Cette visite nous a été d’un apport estimable, tant du point de vue des informations reçues que des contacts établis. Elle nous a d’abord permis de nous rendre compte de l’exhaustivité des instruments de financement agricole et rural mis en place par nos amis sénégalais et qui prennent en charge tous les défis : refinancement des IMF, financement des MPME agricoles et rurales, garantie, assurance agricole, financement du conseil agricole, financement des interprofessions, etc. Nous avons ensuite été particulièrement impressionnés par les synergies développées entre acteurs, par la cohérence du dispositif et par le rôle central de la Banque Agricole et de la Compagnie Nationale d’Assurance Agricole. Enfin, nous avons pu jeter les bases pour développer des partenariats stratégiques avec certaines structures rencontrées ». Pour rappel, cette visite s’inscrit dans le cadre de l’exécution de la convention de subsides signée entre les deux parties le 17 décembre 2020 et portant sur la mise en place de mécanisme de subventions adossée au crédit. Elle participe du soucis d’Enabel de contribuer efficacement au renforcement des capacités techniques du FNDA. Le FNDA est un fonds mis en place par le Gouvernement du Bénin et qui se positionne au cœur de la stratégie d’appui au financement agricole. Il a pour objet de « faciliter l’accès au financement pour la promotion de l’investissement privé dans le secteur agricole et de l’orienter par des subventions ciblées et des instruments financiers adaptés vers des activités qui permettent une meilleure exploitation du potentiel agricole national et qui contribuent à l’amélioration des revenus agricoles et à la sécurité alimentaire en encourageant la promotion des filières agricoles ».  


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    Bénin BEN19005

  • Tailoring gave me a new lease of life, says Ariye

    Uganda: Tailoring gave me a new lease of life, says Ariye


    Catherine BEKUNDA | 23-06-2022

    When war broke out in South Sudan, Flora Ariye could only think of saving her life and two children. She ran to neighbouring Uganda, leaving behind her husband.   The mother of two was resettled at Bidibidi refugee settlement in Uganda’s North-Western district of Yumbe on 11th November 2016.  While in South Sudan, Ariye was a housewife and hence relied on the husband for every need. The husband's absence and the need to look after the children yet she lacked a means of livelihood traumatized her. “I used to stay home doing manual work,” she recalls.  Thankfully, this situation was short-lived.  Ariye’s attention was one day brought to skills development opportunities by Enabel and Finn Church Aid through a project called Support to Skilling Uganda.  The initiative targeted refugee and host community youth, women, and girls. She found it exciting and grabbed the opportunity with open arms.  Ariye trained in fashion and garment cutting. This was later complemented by business management training to sharpen her entrepreneurial skills.  After completing training, Ariye felt she had everything required to become a successful entrepreneur.   “The training was great. The business management training in particular improved my negotiation and customer care skills,” she says.  In April 2019, Ariye made what she believes is one of the best decisions of her life. She established a clothing business. Life has since never been the same.  “I now earn daily. During the Christmas season, business gets even better. I earn between 25,000 – 30,000 shillings,” she says.  Ariye is now able to take care of her two children and save part of the earnings for future use.  She hopes to one day reunite with her husband and continue the business back home in South Sudan.  The young mother is one of the over 4000 refugees and hosts trained by Enabel and partners in West Nile and Kiryadongo through the Support to Skilling Uganda project.  The initiative funded by the European Union Emergency Trust Fund aims to equip refugees and host community youth, women, and girls with the skills for employment and job creation in order to improve their standard of living.  


