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  • Révolution pédagogique : Plus de 600 éducateurs du Haut-Katanga formés aux nouvelles méthodes d'enseignement

    Révolution pédagogique dans le Haut-Katanga: 600 professionnels de l'éducation formés aux nouvelles méthodes pédagogiques


    Paola VANGU TSAKALA | 21/08/2024

    Les provinces éducatives du Haut-Katanga ont formé plus de 600 professionnels de l'éducation, dont 531 enseignants, 72 directeurs et 51 inspecteurs, sur les nouvelles méthodes pédagogiques dans les réseaux d'écoles de proximité (REP). Ces professionnels viennent de 69 écoles réparties dans 15 réseaux à Lubumbashi, Kipushi, Likasi, Kambove, Kasenga, Mitwaba, Kilwa et Pweto. L'objectif de cette formation? Intégrer dans les classes des innovations pédagogiques telles que la méthode basée sur des situations, la gestion des classes nombreuses avec des méthodes actives et participatives, l'évaluation des acquis scolaires et la conception universelle de l'apprentissage, incluant l'approche inclusive et différenciée, la classe curative, et l'utilisation d'outils pour encadrer les élèves-maîtres en stage. Le réseau d'écoles de proximité est un espace d'échange créé par l'inspection scolaire pour favoriser la formation continue des enseignants et le partage d'expériences pédagogiques entre les écoles voisines. Cette initiative, soutenue par notre programme "Éducation de base", dans le Haut-Katanga, vise à transformer l'enseignement en adoptant des méthodes pédagogiques innovantes, améliorant ainsi la qualité de l'enseignement et des apprentissages, et renforçant la collaboration entre les enseignants. Cette session de formation, organisée par les deux Inspections provinciales de l’EDU-NC Haut Katanga et notre programme "Éducation de base", s'est déroulée sur 6 jours, du 22 au 27 juillet 2024, et a réuni des enseignants du primaire, des enseignants de sciences et de psychopédagogie du secondaire, ainsi que des inspecteurs.


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    DR Congo COD22019

  • Documentary on the support programme for refugee settlements in Uganda

    Documentary on the support programme for refugee settlements in Uganda


    Jovia KAVULU | 20/08/2024

    Explore how the ‘Support Programme to the Refugee Settlements and Host communities in Northern Uganda’, funded by the European Union and implemented by Enabel, is transforming lives in Uganda’s West Nile region. Since 2016, over 6,000 refugees and locals have gained vital vocational skills, driving job creation and community development. Witness their inspiring journey toward a brighter future: https://youtu.be/_F6s_wepAMs


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    Oeganda UGA160321T

  • Au Niger, Enabel soutient l'enseignement technique dans les filières de l'élevage

    Au Niger, Enabel soutient l'enseignement technique dans les filières de l'élevage


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 19/08/2024

    Du 20 au 27 juin, le Centre de Formation Professionnelle et Technique (CFPT) de Konni, avec l’appui d’Enabel, à travers le projet de Renforcement de l’Entrepreneuriat en Elevage – REEL Mahita, a accueilli quatre sessions de formation exceptionnelles. Douze formateurs issus de huit centres de formation professionnelle des régions de Tahoua, Dosso, et Tillabéri (Ballayera) ont participé à ces formations essentielles. ·      Andragogie pédagogique : Apprendre à mieux enseigner aux adultes. ·        Techniques modernes d'embouche : Améliorer l'engraissement du bétail. Techniques modernes d'embouche : Améliorer l'engraissement du bétail. ·       Aviculture : Promouvoir l'élevage de volailles. ·      Transformation du lait : Maîtriser la production de produits laitiers de qualité. Ces sessions s'inscrivent dans le cadre d'un projet de renforcement des capacités des centres de formation professionnelle, visant à améliorer la qualité de l'enseignement technique au Niger.


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    Niger NER22003

  • Assemblée générale des cellules genres ministérielles et institutionnelles: Enabel engagé pour l’opérationnalisation de la politique en matière de genre au Burkina Faso

    Assemblée générale des cellules genre ministérielles et institutionnelles: Enabel engagé pour l’opérationnalisation de la politique en matière de genre au Burkina Faso


