On the 9th of May 2018, the technical servicing center
of Africa Action Help (AAH) in Adjumani received a visit from 5
members of the European parliament’s Committee on Development (DEVE), headed by
chairperson Mrs. Linda Mcavan.
The delegation interacted with
students in welding, moto vehicle mechanics, motorcycle repair and plumbing. Enabel’s
Support to Skilling Uganda project assists in the organization of these
practical, short-term trainings through a Skills development fund for refugees and host communities,
fueled by the European Union Trust Fund (EUTF).
AAH teamed up with local artisans to organize
qualitative and market-relevant trainings with the financial aid of the Skills
Development Fund. Currently, students gain practical experience in the garage during
their 8-month trainings, including industrial attachment and coaching to work.
And they appreciate it: “We now have
better materials so we can exercise on real motorcycles and cars. We really learn
to work with our hands.”, says 17-year old Motor Vehicle Repair student
William Ojok. AAH manager Julius Oboth adds that “Currently students are better protected on the work floor, because we
bought boots, overalls and glasses. ”
The visit concluded with a virtual
reality demonstration used during SSU’s awareness campaigns to attract youth to
technical and vocational training. With the help of virtual reality glasses,
videos from activities in top-notch workshops and garages are brought to life
and capture the attention of idle youth. “This
is an innovative way to bring technical training to remote areas.” Commented
Linda Mcavan, chairperson of the DEVE delegation. “After
this visit we can explain in the European Parliament that the EUTF
contributions are used in a constructive way, because we saw it with our own
eyes.”
In 4 training courses in May 2018, 141 conciliators from around 75 communes in Kon Tum province acquired knowledge of the rules of engagement, new skills and methods for the settlement of conflicts that are below the threshold of prosecution. Vietnamese laws and village conventions are the basis for their work. Understanding the reasons and motivations of people to get into conflicts is key to developing empathy with the people’s case. The trained conciliators aptly help the people to overcome the causes of their dispute, find a compromise or prepare for settlement in court.
L’Imam Abarchi, leader
religieux, prêche lors de la prière hebdomadaire du vendredi depuis environ
cinq ans. C’est un pionnier dans son village de Birni Falla dans la commune de
Douméga à Dosso (Niger). Il a en effet posé un acte, inimaginable il y a à
peine un an dans cette communauté rurale traditionnelle : remettre la dot
apportée par le prétendant de sa fille Aicha en classe de 3ième, admise au BEPC
session 2017 afin de lui permettre de poursuivre ses études au Lycée de Douméga.
Le mariage précoce
était jusqu’alors la pratique la plus valorisée socialement pour toute jeune
fille scolarisée. Pourtant, son geste a été relativement bien compris par son
entourage car, selon lui, « à Birni
Falla, les villageois ont vu des exemples concrets de l'impact de la réussite
scolaire d'une jeune fille pour la jeune fille elle-même, sa famille et sa
communauté ».
Il estime que les
normes et les pratiques sociales relatives au mariage précoce évoluent. Grâce à
une approche de sensibilisation relationnelle, « la majorité des parents d'élèves privilégient désormais la
réussite scolaire de leurs filles sur la pratique traditionnelle du mariage
précoce ».
Auparavant dès
qu'une jeune fille était exclue du système public après les deux tentatives
permises au BEPC, elle était systématiquement mariée. Maintenant, ce sont les
parents eux-mêmes qui se débrouillent pour lui permettre de s'inscrire dans un
collège privé à Douméga afin de lui donner une nouvelle chance d'obtenir ce
diplôme d'études secondaires, indispensable pour avoir accès à des formations
diplômantes.
Pour démontrer son
engagement sans faille, l’Imam Abarchi s'est dit disponible pour être un
ambassadeur du plaidoyer en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans
les communautés rurales où les individus continuent de privilégier le mariage
précoce. Dans ce cadre, il a déjà été primé en tant que leader religieux le
plus engagé en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans sa communauté
par l'Honorable Sultan Djermakoye, la plus haute autorité traditionnelle de la
région lors d’une cérémonie.
Des personnes comme
l’Imam Abarchi qui osent défier les stéréotypes culturels sont incontestablement
des modèles locaux à promouvoir socialement.
Dans le cadre du projet Sarraounia, la première édition de
la Compétition Sarraounia a été organisée afin de récompenser les meilleur(e)s
élèves de l’année, mais pas seulement. En effet, l’originalité de cette
compétition réside dans son caractère inclusif : plusieurs catégories de
prix ont été décernées afin de récompenser l'engagement individuel et
communautaire des acteurs locaux en faveur de la scolarisation de la jeune
fille.