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    Ouganda UGA160321T

  • Skills development enables Queen to establish a clothing business

    Uganda: Skills development enables Queen to establish a clothing business


    Catherine BEKUNDA | 23-06-2022

    Few years ago, Queen Misila, a Ugandan national residing in Yumbe district would struggle to believe she would one day be an entrepreneur.  The 24-year-old’s fortunes however changed following a 3-months training in tailoring where she also acquired entrepreneurial skills.  Her training was sponsored by Enabel under the Support to Skilling Uganda (SSU) project and delivered by the Norwegian Refugee Council.  Misila used her newly acquired skills and savings to start a business which she named “Misila Clothing Enterprises”. She makes clothes of various designs and fashions.  "The training made me produce quality work and through the word of mouth, my customers have marketed my services,” the cheerful third-born explains.   Misila says the demand for her products is high and the future looks bright. She can now look after her family.   “I make average weekly sales of 200,000 shillings. Out of this, I save 12,000 shillings,” she adds.  And there is a secret for her business success.   “For those that buy cloth material from me, I offer a discount of 5000 shillings off the labour costs. I charge the rest 15,000 shillings if they buy the material elsewhere,” she reveals. Her business like, others, also encounters challenges.  The biggest challenge is limited capital to further expand the business. Although she managed to get a loan, it is inadequate. The cost of transporting materials from Arua to Yumbe is also high.  “I must confess that I previously worked on losses because of the transport to and from Arua,” she says.  But Misila has big plans for the future. The mother of 3 wants to expand the business.  She recently acquired a loan from her Village Saving and Loan Association to buy extra clothes for sewing.  Additionally, she wants to replace the sewing machine since it’s frequently breaking down making her incur high repair costs.  The SSU project aims to enhance the employability of refugee and host community youth, especially women and girls through vocational training and entrepreneurship skills to improve their standard of living. More than 4000 people have been trained to date.   The project is funded by the European Union Emergency Trust Fund.


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    Ouganda UGA160321T

  • My customers have increased, says Abujeri Miragi

    Uganda: "My customers have increased", says Abujeri Miragi


    Catherine BEKUNDA | 23-06-2022

    It is a shiny afternoon in Okuban Village, Ariwa Sub Country in Yumbe District. This area is home to Ugandan nationals and South Sudanese refugees.  23-year-old Abujeri Miragi, a national is busy in his motorcycle and motor vehicle repair garage attending to clients.  Miragi’s major customers are motorists in his Sub County. The global economic hardship has not spared his business. He says business is slow nowadays.  However, he manages to get up to six clients daily.  “I used to earn about 8,000 shillings daily but it has risen to 15,000 shillings since my training,” Miragi says.  On good days especially when he repairs a motorcycle engine, Miragi earns between 25,000 – 30,000 shillings.  The father of one has learned to save part of his earnings at his village saving scheme.  “I have now saved a total of 260,000 shillings. I hope to construct a big house out of the savings in the near future,” he says.  The biggest obstacle the business faces is lack of spare parts in the trading center. He often travels up to Yumbe town to buy them. He says this is tiring and time-consuming. “I will need between 2 million – 3 million shillings to establish a spare parts shop,” Miragi explains. Using the mechanics skills, Miragi who dropped out of school in primary four is hopeful of providing a better future for his son.  Miragi was trained in motor vehicle mechanics by a Mastercraft person in Koboko through the Support to Skilling Uganda project implemented by Enabel and the Ministry of Education and Sports.  The project focuses on increasing access to quality skills development through training, scholarships, entrepreneurship skills and start-up kits for refugees and host communities.    Tracer study results show that 7 out of 10 graduates of the project find employment within 6 months after completion of course.   The Support to Skilling Uganda project is funded by the European Union Emergency Trust Fund. 


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    Ouganda UGA160321T

  • Christine Hopes for huge tenders

    In Uganda, Christine hopes for huge tenders


    Catherine BEKUNDA | 23-06-2022

    The 24-year old Christine Night fled South Sudan in 2016 when war broke out. She had just completed senior one. Christine now lives in Bidi Bidi refugee settlement, Yumbe District.     On arrival at the settlement, she says life was challenging. Christine spent several months jobless.The situation however started to change after she was accepted for a skills training programme by Enabel and the Norwegian Refugee Council. Christine was trained in tailoring and garment cutting.    The zone 4 resident started a clothing business shortly after completion of the training. She named the business “God’s wish tailoring”.     Life has never been the same ever since Christine started the business. She has become one of the highly sought-after school uniform designers in the settlement. The demand for uniforms is high here.     A pair of shorts costs 15,000 shillings while a shirt is 11,000 shillings. She charges 12,000 shillings for a full “kitenge.”   “Individual parents contract me to make school uniforms for their children. My desire is to get a school tender and be the sole supplier. However, this requires a lot of capital which I do not have at the moment,” Christine says.    To boost her entrepreneurial skills, Christine underwent a business management training which provided her with additional skills including customer care, digital marketing and bookkeeping.  “I have learnt how to cost and price my business. I now welcome my customers, I also can send an email and WhatsApp messages with orders of my kitenge,” she confesses.    Although she does not own a smartphone, she uses the one of a friend with whom she attended the training. Christine sometimes learns about new fashion trends from YouTube through her friend’s phone. “I give her 2,000 shillings for data and check out YouTube for new fashions and how to cut cloth for such designs,” she reveals.     Like any business, she encounters challenges. Her major setback was when thieves broke into the shop and took off with 9 rolls of cloth material.She now shifts her merchandise on a daily basis to and from home for safety reasons. But this is hectic. Additionally, she markets her products by word of mouth and sometimes has to trek long distances to tell people about the business.The challenges withstanding, Christine manages to save 12,000 shillings every week.     The mother of three is one of the 4830 refugee and host community youth, women and girls Enabel equipped with employable skills through the Support to Skilling Uganda (SSU) programme.SSU focuses on increasing access to quality skills development through training scholarships, entrepreneurship skills and start-up kits for refugees and host communities.   The project is funded by the European Union Emergency Trust Fund.   