    Abel YAMEOGO | 16/08/2024

    Le lundi 15 juillet 2024 s’est tenue à la Maison de la Femme de Ouagadougou, l’Assemblée Générale de l’année 2024 des cellules ministérielles et institutionnelles pour la promotion du genre. Organisé par la Direction Générale de la Promotion de la Femme et du Genre (DGPFG) du ministère de la Solidarité, de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille avec l’appui d’Enabel, l’Assemblée Générale, a servi de cadre d’échanges, de sensibilisation et de recherche de solutions aux préoccupations desdites cellules.  L’Assemblée Générale 2024 des cellules genres ministérielles et institutionnelles pour la promotion du genre a regroupé une quarantaine de responsables de ces cellules. La cérémonie d’ouverture a été présidée par M. Levingstone SABA, Chargé de Mission et représentant de la Ministre en charge de la Solidarité, de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille avec l’appui d’Enabel, l’Assemblée Générale. Il avait à ses côtés Mme Marie Madeleine OUEDRAOGO, Directrice Générale de la Promotion de la Femme et du Genre, et Mme Edwige ZONGO, Conseillère Stratégique d’Enabel représentant le Directeur Pays de ladite structure.  Dans son allocution, Mme Zongo Edwige a souligné l’engagement d’Enabel pour la promotion du genre : « Avec notre nouveau programme de coopération bilatérale 2023 2027, notre accompagnement sera plus stratégique et à cet effet, l’accent sera mis sur les actions adressant les causes profondes des inégalités liées au genre et les réponses adaptées au contexte socio-culturel », déclare-t-elle. A travers les communications et les échanges, les participants se sont familiarisés davantage avec le processus de l’institutionnalisation du genre au Burkina Faso ; ils ont aussi mieux appris sur le système du suivi évaluation et capitalisation des données sensibles au genre et ont pu faire l’état de la mise en œuvre des recommandations de 2023 tout en formulant de nouvelles orientations pour les prochaines étapes. En rappel, les cellules genre ont été mise en place en 2021 dans le cadre de l’opérationnalisation de la politique en matière de genre au Burkina Faso. Elles apparaissent comme des organes relais du Ministère en charge du Genre mais celles-ci, fonctionnent difficilement avec une   dynamique de l’institutionnalisation effective du genre dans les différentes structures concernées à renforcer. C’est conscient de ces défis qu’Enabel se propose d’accompagner la Direction Générale de la Promotion de la Femme et du Genre (DGPFG) en contribuant techniquement et financièrement à l’organisation et à la tenue de l’assemblée générale annuelle des cellules genre ministérielles et institutionnelles. Par Abel YAMEOGO, Communication officer


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    Burkina Faso 2854BFA

  • Rwanda's 17th National Agricultural Show: Enabel's role in shaping Rwanda's agricultural future

    Rwanda's 17th National Agricultural Show: Enabel's role in shaping Rwanda's agricultural future


    Denise NSANGA | 16/08/2024

    As Rwanda strides towards its ambitious goal of becoming an upper-middle-income country by 2035, and a high-income nation by 2050, the agriculture sector, Rwanda’s second-largest economic contributor, requires transformative innovations and technologies. Themed “Building resilient and sustainable food systems”, the 17th National Agricultural Show that took place from July 31st to August 9th, 2024 in Kigali, provided a critical platform to drive this transformation. Enabel, the Belgian development agency, played a pivotal role in this year’s agrishow, showcasing its significant contributions to Rwanda's agricultural development.Enabel's participation underscored its commitment to the agriculture sector through its various projects. Central to its involvement is the Partnership for Resilient and Inclusive Small Livestock Markets (PRISM) project, which Enabel has been running in collaboration with the Rwanda Agriculture Development Board (RAB) since 2019. PRISM has been instrumental in boosting the income and livelihoods of smallholder farmers and SMEs by transitioning them from traditional to market-oriented farming practices.Expanding its impact, Enabel has also been active in the fisheries-aquaculture and horticulture sectors through the EU and Luxembourg funded KWIHAZA project, and with the new Belgium-Rwanda development cooperation program (2024-2029) in the Agriculture sector, its efforts, through PRISM II, will continue to span across various agricultural domains including pig, poultry, rabbit, and beekeeping value chains and the consolidation of the aquaculture and horticulture, sectors.At the 17th National Agricultural Show, Enabel featured Team Belgium stands in the EU Village to highlight its agricultural advancements and projects. The exhibition booths showcased technologies and innovations across different sectors and visitors gained insights into success stories and the tangible impacts of Enabel’s projects on the ground. In addition to the exhibitions, the agrishow provided opportunities for networking and connections between smallholder farmers, SMEs, financial institutions, and other stakeholders, enabling partnerships, collaborations, and investment opportunities.Enabel’s participation in the agrishow resulted in increased awareness and adoption of innovative agricultural practices and strengthened partnerships within the sector. This aligned perfectly with the National Agricultural Show’s objectives of showcasing technologies, facilitating investment discussions, and inspiring excellence in agriculture. Since 2008, the National Agricultural Show has been organised annually by Rwanda’s Ministry of Agriculture and Animal Resources (MINAGRI) in collaboration with its partners. The event features around 400 exhibitors and attracts between 3,000 and 4,000 visitors each day.