En premier lieu, c’est l'engagement de la jeune fille et la
promotion du modèle de la jeune fille qui réussit ses études qui ont été mis en
avant. En récompensant des modèles de jeunes filles qui réussissent leurs
études, le projet vise à emmener progressivement la majorité des individus dans
les communautés rurales cibles à percevoir la réussite scolaire comme une
meilleure opportunité pour la jeune fille scolarisée que le mariage précoce.
Ensuite, l'engagement des structures scolaires et des
leaders locaux a été mis à l’honneur à travers l’attribution de prix aux
acteurs locaux les plus engagés. Ont notamment été ciblés : les Comités de
Gestion des Etablissements Scolaires les plus dynamiques et un leader religieux
particulièrement engagé.
Enfin, l'engagement des parents d'élèves et la promotion du
modèle de parents d'élèves qui encouragent la réussite scolaire de la jeune
fille individuellement au niveau des familles a été récompensé. En récompensant
individuellement les parents d'élèves qui encouragent le plus leurs filles
scolarisées jusqu'à l'obtention de leur BEPC, Sarraounia a adopté une approche
innovante.
Employment is the key to development and inclusive growth. It generally leads to improved living conditions and reduces poverty. A main driver of employment is education, and particularly vocational education and training (VET), which equips people with skills that are on demand in the labour market. However, many of the VET systems in the developing world are inadequate. People trained through these existing VET systems do not acquire the right skills and competences due to several limiting factors, namely the lack of private sector involvement in the training and missing linkages to formal and informal businesses. Furthermore, the VET systems are often inaccessible to the most disadvantaged groups, including vulnerable individuals, youth and women, even though it is exactly these people that could benefit most from an education that increases employability.Addressing these challenges requires clear priorities and particularly resources, which many countries do not have or are not capable of mobilising. As a response, the European Union decided to launch the VET Toolbox, a new international facility that provides partner countries with much needed expertise, tools on themes such as VET policy and reform, labour market intelligence, private sector engagement in VET, and inclusiveness of disadvantaged groups.
To improve the quality of skills training of livelihood activities, Enabel has set up a voucher scheme, breaking
down skills development to its smallest possible format through ‘instant
skills training’ to beneficiaries of agencies supporting livelihood and
income generating activities.
Cadre de
rencontre et de formation pour les jeunes producteurs tout au long de la saison
de culture, le CEP est « une école dans les champs », lieu d’échange
d’expériences et de connaissances pour développer les savoirs faire des bénéficiaires
et faciliter l’intégration de nouvelles techniques de production agricole.
Entre avril et mai, Enabel au Maroc a accueilli huit nouveaux collaborateurs au sein de son Programme d’appui à la gestion de la thématique migratoire, mis en œuvre en partenariat avec le Ministère délégué chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et des Affaires de la Migration. Le premier volet du nouveau programme de coopération entre la Belgique et le Maroc a été officiellement signé le 15 mars et lancera ses premières activités en 2018. Composé actuellement de deux interventions, il s’aligne sur les politiques marocaines en matière de migration.Première composante du nouveau programme, le projet Amuddu appuie le volet « formation professionnelle et emploi » de la Stratégie Nationale d’Immigration et d’Asile (SNIA) et contribuera à améliorer l’employabilité des migrant·e·s. Il mettra en œuvre des mesures innovantes ciblant directement les obstacles rencontrés par les migrant·e·s dans leur parcours d’intégration économique (appui à l’auto-emploi, bourses, incitations à l’embauche, mentoring…). Par le développement de dynamiques au niveau local, le projet identifiera par ailleurs les besoins et les attentes de la population migrante. Cela facilitera l’orientation de cette population vers les services adéquats, en particulier ceux de l’Entraide Nationale et l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences, institutions avec lesquelles le projet Amuddu a établi des partenariats opérationnels. Le projet MBI (Maghrib Belgium Impulse) accompagnera quant à lui les Marocain·e·s résidant en Belgique et porteurs/euses d’un projet d’investissement dans la création de leur entreprise au Maroc. Les porteurs/euses de projet sélectionné·e·s recevront un appui personnalisé comprenant de nombreuses formations ainsi que du coaching par des professionnel·le·s de l’entreprenariat. Grâce au partenariat établi avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc, elles/ils bénéficieront également de nombreuses opportunités de networking avec d’autres expert·e·s actif/ves au Maroc. L’équipe du Programme migration s’agrandira encore prochainement avec l’intégration d’une troisième intervention portant sur l’empowerment juridique des migrant·e·s. Ce projet aura pour but d’améliorer l’accès des migrant·e·s et réfugié·e·s à leurs droits via le renforcement des compétences des acteurs/trices pouvant faciliter cet accès (avocat·e·s, étudiant·e·s en droit, associations et personnel des institutions publiques). Le lancement de ce programme illustre l’élargissement du champ d’activités de la coopération belge au Maroc à de nouvelles thématiques, en particulier dans le domaine des droits humains. Avec trois interventions ciblant la question migratoire, la Belgique soutient activement le Maroc dans la mise en œuvre de ses politiques migratoires en alliant un partage de son expérience en tant que pays d’immigration à une mobilisation des compétences des Marocain·e·s résidant en Belgique.