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    Ouganda UGA160321T

  • La maintenance des équipements médicaux, un des points d’attention pour le PAISS 5 au Burundi

    Au Burundi, la maintenance des équipements médicaux, l'un des points d’attention phare du projet PAISS


    Jean BIRONKWA | 22-06-2022

    Le Programme d’appui institutionnel au secteur de la santé au Burundi, PAISS 5, financé par la Belgique a organisé, du 14 au 17 juin 2022 à Bujumbura, un atelier de suivi de la mise en œuvre de la stratégie de maintenance décentralisée développée dans les provinces de Rumonge et Bujumbura. Le PAISS 5 contribue à l’augmentation en qualité et quantité des prestations de santé au bénéfice de la population par l’amélioration de la gestion et maintenance des infrastructures et équipements. Une trentaine de techniciens de maintenance, des gestionnaires des bureaux de districts sanitaires et des agents de la direction des infrastructures sanitaires et équipements (DISE) du Ministère de la Santé publique et de la Lutte contre le Sida ont été accompagnés par le Programme PAISS 5 en vue de les renforcer en gestion et maintenance des équipements sanitaires. Les techniciens de maintenance ont été initiés au monitoring du Plan opérationnel de maintenance de leur structure et au suivi de l’évolution de l’état du parc d’équipements. Des travaux dirigés ont permis entre autres, de travailler à la mise à jour des inventaires, des plans de maintenance et à la mise au rebut des équipements déclassés. Cet appui a permis aux hôpitaux d’élaborer des plans annuels de maintenance pour les activités de maintenance des équipements et la rédaction des contrats type de maintenance par famille d’équipements.  En clôture de cet atelier, une remise officielle des certificats de formation à la maintenance biomédicale a eu lieu pour les 22 techniciens bénéficiaires. Cette remise clôt un cycle de formation modulaire de 2 ans donnée par Médecins sans Vacances, partenaire du PAISS 5 pour le volet renforcement des compétences des techniciens et utilisateurs des équipements. Les techniciens ont exprimé leur joie d’avoir reçu les 11 modules de formation de 720 heures. Au nom des participants à la formation, Pierre Ndayiziga, technicien de l’hôpital Buhiga dans la province sanitaire de Karuzi s’est exprimé : « ... avec cette formation, nous avons appris à utiliser de manière professionnelle la Gestion de la maintenance assistée par l’Ordinateur la GMAO, nous avons appris à réparer les aspirateurs, concentrateurs, microscopes, lampes signalétiques, etc. Cette formation nous a enrichis avec de nouvelles connaissances. Je suis sûr que cette formation va apporter un changement très profond à mon hôpital car auparavant il y avait beaucoup de choses qui m’échappaient en rapport avec la maintenance de ces équipements. Cette rencontre a été une occasion pour nous de voir plus loin en ce qui est de la gestion des équipements biomédicaux. Je remercie le bailleur pour avoir pris en main cet appui aux techniciens, nous souhaiterions que des appuis et accompagnements de ce genre puissent continuer pour que nous puissions être à la hauteur de la gestion des équipements biomédicaux. Au nom du Ministère de la Santé publique et de la Lutte contre le Sida, le Directeur Général des ressources, Monsieur Jean Charles Ntahimpera a félicité les techniciens qui ont participé à cette formation. Il leur a recommandé de mettre leur expertise et compétences acquises à la disposition de leurs formations sanitaires respectives pour contribuer à améliorer la qualité des soins et services de santé en faveur de leurs populations. Ce cursus de formation octroyé par MSV dans le cadre du Programme d’appui institutionnel au secteur de la santé au Burundi s’inscrit dans les priorités de la Direction des infrastructures sanitaires et équipements du Ministère en charge de la santé qui est le développement des politiques et stratégies en matière d’acquisition, de gestion et de maintenance des infrastructures et équipements sanitaires en vue d’améliorer la qualité des soins et services de santé.