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    Rwanda RWA23005

  • Réalisateurs en herbe : des vidéos pour changer la Donne au Niger

    Jeunes réalisateurs en herbe : des vidéos pour changer la Donne au Niger


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 15/08/2024

    La ville de Dosso a accueilli du 30 Mars au 02 Avril, un camp de formation unique en son genre, dédié à l'art de la prise de vue et du montage vidéo. Ce camp a réuni 10 élèves et 5 enseignants issus des 5 CEG pilotes du projet Sarraounia 2, tous animés par une même passion : raconter des histoires à travers l'image. Encadrés par des professionnels expérimentés, ces jeunes créateurs en herbe ont appris à capturer l'essence de moments clés et à les transformer en vidéos percutantes, le tout réalisé sur tablette. À la fin de cette immersion créative, ils ont donné vie à de courts métrages abordant des thèmes essentiels tels que la scolarisation des filles, l'hygiène menstruelle, et le mariage précoce. Prochainement, ces vidéos seront soumises à un concours où les meilleures créations seront mises en lumière et récompensées. Les œuvres primées seront ensuite projetées dans les CEG participants au projet Sarraounia 2, avec pour objectif de sensibiliser un large public à ces enjeux cruciaux. Ce camp a non seulement permis à ces jeunes talents de développer des compétences techniques, mais aussi de devenir des ambassadeurs du changement à travers l'art visuel.


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    Niger NER22002

  • Former pour transformer : Les collectivités en première ligne de la gestion intégrée des ressources en eau au Mali

    Former pour transformer : Les collectivités en première ligne de la gestion intégrée des ressources en eau au Mali


    Nènè TRAORE | 15/08/2024

    La gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) est un concept fondamental pour assurer une utilisation durable et équilibrée de l'eau, un bien précieux et limité. Dans le contexte des collectivités des communes de Koulikoro, au Mali, la mise en œuvre du GIRE revêt une importance particulière, compte tenu des défis liés à la gestion des ressources en eau dans cette région. Contexte et ObjectifsLe projet « Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) - Volet Mali », initié par Enabel, se concentre sur la région de Koulikoro et les communes rurales de Doumba, Koula, Sirakorola et Méguétan, qui sont confrontées à de nombreux défis liés aux conséquences du changement climatique. L'objectif principal est d'améliorer la gestion intégrée des ressources naturelles et de restaurer les écosystèmes du Sahel pour renforcer la résilience des populations vulnérables face à la désertification et aux changements climatiques. En parallèle, le Mali a mis en place un Plan d’Action pour la Gestion Intégrée de ses Ressources en Eau (PAGIRE) pour faire face à l'augmentation de la demande en eau et à la dégradation des ressources. Ce plan vise à établir un cadre institutionnel pour une gestion intégrée des ressources en eau à l'échelle nationale, en incluant des actions variées telles que la création de structures de gestion, l'élaboration d'outils techniques, et des initiatives de formation. Le résultat 4 du projet PTCS  « les acteurs locaux mettent en place des mesures d’accompagnement et de conservation des eaux de surface et souterraines sur base des principes de gestion intégrée des ressources en eau se concentre sur l'amélioration de la gestion intégrée des ressources en eau », en réponse à la dégradation croissante de ces ressources cherche à instaurer une gestion participative entre les parties prenantes, tout en contribuant aux objectifs du Programme National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PN-GIRE 2019-2030). En vue d’atteindre ce résultat, le projet a lancé une session de renforcement des capacités pour les collectivités territoriales des communes concernées sur la gestion intégrée des ressources en eau. L'objectif principal de cette formation était de renforcer les capacités locales en matière de gestion des ressources en eau, en adoptant une approche intégrée qui prenne en compte non seulement les aspects hydrologiques, mais aussi les dimensions sociales, économiques et environnementales.   Contenu de la Formation La formation sur le GIRE pour les collectivités des communes de Koulikoro a touché à plusieurs aspects essentiels :   1.      Etat des lieux des ressources en eau de la région  : La formation a commencé par une étude approfondie de l'état actuel des ressources en eau de la région. Cette section a permis d'identifier les sources d'eau existantes, leur qualité et les défis auxquels elles sont confrontées, tels que la pollution et la surexploitation.   2.      Textes législatifs et règlementaires du secteur de l’eau au Mali : Nous avons réalisé une analyse des lois et règlements régissant la gestion de l'eau au Mali. L'importance de la conformité légale et des obligations des collectivités locales en matière de gestion des ressources en eau a été mise en lumière dans cette partie de la formation.   3.      Contexte et Historique de l’avènement de la GIRE : Les participants ont discuté de l'histoire de la GIRE, de l'adoption de ce concept dans son ensemble et au Mali. L'importance de la GIRE pour la gestion durable des ressources en eau a été soulignée dans ce module. 4.      Concept et Principes de la GIRE : Les concepts fondamentaux et les principes directeurs de la GIRE ont été abordés dans le cadre de la formation. Il s'agit d'une gestion participative et holistique des eaux, en tenant compte des exigences écologiques, sociales et économiques.   5.      Technique d’Implication des Acteurs et Usagers dans le Processus de la GIRE : Les techniques d'engagement des différents acteurs, y compris les utilisateurs d'eau, ont été privilégiées dans le processus de GIRE. Des outils pour favoriser l'engagement et la coopération ont été présentés.   6.       Techniques de Prévention et Gestion des Conflits : Le processus de GIRE a privilégié les méthodes d'implication des différents acteurs, dont les usagers d'eau. On a proposé des ressources pour encourager l'implication et la collaboration.   7.      Intégration de l’Approche Genre dans la GIRE : La formation a abordé l'importance de l'intégration de l'approche genre dans la GIRE. Les intervenants ont abordé les façons d'assurer l'inclusion et la prise en compte des besoins et des perspectives des femmes dans les politiques et pratiques de gestion de l’eau.   La formation de ces acteurs sur le GIRE est un pas important vers une gestion plus durable et équitable des ressources en eau. En sensibilisant les acteurs locaux et en encourageant une démarche de collaboration, cette action aide à renforcer la capacité de résilience de la région aux futurs enjeux hydriques.  