Entre avril et mai, Enabel au Maroc a accueilli huit nouveaux
collaborateurs au sein de son Programme d’appui à la gestion de la thématique
migratoire, mis en œuvre en partenariat avec le Ministère délégué chargé des
Marocains Résidant à l’Étranger et des Affaires de la Migration. Le premier volet
du nouveau programme de coopération entre la Belgique et le Maroc a été
officiellement signé le 15 mars et lancera ses premières activités en 2018.
Composé actuellement de deux interventions, il s’aligne sur les politiques marocaines
en matière de migration.
Première composante du nouveau programme, le projet Amuddu appuie le
volet « formation professionnelle et emploi » de la Stratégie Nationale
d’Immigration et d’Asile (SNIA) et contribuera à améliorer l’employabilité des
migrant·e·s. Il mettra en œuvre des mesures innovantes ciblant directement les
obstacles rencontrés par les migrant·e·s dans leur parcours d’intégration
économique (appui à l’auto-emploi, bourses, incitations à l’embauche, mentoring…).
Par le développement de dynamiques au niveau local, le projet identifiera par
ailleurs les besoins et les attentes de la population migrante. Cela facilitera
l’orientation de cette population vers les services adéquats, en particulier
ceux de l’Entraide Nationale et l’Agence nationale de promotion de l'emploi et
des compétences, institutions avec lesquelles le projet Amuddu a établi des partenariats
opérationnels.
Le projet MBI (Maghrib Belgium Impulse) accompagnera quant à lui les Marocain·e·s
résidant en Belgique et porteurs/euses d’un projet d’investissement dans la
création de leur entreprise au Maroc. Les porteurs/euses de projet sélectionné·e·s
recevront un appui personnalisé comprenant de nombreuses formations ainsi
que du coaching par des professionnel·le·s de l’entreprenariat. Grâce au
partenariat établi avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc, elles/ils
bénéficieront également de nombreuses opportunités de networking avec d’autres expert·e·s
actif/ves au Maroc.
L’équipe du Programme migration s’agrandira encore prochainement avec
l’intégration d’une troisième intervention portant sur l’empowerment juridique
des migrant·e·s. Ce projet aura pour but d’améliorer l’accès des migrant·e·s et
réfugié·e·s à leurs droits via le renforcement des compétences des
acteurs/trices pouvant faciliter cet accès (avocat·e·s, étudiant·e·s en droit,
associations et personnel des institutions publiques).
Le lancement de ce programme illustre l’élargissement du champ
d’activités de la coopération belge au Maroc à de nouvelles thématiques, en
particulier dans le domaine des droits humains. Avec trois interventions
ciblant la question migratoire, la Belgique soutient activement le Maroc dans
la mise en œuvre de ses politiques migratoires en alliant un partage de son
expérience en tant que pays d’immigration à une mobilisation des compétences
des Marocain·e·s résidant en Belgique.
En
partenariat avec le monde associatif et en vue de l’apprentissage de métiers porteurs
en termes d’insertion professionnelle des jeunes, deux experts briquetiers ont
été dépêchés de GBADOLITE, en appui à la congrégation des frères Franciscains
de la vie de Marie.
Ces
artisans ont formé 6 frères encadreurs et 25 jeunes déscolarisés aux techniques
de fabrication des briques cuites dans la cité d’UMANGI, située à 17 km au nord
de la ville de LISALA au bord du fleuve Congo.
La
formation s’est déroulée en deux étapes : d’abord le bon choix de l’argile
afin de produire une brique de qualité, le broyage, le malaxage, le façonnage
ainsi que le séchage ; ensuite la mise en place d’un four adapté à la
cuisson des briques.
Cette
formation est en adéquation avec les besoins des apprenants, dans la mesure où
elle ouvre la voie à ces derniers vers une insertion professionnelle. L’accès à
un emploi durable et de qualité devrait leur permettre de s’émanciper
professionnellement et socialement tout en restaurant des logiques d’acteurs et
de responsabilité.Le programme a doté
cette structure de presses à briques modernes pour poursuivre la formation des
apprenants devenus des acteurs de changement (formation et éveil
entrepreneurial). De plus, des presses à
briques fabriquées localement par les forgerons, ont été remises comme kits de
sortie à la première promotion des jeunes formés pour leur insertion
socio-professionnelle. Ceci afin de contribuer
à l’amélioration des conditions de vie des jeunes, grâce à la promotion d’activités
génératrices de revenus.Signalons par ailleurs, que le programme vient en
appui aux forgerons en vue de renforcer le secteur privé tout en
disponibilisant une main d’œuvre qui correspond à leurs attentes en capital
humain de qualité. Equipe EDU-MOSU
Two training courses started in Ha Tinh city on 16 May 2018. The first course with over 100 members of People's Councils of provincial and district level enhanced the skills of the deputies in direct contact with and qualified response to the people's complaints and proposals. In a second training course the methodic information will be mainstreamed to the councillors on commune and ward levels. The trainer for the first course is Ph.D. Nguyen Si Dung, the Former Vice Chairman of the Office of the National Assembly, and the trainer for the second course is Ph.D. Bùi Đức Thụ, the former Standing Member of Finance and Budget Committee of the National Assembly in the 2011-2016 Tenure.
