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Avec l’accompagnement, l’appui technique et financier du projet « d’appui au renforcement de l’écosystème de l’économie numérique au Bénin - Digiboost », financé par l’Union Européenne et mise en œuvre par Enabel, la communauté Women In Tech renforce les capacités de ces membres. Un curricula de formation en anglais courant et des affaires est conçu au profit des membres de cette communauté. Ce curricula de formation permettra d’éliminer les barrières linguistiques auxquelles sont confrontés les entrepreneurs francophones et à leur permettre d’accéder à de nouvelles opportunités à l’international. Ainsi, 45 femmes entrepreneures, professionnel des métiers du numérique bénéficieront pendant (03) trois mois de la formation en anglais courant et des affaires délivré par le cabinet Language Lab. Grâce à la méthode d’apprentissage, le suivi individuel et quotidien dont elles bénéficieront, les participantes se sont lancées le défi de tenir une conversation professionnelle en anglais. A l’issu d’une première vague organisée au profit des Structures d’Appui à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI), cette deuxième vague qui a débuté le 12 avril dernier pour une durée de (03) trois mois, est organisée exclusivement au profit de la communauté Women In Tech au Bénin.
In August 2020, the European Union and Germany issued a grant that aimed at supporting nine countries[1] in Africa in the use of digital technologies to address the health challenges that are caused by the COVID-19 pandemic. The RESICODI (strengthening the resilience to COVID-19) project is implemented by Enabel in Burundi, Rwanda and the DR Congo.One of the challenges that Rwanda had to face, as many other countries, was monitoring the spread of the virus and the vaccination of the population.Through the RESICODI project, Enabel collaborated with the Rwanda Biomedical Center (RBC) to develop a COVID-19 app (the RBC-C19 app), giving patients the opportunity to manage their vaccination status, keep track of their results and offering access to various reliable resources related to COVID-19. The RBC-C19 app became the official COVID-19 status application for Rwanda's national health agency.To date, more than 10,000 people have downloaded the app.“COVID-19 has demonstrated that we need to use information systems and data. We need to be as prepared as possible to inform in real time,” says Dr. Richard Gakuba, Business Analyst eHealth at Enabel.“The client just needs to register in the app and he/she can then access his/her vaccination status. The app automatically shows the certificate. It’s really easy to use for me in my job.” Lambert Mugabo, taxi driver and user of the RBC-C19 app.[1] Burundi, Rwanda, DRC, Botswana, Madagascar, Malawi, Namibia, Tanzania, Zambia
L’Agence belge de développement (Enabel) a réalisé une étude de marchés des services financiers dans le Centre-Est du Burkina Faso. L’étude a permis de déterminer les causes de l’exclusion financière de la majorité de la population et également à Enabel de définir ses modes d’interventions en matière d’inclusion financière dans cette région. La région du Centre-Est compte douze (12) banques sur 15 existants au Burkina Faso. Hormis la région du Centre et Celle des Hauts-Bassins, aucune autre région du pays n’accueillent autant de banques. En dépit du dynamisme et du potentiel économique de la région ainsi que la forte présence d’institutions bancaires et d’IMF, on assiste à une situation paradoxale en matière d’inclusion financière. L’objectif global de l’étude est de connaitre les causes de la demande non satisfaite en services financiers et d’affiner les connaissances sur l’exclusion financière des populations du Centre-Est. L’étude a permis de déterminer des causes de l’exclusion financière de la majorité de la population du Centre-Est et à Enabel de définir ses modes d’interventions en matière d’inclusion financière dans cette région A l’issue des investigations, l’étude a révélé qu’au 31/12/2019, la portée des IF formelles et assimilées dans la région du Centre- Est a atteint 135 499 individus pour 37,725 milliards FCFA d’encours de crédit et des dépôts d’épargne s’élevant à 24,847 milliards FCFA. Le volume des transferts n’a pas pu être capté pour l’ensemble des IF ainsi que les transferts par Mobile Money. Cela est dû au fait que les systèmes d’information de gestion des institutions rencontrées n’étaient pas disponibles au niveau guichets ou agences. En rapportant le nombre d’utilisateurs des IF et assimilées à la population adulte totale de la région, on obtient un taux d’inclusion financière de 23,4%. Ce qui est inférieur au taux d’inclusion financière de 30% des IF bancaires, non bancaires et du secteur informel relevé par l’enquête FinScope Burkina 2016. Mais tout comme le