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    Mali MLI21003

  • 183 acteurs·ices communautaires sensibilisés aux mécanismes d’assistance judiciaire au Burkina Faso deviennent des relais au sein des populations locales

    Burkina Faso : les acteurs·ices communautaires sensibilisés aux mécanismes d’assistance judiciaire deviennent des relais au sein des populations locales


    Geoffroy ZONGO | 09/08/2024

    Au Burkina Faso, le mois de juillet 2024 a été consacré à la poursuite d'une campagne d'information et de sensibilisation  sur l'assistance judiciaire  des acteurs·ices communautaires et des autorités administratives de proximité des juridictions du ressort de la Cour d'Appel de Ouagadougou .Cette initiative d'Enabel en collaboration avec le Fonds d'Assistance Judiciaire (FAJ) entre dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d'Appui au Renforcement de la Justice pour lutter contre l'Impunité. Le projet PARJI est financé par l'Union européenne dont la mise en œuvre est confiée à Enabel sur une durée de 3 ans (2021-2024).  La Cour d’Appel de Ouagadougou est la zone d’intervention du PARJI dont l’objectif est de garantir à tous·tes un égal accès à la justice à travers notamment (i) l’amélioration du fonctionnement de la chaîne pénale, (ii) la mise en œuvre de chantiers considérés comme prioritaires (le renforcement des services d’interprétation judiciaire et des services de médecine légale) et (iii) le renforcement de la justice de proximité. Ainsi, dans l’optique de contribuer à un plus grand accès à la justice aux personnes les plus vulnérables, Enabel à travers le PARJI accompagne le FAJ pour une augmentation du nombre des bénéficiaires de l’assistance judiciaire au Burkina Faso. L’assistance judiciaire se définit comme étant tout soutien accordé par l’Etat aux personnes indigentes et à des catégories de personnes vulnérables pour faire valoir leurs droits en justice et garantir de ce fait, l’accessibilité financière de la justice au plus grand nombre de burkinabè. Malgré de nombreux résultats engrangés par le FAJ depuis sa création en 2016, ses services restent peu connus d’une grande partie de la population burkinabè. D’où la nécessité de poursuivre et d’intensifier les actions de vulgarisation de l’information sur l’assistance judiciaire à travers l’organisation de campagnes de sensibilisation au profit d’acteurs·ices communautaires de divers ordres et autorités administratives de proximité. La présente campagne a concerné les acteurs·ices communautaires et les autorités administratives de proximité des communes de Zorgho, Mogtédo, Boudry et Zam qui relèvent toutes du Tribunal de Grande Instance Ouaga 1. Désormais, ces acteurs·ices connaissent l’existence du mécanisme d’assistance judiciaire au Burkina Faso, les missions et le fonctionnement du FAJ et des Commissions d’Assistance Judiciaire (CAJ). Ils/elles sont sensibilisés sur les conditions, la procédure d’obtention et les effets de l’assistance judiciaire. Ces 183 acteurs·ices sensibilisés et formés servent désormais de relais au sein des populations de leurs localités respectives car ils/elles se sont approprié leur rôle dans la vulgarisation de l’information vraie et juste sur l’assistance judiciaire. Les campagnes d’information et de sensibilisation des acteurs·ices communautaires et des autorités administratives de proximité des juridictions du ressort de la Cour d’Appel de Ouagadougou sur l’assistance judiciaire au Burkina Faso se poursuivent jusqu’à la clôture du PARJI d’ici à mi-octobre 2024.


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    Burkina Faso BFA20003

  • Enabel au Burkina Faso contribue à l’amélioration de l’usage des techniques spéciales d’enquêtes financières en matière de blanchiment de capitaux

    Enabel au Burkina Faso contribue à l’amélioration de l’usage des techniques spécialisées d’enquêtes financières en matière de blanchiment de capitaux