With this brochure CDPR tries to explain in simple language waht the projct has doen. Often the general public asks itself: what is the point of Governance projects? Apart from meetings, trainings and a whole lot of documents, how does it make a difference? We really hope that this brochure helps to understand better the importance of governance. Any suggestions to improve are most welcome! Follow the link!!https://drive.google.com/file/d/1OliTEnoj8WXFwxPsqxTspxSHWKPMTsZu/viewhttps://drive.google.com/file/d/1nXt8QEoX1LmD6o6cVSVrNsMHfWSo9Aey/view
With the
technical and financial support from Belgian Development Agency (Enabel) and in
line with End Term Evaluation recommendations, in April and May 2018 the Capacity
Development for Planning Reform (CDPR) project organized in cooperation with
the MPI Training Institute five training courses in Da Nang and Ho Chi Minh
city about local socio-economic development plans (SEDP) and public investment project
assessment. The training courses involved participation of more than 400
trainees from various districts, communes in Central, Central Highland and
Mekong Delta regions. Theoretical and practical knowledge about preparation,
monitoring and evaluation of SEDPs, evaluation of public investments, followed
by problem case solving, were organised in a real-life manner.”
En el Perú, el Ministerio de Economía y Finanzas (MEF) implementó, en 2007,
el Presupuesto por Resultados (PpR) como una estrategia para modernizar la
manera tradicional de formular el presupuesto público. A diferencia de esta,
que se basa en la asignación histórica (incrementalismo), el PpR busca el
cumplimiento de resultados, medidos con indicadores previamente definidos.
Siguiendo esta lógica, el Programa Presupuestario de Salud Materno Neonatal
(PPSMN), cuyo resultado final es la reducción de la morbimortalidad materna y
neonatal, fue uno de los primeros que se implementó en 2008.
En 2014, el MEF, el Seguro Integral de Salud-SIS y los
Gobiernos Regionales de Amazonas y Cajamarca firmaron un convenio cuyo objetivo
era incrementar la cobertura del Programa de salud materno neonatal. Para
ello, contó con recursos de la Cooperación Belga a través de la Agencia
Belga de Desarrollo (CTB-Perú - Enabel).Estas regiones fueron
priorizadas por tener gran población vulnerable y altas tasas de
morbi-mortalidad materna y neonatal.
Para reducir los cuellos de botella a nivel local y mejorar
la provisión de servicios de calidad, se diseñó una Investigación
Acción de los procesos decisionales de la asignación de recursos y su
monitoreo y control.
La investigación describe el funcionamiento de Unidades Ejecutoras
en salud, analiza sus desafíos y cuellos
de botellas. También, se describe como las Unidades Ejecutoras han pasado por
el ejercicio de priorización y ejecución de sus gastos a través de un ciclo de
mejora.
Por fin también recomienda acciones para facilitar una
investigación acción en base a esta experiencia.
Encuentren a continuación el informe de esta investigación: https://drive.google.com/drive/u/1/folders/1KZ4pL_bj3wEE-d2nDngJlYL7wvyzhDCk
Pour la 8ème fois consécutive, l’Agence belge de développement a participé activement au Salon international de l’agriculture (SIAM) de Meknès. Cette année, pour la première fois, Enabel y assurait une triple présence.
Dans le pôle « international », tous les projets d’appui à l’agriculture solidaire maroco-belges étaient présents dans un stand où les animatrices du projet d’appui aux filières du safran et du palmier dattier ont pu montrer les résultats impressionnants des cours d’alphabétisation fonctionnelle des femmes rurales.
Pour la première fois cette année, dans le pôle « produits », l’équipe du même projet animait un stand « BtoB » pour promouvoir les produits des coopératives partenaires auprès de gros acheteurs potentiels.
Enfin, dans le pôle « produits du terroir », les coopératives et groupements d’intérêt économique partenaires des filières safran, dattes et amandes exposaient et vendaient leurs produits au public, en présence des équipes d’animateurs des projets qui les ont accompagnés jusque-là.
Saluons la coopérative d’amandes de Sidi Bouhria (région de l’Oriental) qui a eu l’honneur d’obtenir la médaille de bronze dans la catégorie de fruits et légumes du Concours marocain des produits du terroir.