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    Burundi BDI1307911

  • Rwanda - Enabel partners with the Catholic Church in the prevention of drug abuse among young people

    Rwanda: Enabel, Rwanda Biomedical Center and the Catholic Church partner to prevent drug abuse among young people


    Denise NSANGA | 21-06-2022

    Enabel/Barame project in collaboration with the Mental Health Division of Rwanda Biomedical Center (RBC) organized a five-day workshop, from 20-24 June 2022, for Catholic Church Priests in charge of youth (chaplains) from the seven districts of intervention. The training underway in Muhanga District, which brought together 60 priests from 53 catholic parishes and dioceses, was officially launched by the President of Episcopal Commission for Youth, Bishop Selvirien Nzakamwita.  It aims at  improving their knowledge in drug abuse and substance use prevention including the targeted communication skills for a positive behavior change. Participants will also acquire skills in individual counselling to be able to support the young people using or at risk of abusing the drug including alcohol. At the same time, the developed communication materials including peer support group tool kit will be distributed to the chaplains for its use while communicating with adolescent about the prevention and the reintegration of drug users. At the end of this workshop, these priests are expected to closely work with Youth representatives at parish level and use their existing communication channels up to the community level through ecclesial basic communities to support deployed efforts in fighting the drug abuse, support positively the users towards a free drug young generation. The workshop will also induce the development of action plan to enhance communication towards behavioral change of young people using the catholic church structures from national to the community level. This workshop is aligned with the principle of multisectoral approach to fight against drug and substance use and in relation to the recent findings of a study initiated by Barame/Enabel in 2020 on substance use in Rwanda which revealed that the in past 30-day prevalence among youth was 34% for alcohol, 8.5% for tobacco smoking, 2.7% for cannabis, 0.2% for glue and 0.1% for drugs such as diazepam. The mean age of onset of alcohol, cannabis and heroine are 13.1, 16.8 and 18.5 respectively. It is expected to provide knowledge and basic skills on how to organize awareness sessions, detect and support youth with drug abuse issues and ensure early referrals for adequate management.  


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    Rwanda RWA19009

  • Concours des Entrepreneur·e·s à Kisangani

    RDC: Concours des entrepreneur·e·s à Kisangani!


    Aimé GIRUKWIGOMBA | 20-06-2022

    La 1ère Edition du Concours des Entrepreneur·e·s de l'Incubateur Elykia est un succès!13 jeunes entrepreneur·e·s ont présenté "pitché" leurs projets devant un Jury de Techniciens du métier, Coachs, Chefs d'entreprise et Banquiers, ce Samedi, 18 juin 2022.Enabel en RD Congo, soutient via son projet EDUT, le développement d'Incubateurs pour accompagner l'auto-emploi des jeunes de Kisangani, en partenariat avec la FEC - Direction provinciale Tshopo. L'Incubateur Elykia est le fruit de cette collaboration et son modèle économique, ainsi que ses différents services (placement en entreprise, parcours entrepreneuriaux) sont en cours de structuration avec l'appui d'une expertise spécialisée OVATION.La participation de ces jeunes a été animée par une belle motivation, une volonté de persuasion et un fair play digne de grands compétiteurs.Chaque pitch a bien mérité d'être entendu, questionné et défendu !!! L'important c'est de participé, dit-on...Au final, 3 Meilleurs projets ont été primés sur base de 3 critères :- Projet le + viable : HD Madjembo (Matériaux de construction);- Projet le + créatif : MAFA (Apiculture);- Projet le + innovant : Minoterie La Boyomaise (Transformation agro-alimentaire).Les 3 projets ont chacun reçu des chèques cadeaux de 100 $ du sponsor officiel de l'évènement Equity BCDC et des cartes rechargeable de 150$ à retirer auprès de la TMB. Merci beaucoup !Des prix en nature et en espèce ont également été offert par d'autres sponsors - entreprises membres de la FEC - Direction provinciale Tshopo. Chaque participant a été récompensé ! Le Ministère provincial en charge des Finances et de l'entrepreneuriat a assuré que tous les projets accompagnés par Elykia bénéficieront d'une exonération fiscale de lancement d'entreprise.Bravo encore à tous et un grand merci aux équipes organisatrices.


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    RD Congo RDC1217911