    Geoffroy ZONGO | 09/08/2024

    Enabel au Burkina Faso, en collaboration avec la Brigade Centrale de Lutte Contre la Cybercriminalité, a organisé une séance de formation au profit des Officiers et des Agents de police judiciaire relevant de la Cour d’Appel de Ouagadougou. La formation s'est déroulée du 22 au 26 juillet 2024. Son objectif était de renforcer leurs capacités sur les techniques spéciales d’enquête, notamment les techniques d’enquêtes financières en matière de blanchiment de capitaux, de financement des activités illégales et de recouvrement des avoirs criminels. Cette activité entre dans le cadre de la mise en œuvre par Enabel, du Projet d’Appui au Renforcement de la Justice pour lutter contre l’Impunité (PARJI) financé par l’Union européenne.  En effet, la Brigade Centrale de Lutte Contre la Cybercriminalité (BCLCC) est une unité de police judiciaire qui a une compétence nationale et qui relève du pôle judiciaire spécialisé dans la répression des infractions économiques et financières. Elle est donc impliquée dans le traitement de ces infractions qui, sur de nombreux points, obéissent à un régime juridique particulier. Elle n’est pas seule dans cette œuvre et d’autres unités de police judiciaire concourent à l’atteinte de l’objectif qui est de rendre le crime non rentable pour les criminels. C’est pourquoi il est nécessaire que les enquêteurs disposent de meilleures techniques d’investigation afin de pouvoir détecter la finalité des avoirs criminels, à savoir le blanchiment des capitaux et autres financements d’activités illégales. Cette séance de formation a regroupé 33 Officiers (OPJ) et Agents de police judiciaire (APJ) de la BCLCC, de la Division des Investigations Criminelles, de la Division de la Police Économique et Financière, des régions du Centre-Sud, du Centre-Ouest, du Plateau central et du Centre. Durant les 5 jours de formation dans la ville de Manga, les participants ont pris connaissance du cadre légal et règlementaire encadrant les techniques spéciales d’enquête. Ils ont appris à se familiariser avec les différentes notions en lien avec le blanchiment de capitaux, les financements d’activités illégales et le recouvrement des avoirs criminels. Ils ont également assimilé, à travers des exercices pratiques, les bonnes techniques d’enquêtes financières. Ces 33 OPJ et APJ sont désormais aptes à diligenter convenablement des enquêtes financières. Toute chose qui va contribuer au renforcement de la chaine pénale pour lutter contre l’impunité au Burkina Faso. 


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    Burkina Faso BFA20003

  • Enhancing Uganda's Business Environment: Learning Event on Governance and Anti-Corruption Initiatives

    Enhancing Uganda's Business Environment: Learning Event on Governance and Anti-Corruption Initiatives


    Jovia KAVULU | 09/08/2024

    08/08/2024 - Enabel, in collaboration with the Private Sector Foundation Uganda (PSFU), hosted a pivotal learning event focused on advancing Uganda's business landscape through robust governance and anti-corruption efforts. As we are near the conclusion of the Skills, Attitude, Governance, and Anti-Corruption (SG+) project, key stakeholders gathered to reflect on the significant strides made since the project’s inception in November 2020.The SG+ project has been instrumental in creating a more favourable business environment in Uganda. The Governance and Anti-Corruption (GAC) component has tackled corruption head-on by boosting e-procurement capabilities, promoting digitalisation, strengthening corporate governance, and establishing reporting mechanisms that support public-private dialogue. Notably, the project has empowered over 400 private sector companies to utilize the Electronic Government Procurement system, educated 180 leaders on e-government services, and facilitated the anonymous reporting of 157 corruption cases.Reflecting on the progress made, Mrs. Sophie Kyagulanyi, Project Manager for SG+, highlighted the evolving role of the Private Sector in combating corruption: “At the start, the private sector was hesitant to speak out about corruption. But today, they are actively following up on reported cases. This project has ignited a flame that won’t be easily extinguished. The structures we've established are self-sustaining and will continue to combat corruption, even as the project ends,” she said.The EU Representative, Mr. Sofian Dahmani, underscored the importance of continued collaboration, stating: “ his project demonstrates the power of partnership. The EU is committed to supporting Uganda's efforts in creating a transparent and accountable business environment. The progress made here is a testament to what we can achieve when we work together.” Adding to this, Belgian Embassy Deputy Ambassador, Mr. Luc Pirson, emphasised: “The broader implications of these efforts, noting that good governance and anti-corruption measures are fundamental to sustainable development.”The event also featured contributions from strategic partners such as National Information Technology Authority-Uganda (NITA-U) and Public Procurement & Disposal of Public Assets Authority (PPDA), who have committed to continuing these anti-corruption activities independently. The Deputy Inspector General of Government, Mrs. Ann Muheirwe, reinforced the importance of these initiatives, stating: “The fight against corruption is not just the responsibility of the government. It requires active participation from the private sector, civil society, and every Ugandan citizen. The success of the SG+ project shows that we are on the right path, but there is still much work to be done.”The momentum gained in governance and anti-corruption efforts will not only persist but expand. Organisations like Uganda Manufactures’ Association (UMA) are stepping up to further these efforts, ensuring that the fight against corruption continues and that Uganda’s business environment remains built on integrity and transparency.