FinScope, le taux de bancarisation, est légèrement supérieur au taux d’inclusion financière de la microfinance (15% dans le FinScope contre 10% ici). Pour ce qui concerne la répartition des clients des IF de la région du Centre-Est par secteur d’activités et par genre, les clients salariés dominent au niveau des banques (43%), suivis des agriculteurs (15%). Au niveau des SFD, les trois premières catégories de clients sont : commerçants (54%) ; agriculteurs (24%) ; éleveurs (12%). Il est intéressant de noter que le secteur agricole (production végétale et élevage) est assez bien desservi par les IF formelles (36%). Au niveau genre, la clientèle des IF est majoritairement constituée de jeunes (<35 ans) : 56% pour les banques et 68% pour les SFD. Les femmes constituent la clientèle privilégiée des SFD (69%) mais seulement 35% de la clientèle des banques.Qu’est-ce qui explique la forte exclusion financière des populations du Centre-Est ? Les investigations de l’étude ont permis de faire ressortir plusieurs causes majeures de cette situation du point de vue des ménages enquêtés, des structures et personnes ressources rencontrées. Ces causes sont d’ordre socio-culturel, économique, organisationnel et physique (aménagement du territoire). Elles sont constatées aussi bien du côté de la demande que du côté de l’offre en produits et services financiers. 18 communes sur les 30 que compte la région du Centre-Est n’abritent aucun point de service d’IF. Le potentiel de ces 18 communes est analysé dans cette section sous deux angles : potentiel sociodémographique et potentiel économique. Au regard de tous ces résultats, des recommandations ont été faites à l’endroit des institutions financières, vis-à-vis des acteurs économiques locaux et à l’endroit de Enabel. Adama GNANOU Assistant communication
Le mardi 19 avril 2022 a eu lieu la cérémonie d'inauguration du centre de ressource de Wacoro en présence des autorités régionales dont le maire de Wacoro, la sous-préfet de Dioila, les chefs de village de Wacoro et Wolodo , l'équipe de ICRAF et Enabel. Situés dans la région de Diola, les centres de ressources rurales s'inscrivent dans le cadre du projet de recherche/formation sur l'agriculture intelligente face au climat, l'agroforesterie et la promotion des cultures fourragères. En partenariat avec Icraf , Enabel à travers ses projets d'appui à l'élevage et à l'économie pastorale, (AREPK) et de Renforcement de capacités (IRC) ont travaillé conjointement pour accroitre la résilience des communautés bénéficiaires face aux effets du changement L'objectif de ce projet est de renforcer les capacités des locaux sur l'atténuation et l'adaptation au changement climatique et de promouvoir les cultures fourragères et les techniques agroforestières innovantes dans la région de Koulikoro.L'inaccessibilité à l'information climatique, le manque de connaissances sur les risques de changement climatique et une approche communautaire de mise à l'échelle sont des raisons parmi tant d'autres qui ont favorisé la création de centres de ressources. Mis en place depuis plus de deux ans, les centres de Wakoro et Wolodo constituant des espaces d'apprentissage, de partage et de vulgarisation des pratiques de l'agriculture climato-intelligente.Ces centres constituant également un véritable outil de développement d'un conseil agricole de proximité sensible au changement climatique. Au cours de la cérémonie, les autorités ont encouragé les populations bénéficiaires à bien entretenir ces joyaux. La sous-préfet de Dioila s'est dit très surprise des actions et initiatives qui sont des entreprises depuis la création de ces centres. « Les technologies d'agriculture forestière qui y sont déployées entraînent l'atténuation des effets du changement climatique » rajouta-t-elle. A la fin de la cérémonie, les centres et les parcelles de maraichage ont été réservés aux populations bénéficiaires par la sous-préfète et le représentant d'Enabel. La journée s'est terminée par une visite des parcelles de démonstration des technologies agroforestières. Les bénéficiaires ici : https://sway.office.com/2btHhlZXsUrRJ7tS