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    Oeganda UGA19003

  • Des métiers porteurs dans l’économie verte et circulaire au Burkina Faso identifiés et priorisés avec l’appui d’Enabel

    Des métiers porteurs dans l’économie verte et circulaire au Burkina Faso identifiés et priorisés avec l’appui d’Enabel


    Geoffroy ZONGO | 08/08/2024

    Répondre aux besoins réels des acteurs locaux des zones d’intervention du Programme de Coopération bilatérale belgo – burkinabè 2023-2027 en termes de création d’emplois pour les jeunes, les femmes et les personnes vulnérables via des dispositifs techniques professionnels et entrepreneuriaux pertinents et adaptés aux besoins du marché dans les secteurs de l’économie verte et circulaire. Tel est l’objectif fondamental d’une série d’ateliers initiée par Enabel au Burkina Faso dans les régions du Plateau Central et du Centre-Est. En réunissant des représentant·es des femmes, des jeunes, des hommes, des personnes déplacées internes (PDI) et d’autres groupes vulnérables des deux régions, Enabel a voulu, de façon inclusive, participative et concertée, identifier/prioriser des métiers porteurs, identifier les besoins en formation professionnelle des jeunes et des femmes ainsi que les acteur·rices d’accompagnement des projets professionnels. Les services techniques de l’État ont participé activement à ces différentes rencontres. Différentes dates proposées pour les ateliers : le 10 juillet 2024 à Koupéla dans la province du Kourittenga, le 11 juillet à Tenkodogo dans la province du Boulgou et le 16 juillet à Zorgho dans la province du Ganzourgou. Les ateliers ont rassemblé plus de 130 personnes issues des différentes couches socio-professionnelles des communes touchées par le Programme. En effet, l’objectif visé était de faire une évaluation des métiers porteurs, des besoins de formation professionnelle des jeunes, desvfemmes, des PDI et autres groupes vulnérables, notamment les personnes porteuses d'un handicap, dans les deux régions. Au programme pour les participant·es : faire une identification des métiers à fort potentiel (opportunités d’affaires) existants ou à créer pour chaque secteur d’activité économique dans le domaine de l’économie verte et circulaire et ce, pour les 12 communes. Il s'agit des communes de Tenkodogo, de Garango, de Komtoèga (Province du Boulgou), d’Andemtenga, de Kando, de Koupela, de Pouytenga, de Tansobentenga, d'Yargo, de Dialgaye (Province du Kouritenga), de Zorgho et de Mogtédo (Province du Ganzourgou). Pour rappel, les provinces du Kouritenga et du Boulgou relèvent de la région du Centre-Est et la province du Ganzourgou relève de la région du Plateau Central.  Les travaux de groupe qui ont jalonné ces ateliers ont permis aux participant·es d’identifier les besoins de formation pour chaque commune et les centres, opérateurs ou structures formatrices capables de conduire les formations dans les métiers identifiés. Pour le volet "accompagnement des projets des jeunes et des femmes", ils ont identifié des structures techniques (publiques et privés) de financements ou d’incubations existantes dans les communes pouvant financer les jeunes et les femmes promoteur·rices de métiers verts et autres métiers porteurs.  Au terme des 3 ateliers, les métiers porteurs identifiés et classés par ordre de priorité dans chaque secteur sont :  Secteur des ressources animales et halieutiques = production de poisson, production de volaille, fabricant de produits laitiers ; Secteur de l’agriculture = fabrication de bio pesticide, transformation agroalimentaire, Production de compost et agriculture hors sol ; Secteur des métiers porteurs de l’innovation et des industries culturelles et créatives, notamment dans les secteurs du digital, de l’artisanat et le recyclage de déchets plastiques = collecte et valorisation des déchets plastiques, tissage/teinture et informatique ; Secteur des métiers d’énergies renouvelables et de l’éco-construction = électricité (bâtiment et photovoltaïque), réparation de plaques photovoltaïques, fabrication de foyers améliorés, et recyclage et valorisation des déchets organiques. Ce classement est fait sur la base de la récurrence de ces 14 métiers identifiés et priorisés dans chaque secteur par les acteur·rices des 3 provinces. Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui à la résilience dans le Centre-Est et à Fada (RESIL-KOUP), des jeunes gens, des femmes, des PDI et autres groupes vulnérables dans chaque commune vont bénéficier d’appui de la part d'Enabel en lien avec ces métiers identifiés. Des formations, des équipements, du coaching, de la mise en réseautage, des renforcements de capacités, etc. vont constituer les différents appuis à ces cibles en fonction de leurs besoins spécifiques. 


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    Burkina Faso BFA23004

  • Au Mali : lancement officiel du Portefeuille Thématique Climat Sahel

    Au Mali : lancement officiel du Portefeuille Thématique Climat Sahel


    Nènè TRAORE | 07/08/2024

    Découvrez en images les moments forts du lancement du Portefeuille Thématique Climat Sahel, volet Mali (PTCS). Pour l'occasion, Enabel a rassemblé les parties prenantes pour informer sur la mise en œuvre du projet et les résultats attendus.


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    Mali MLI21003

  • Niger : Promouvoir l'hygiène menstruelle pour le bien-être des jeunes filles

    Au Niger, place à la promotion de l'hygiène menstruelle pour le bien-être des jeunes filles !


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 07/08/2024

    Quel phénomène naturel touche chaque mois la moitié de l’humanité, mais reste malgré tout un sujet de gêne ? Les règles, bien sûr ! Les menstruations restent un facteur d’inégalité et de stigmatisation, notamment en milieu scolaire. Enabel, à travers le projet Sarraounia 2, œuvre dans ses collèges pilotes à la sensibilisation des élèves et l’accès des jeunes filles à des informations fiables sur l’hygiène menstruelle.Placée sous le thème « Les règles, parlons-en ! », la journée internationale de l’hygiène menstruelle 2024 a été célébrée avec l’appui d’Enabel dans le village de Yelou (département de Gaya). Le but de cette journée ? Rompre le tabou et informer. Pour permettre à la communauté en général et à la communauté scolaire en particulier de communiquer et d’échanger sur l’amélioration de la gestion de l’hygiène menstruelle. Les activités proposées durant cette journée se sont déroulées dans l’enceinte du CEG de Yelou qui est l’un des 5 collèges d’intervention du projet. Autorités coutumières, responsables régionaux et départementaux de l’éducation, population de Yelou, communauté scolaire, étaient au rendez-vous.  Actuellement dans le monde et au Niger, avoir ses règles reste un sujet tabou. Cette situation a pour conséquence que dès l'apparition des premières règles, les jeunes filles se retrouvent souvent sans information et livrées à elles-mêmes. Selon une étude soutenue par l’UNICEF, seules 30 % des filles au Niger ont entendu parler des menstruations avant leurs premières règles, ce qui contribue à l’abandon de scolarité chez bon nombre d'entre elles. La mauvaise gestion des menstruations constitue un danger non seulement du point de vue sanitaire, mais aussi pour le maintien des filles à l’école à cause des stigmatisations dont elles peuvent être victimes et aussi de l’inconfort personnel. "Aucune jeune fille ne devrait être contrainte d'abandonner l'école à cause de ses règles." « Les règles, parlons-en ! » consiste à appeler à plus de sensibilisation, d’action et d’information puisque la santé menstruelle fait partie intégrante de la santé et des droits sexuels et reproductifs. Les règles sont devenues un sujet de santé publique, sur lequel il est important d’échanger ouvertement. Cette journée a aussi pour but d’interpeller les décideurs afin d’améliorer les infrastructures sanitaires en milieu scolaire dans le but d’augmenter la fréquentation scolaire des filles, même pendant leurs règles.   Le projet Sarraounia 2 en bref :accompagne les menstruations des filles pour renforcer leur assiduité en classe. Dans ses collèges d'intervention, Enabel s’intéresse à la Gestion de l’Hygiène Menstruelle, car elle contribue à la réalisation de trois Objectifs de développement durables: L’ODD 4 : éducation de qualité ; L’ODD 5 : égalité des sexes et L’ODD 6 : eau propre et assainissement. s'engage pour l'hygiène menstruelle et l'assainissement dans ses collèges d'intervention. Le projet a investi dans la réalisation d’infrastructures inclusives prenant en comptes les besoins spécifiques des filles et même celles en situation de handicap : installation de matériel spécifique comme l'eau et l'assainissement, des kits d’hygiène menstruelle réutilisables, etc.  favorise le dialogue autour des règles avec des séances “causeries”. Le projet organise des séances de causerie entre filles afin de leur donner l’opportunité de s’exprimer sur les difficultés qu’elles rencontrent (liées aux menstruations), mais aussi d’autres préoccupations les concernant. mobilise l’entourage des jeunes filles pour les conseiller et les rassurer. Pour prendre en charge la question de l’hygiène menstruelle, des mères "éducatrices" ont été identifiées et formées. Leur mission ? Prodiguer des conseils aux jeunes filles pour une meilleure gestion de leur période de menstruation, notamment sur les précautions à prendre et le respect strict des mesures d’hygiène.Le projet a permis la distribution de 400 kits de serviettes hygiéniques réutilisables. Il organise aussi des formations pour les filles et les mères éducatrices à la confection de serviettes hygiéniques réutilisables avec des matériaux et des moyens locaux adéquats. Enabel, à travers le projet Sarraounia 2 aide les filles à poursuivre leur scolarité durant leur période de règles.


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    Niger NER22002

  • Advancing National Climate Finance Mobilisation with our new Readiness Program

    Mozambique: Advancing National Climate Finance Mobilisation with our new Readiness Programme