Enabel working with the Ministry of Health is scaling down the use of electronic RBF reporting system in the whole country. Starting with the district verification teams, the LSF teams together with the MoH officials have travelled across regions to train verification teams to be able to input data and generate electronic invoices. Timely and quality verifiable data is conditional for all RBF reimbursements particularly in tracking changes of key health indicators and performance. Therefore, it is mandatory for health workers to enter patients’ data in the physical registers and fill all the required information. That same data is to be entered into the district DHIS2 and finally into the HMIS system. Verification teams certify accuracy and consistency of the numbers entered into DHIS2, HMIS with actual numbers in physical registers at facility level. In case of any discrepancies, that particular service calls for further scrutiny, sometimes requiring proof of evidence that it actually took place as confirmed by Dr. Wambi at MOH, we verify the results with physical reports at the health facility and what is entered into the DHIS2 How the decentralisation of DHIS2 at facility level is improving data quality Many health workers have applauded the digitalised system in stimulating efficiency because it is fast and more convenient. it is no longer paper based data to monitor performance as praised by many RBF enthusiasts. Abdul, Koboko RBF Focal Person further reiterates, RBF digitalisation has helped health workers realise the importance of correct data upload into DHIS2 What is significant is the quality of data and how its entered in the DHIS2 and HMIS system as emphasised by Alule James RBF Focal person, Moyo District who still insists that the data entered into DHIS2 should be consistent with physical registers at health facilities. This digitalised process is enabling health facilities generate prompt invoices for payment processing thus eliminating delays in RBF payment processes and accordingly improve health service delivery to the rural poor. The platform is also preparing MoH facilitate the mainstreaming of RBF come this financial year. Currently, Enabel together with the RBF unit and MoH are harmonising the irregularities brought about by the platform into the national HMIS as they train more people, all in preparation for the mainstreaming of RBF across board come this new financial year.
La maîtrise de l’anglais est d’une grande importance pour tout entrepreneur qui souhaite s’informer des bonnes pratiques et des avancées technologiques en rapport avec le secteur d’activité dans lequel il évolue.Que vous soyez chef d’entreprise, fondateur d’une startup, ou une personne passionnée de la tech, l’anglais reste incontournable pour conquérir des marchés tant francophones qu'anglophones. À cet effet, le projet DigiBoost qui est mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union Européenne, a organisé au profit des différents acteurs de l’écosystème numérique béninois plus précisément les SAEI une formation de renforcement de capacité en anglais sur trois (03) mois. Une formation qui a également pour objectif de fournir à ces acteurs de l’écosystème, les outils indispensables qui leur permettront d’améliorer la qualité des services qu’ils offrent aux startups et entrepreneurs qu’ils accompagnent. Plus d’une cinquantaine de professionnels des différentes SAEI venant de plusieurs villes du Bénin (du nord au sud) ont suivi cette formation en anglais (en ligne et en présentiel) avec une équipe d’experts. Les travaux en ligne ont permis aux participants d’enrichir leur vocabulaire linguistique en « business english » à travers des exercices pratiques et des séances de mise à niveau en groupe et individuel.Pour le compte des travaux en présentiel, trois camps de formation ont été organisés dans le but de permettre aux participants de s’exprimer librement en anglais afin de corriger certaines imperfections et d’améliorer leur communication orale. À l'issue de la formation, les bénéficiaires rencontrés sont restés unanimes sur l’impact qu’aura l’ensemble des compétences acquises dans l’épanouissement de leur travail. Voici quelques témoignages dans ce sens : « Avant de commencer les cours en anglais, je ne parlais presque pas la langue. J'avais beaucoup de difficulté à encadrer mon enfant parce qu'il fréquente une école anglophone. Ces trois mois m'ont beaucoup aidé. Maintenant, je suis en mesure de m’exprimer en anglais et d’aider mon enfant à faire ses exercices. De plus, le camp de formation m'a permis de pouvoir faire une présentation de mon entreprise en anglais. »« Avant de commencer cette formation, je n'étais pas capable de me présenter, ou de présenter ma structure. Ce que j'ai vraiment aimé à travers ce camp, c'est le volet “business english”. Cela me permettra de vendre mes compétences dans un écosystème numérique anglophone. »La manager du projet DigiBoost n’a pas manqué d’exhorter les participants à faire preuve d’enthousiasme en pratiquant davantage la langue anglaise dans la vie active : « Je vous encourage à être le plus professionnel possible. Cela vous permettra d’être en mesure de présenter votre structure dans un écosystème anglophone sans difficulté majeure, mais également de pouvoir chaperonner les startups, entrepreneurs que vous accompagnez. »Le projet DigiBoost n’entend pas s’arrêter là. Cette formation sera également donnée aux femmes dans la tech avec la communauté Women In Tech et aux startups sur toute l’étendue du territoire national.