    Velsoma CUMBANA | 06/08/2024

    In recent months, Mozambique has made significant strides towards strengthening its institutional capacities for mobilising climate finance. In two important events held in July 2024, crucial initiatives were launched to accelerate and expand the mobilisation of climate resources in the country. Initial steps in MacanetaOn July 8 and 9, the inaugural seminar of the Green Climate Fund (GCF) activities in Mozambique was held in the district of Macaneta, a few kilometres away from the capital city. This event marked the beginning of the new "Readiness Programme" aiming at strengthening institutional capacities and coordination mechanisms to increase the mobilisation of climate finance. The seminar was attended by key stakeholders, including the National Directorate of Monitoring and Evaluation of the Ministry of Economy and Finance (GCF’s National Designated Authority - NDA) and the Advisory Committee, composed of representatives from various government sectors. The main objectives were (1) to inform about the new GCF Strategic Plan and Readiness Strategy for 2024-2027, (2) to present the Climate Investment Mobilisation and Planning Framework of the GCF-NDC Partnership, and (3) to outline the activity plan for the implementation of the Readiness Programme. During the discussions, challenges such as lengthy procedures for project proposal applications, the absence of a National Programme to guide the country's climate finance priorities, and the lack of nationally accredited entities were identified. Addressing the Challenges To directly address the challenges identified in Macaneta, a workshop was held on July 29 and 30 with the aim of defining priority sectors and projects for the development of the GCF "Country Programme." Ponta do Ouro was the stage for laying the groundwork for the implementation of climate projects in Mozambique and meeting the need for a National Programme to guide climate finance priorities. The first day of the workshop featured an overview of the new Readiness Strategy (2024-2027), ways to access GCF funds, and institutional arrangements to facilitate fund mobilisation. Discussions focused on submitting integrated projects to increase coverage and avoid duplication of efforts. The identified priority areas were: Electrification through mini-grids integrated with rural development approach. Water and sanitation, disaster risk reduction integrated with early warning systems interconnected with NAPs (National Adaptation Plans). Water preservation for community use through small dams and/or excavated reservoirs. Moving forward… The events in Macaneta and Ponta do Ouro not only marked the beginning of a new phase for climate finance in Mozambique but also highlighted the importance of a coordinated effort between the government, private sector, and other stakeholders. Strengthening institutional capacities and creating an efficient environment for processing climate projects are essential to ensure that Mozambique is prepared to face the challenges of climate change and achieve its goals under the Paris Agreement. In the coming months, meetings and other activities will be held to promote greater involvement of the private sector and various government sectors, with the ultimate goal of increasing climate finance mobilisation directed towards Mozambique.  


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    Mozambique MOZ21001

  • Convergence des acteurs pour le climat pour  un cadrage méthodologique optimal  au Mali

    Atelier stratégique à Koulikoro : vers une coordination renforcée pour l'action climatique au Mali


    Nènè TRAORE | 06/08/2024

    Convergence des acteurs pour le climat pour  un cadrage méthodologique optimal au MaliDans le cadre de la mise en œuvre des actions du Portefeuille Thématique Climat Sahel-Volet Mali (PTCS) à Koulikoro, une rencontre stratégique a été organisée le lundi 29 Juillet 2024 au conseil régional de Koulikoro avec divers·es acteur·rices clés de la région.   Cet atelier multi-acteur·rices avait pour objectif de favoriser la coordination des actions et d'améliorer la coordination entre les différent·es acteur·rices de la zone d'intervention du PTCS. Il en ressort qu'une meilleure coordination et collaboration entre les acteur·rices régionaux·ales et locaux·ales est nécessaire pour maximiser l'effet des mesures climatiques dans le cadre de ce projet. L'atelier a rassemblé un ensemble diversifié de participant·es de la région de Koulikoro, y compris des représentant·es des administrations régionales et locales, des organisations non gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile, des services techniques, ainsi que des collectivités locales de la zone d’intervention du PTCS. La diversité des participant·es était essentielle pour assurer une perspective holistique et inclusive des défis et des opportunités liés à la mise en œuvre des actions climatiques dans la région de Koulikoro. Après la cérémonie d’ouverture par les autorités, s'en est suivie la présentation des différentes organisations travaillant sur le thème du changement climatique. Thématiques abordées et résultatsLes discussions (sous forme d'échanges, de questionnements, de conseils et de partage d’expériences) au cours de l'atelier ont porté sur plusieurs thématiques cruciales, notamment : la mise en place de cadre de rencontre multi-acteur·rices ; la gestion de la situation sécuritaire ;la lutte contre la dégradation des terres et les effets négatifs de changement climatique.  Liste des recommandations formulées à l'issue de cet atelier :la mise en place d’un cadre de concertation multi-acteur·rices permanent qui se réunira à chaque 6 mois ; un échange permanent sur les problèmes de développement des activités liées à la lutte contre les effets négatifs du changement climatique, la gestion des situations sécuritaires ; une bonne collaboration entre les ONG qui interviennent dans la région de Koulikoro ; une synergie d’actions entre les différents intervenant·es (ONG) pour éviter le chevauchement ; une collaboration des intervenant·es avec les services techniques et collectivités locaux.   Pour conclure, cette réunion multi-acteur·rices n'a pas seulement renforcé les relations entre les différents acteur·rices, mais a aussi posé les fondements d'une démarche intégrée et collaborative dans la mise en place des actions climatiques à Koulikoro. Grâce à cette collaboration, le PTCS pourra mieux répondre aux besoins des communautés locales et contribuer de manière significative à la résilience climatique de la région.      


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    Mali MLI21003