Dans le cadre des programmes RIMDIR/RIMFIL financées par l'Union européenne, Enabel a organisé à Nouakchott (du 16 au 18 mars 2022) un atelier de validation des outils de sécurisation socio foncière des Infrastructures Rurales Productives.Cet atelier s’inscrit parfaitement dans la démarche du groupe IRP, dont le leader du groupe est actuellement RIMFIL /RIMDIR. Il a été animé par Rachel Effantin-Touyer (Consultante responsable de l’élaboration des outils) et Abdoullahi Fall (Expert Enabel) avec comme objectifs :-Un rappel des conclusions de l’atelier d’échange sur les outils de sécurisation socio foncière des IRP qui a eu lieu du 16 au 18 novembre 2021 à Kiffa ;-Une présentation des outils permettant une mise en œuvre harmonisée et efficiente du processus de l’Ingénierie Sociale mobilisée pour la réalisation d’une IRP.Plus d'informations sur la plateforme Rim-Rural :https://rim-rural.org/.../atelier-de-restitution-des.../Lien Youtube: https://www.youtube.com/watch?v=pxXiDMmQXv4#actofimpact #enablingchange #SDGs
Le programme d’appui à l’intégration socio-économique des jeunes (INTEGRA), financé par l'Union européenne, s’engage auprès des femmes pour assurer une insertion professionnelle équitable à ses bénéficiaires.L’égalité des droits, des responsabilités et des chances pour les femmes et les hommes, signifie que leurs droits, leurs responsabilités et opportunités doivent correspondre à leurs capacités, sans discrimination de genre. C’est pourquoi INTEGRA s’est fixé comme objectif d’intégrer 3250 femmes aux différents parcours de formation pratique (chantier-école) dans des domaines parfois considérés comme étant non adaptés aux femmes selon les croyances locales. Ainsi, le programme INTEGRA propose aux jeunes femmes des formations dans le domaine du BTP par exemple, qui est un secteur porteur d’emplois. La communauté féminine est encore bien trop souvent confrontée aux pressions sociales et familiales, en raison notamment de leur statut d’épouse et/ou de « mère au foyer ». Pour répondre aux problèmes posés par ces réalités sociales, Enabel, l’une des agences de mise en œuvre du programme, a mis en place le « plan d’action genre » qui vise à réduire un certain nombre d’inégalités constatées. INTEGRA met à disposition des apprenantes des crèches pour faciliter leur insertion professionnelle Véritable innovation dans le programme INTEGRA, un dispositif de service de crèche a été mis en place sur plusieurs sites, pour permettre aux bénéficiaires d’y déposer leurs enfants (0-5 ans) durant les horaires de formation. Les mères peuvent ainsi suivre sereinement leurs cours dans des conditions d’apprentissage égales à celles des autres bénéficiaires. Les crèches sont aménagées dans des lieux propres et sécurisés, situés à proximité du site de formation, et permettent même aux mamans de s’octroyer un temps de pause pour assurer l’allaitement de leurs enfants les plus jeunes. Des animatrices puéricultrices, recrutées sur recommandation des parents veillent sur les enfants. Des pédiatres assurent également un suivi régulier, ce qui ouvre le chemin à la vaccination et assure un suivi médical pérenne à ces enfants. Oumou Salimatou DIALLO, bénéficiaire du programme INTEGRA à Mamou, apprend le métier de ferrailleur et a pu confier son enfant à la crèche : « Quand j’ai intégré le programme de formation, on m’a dit que je pouvais déposer mon enfant à la crèche pendant les heures de cours. C’était un grand soulagement pour moi, car avant, je devais me déplacer partout avec lui. Maintenant, quand je vais en formation, j’ai l’esprit tranquille car je sais qu’il y a des gens dignes de confiance qui s’occupent correctement de mon enfant. Il est vraiment entre de bonnes mains. Grâce à ce dispositif, je peux suivre ma formation plus sereinement maintenant. » Ateliers pour développer la confiance en soi et sessions de formations Des ateliers pour développer la confiance en soi permettent aux bénéficiaires de rencontrer d’autres femmes qui sont des entrepreneures, évoluant dans les domaines de formation qu’elles suivent. Cela permet aux jeunes bénéficiaires de partager leur expérience en mettant en avant leur détermination, leurs réussites, mais également en évoquant les pressions sociales et les freins qui entravent leur parcours… Ces ateliers permettent ainsi aux jeunes femmes d’INTEGRA de mieux appréhender les défis à venir. Les apprenantes bénéficient également de sessions de formation en alphabétisation, en éducation civique, en éducation sexuelle et en éducation financière afin de les préparer au mieux à la vie active et de les accompagner dans leur émancipation. Oumamatou SOW, bénéficiaire du programme INTEGRA à Mamou, apprend le corps de métier de ferrailleur et se réjouit des progrès qu’elle a pu réaliser : « Le programme INTEGRA que j’ai suivi à Pita m’a permis d’acquérir des bases scolaires. Les formateurs nous expliquent bien les cours et nous aident à surmonter nos difficultés. Avant, je ne savais ni lire, ni écrire, aujourd’hui j’arrive à écrire et j’en suis très fière. INTEGRA nous a permis d’accéder à cet apprentissage. Nous sommes ravies de ce programme qui nous a permis d’apprendre un métier et qui nous a aidées financièrement à assumer nos besoins. » Le programme INTEGRA se veut une contribution pour amorcer de nouvelles dynamiques dans le développement socio-économique en Guinée. Financé par l’Union européenne au titre du Fonds fiduciaire d’urgence de l’Union européenne pour l’Afrique, INTEGRA crée des opportunités pour la jeunesse guinéenne à travers la préparation à la vie professionnelle dans les établissements scolaires, la réalisation d’infrastructures économiques, la formation professionnelle, la création d’emplois durables et le développement de l’entrepreneuriat. Ainsi, à travers ce programme, ce sont plus de 15 000 jeunes et femmes qui seront directement accompagnés pour mettre en œuvre cette nouvelle dynamique socio-économique par la création d’emplois et l’appui au développement de l’entrepreneuriat en Guinée.Suivez INTEGRA Guinée sur Twitter| Facebook | Facebook | #INTEGRA_GUINEE | #AfricaTrustFund | #UNCDF | #PNUD | #ITC | #ENABEL | #GIZ | #TeamEurope | #EUSolidarity | #AUEU | #UE
a première réunion du comité de supervision technique du Programme d’appui au Développement Rural (#DEVRUR II : programme mis en œuvre par Enabel et financé par le fonds bêkou pour le compte de l’année 2 (2022) a eu lieu le 9 mars 2022 dans la salle de conférence du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (MADR). Les parties prenantes ont échangé sur les points suivants : - Suivi des décisions de comité de supervision technique (année1)- Rappel de la stratégie opérationnelle- Agropoles implantées- Résultats de l’années1- Suivi budgétaire au 31 Décembre 2021- Planification opérationnelle 2022- Planification financière 2022- Gestion des risques et des problèmes- Proposition des décisions soumises à l’approbation du Comité de Supervision technique.Les partenaires ayant pris part à cette réunion : Représentants de la Délégation de Union Européenne en RCA, Représentants du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, Représentant du Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Représentant du Ministère de l’Education Nationale, Représentant du Ministère de l’Elevage et de la Santé Animale, Représentant du Ministère des Finances et du Budget.La prochaine réunion est prévue dans trois (03) mois.
L'élevage est un secteur essentiel au Mali, c'est la principale source de revenus pour plus de 30% de la population et représente 14% du PIB (INSAT2017) . Au Mali, de nombreux éleveurs ne tirent pas le maximum de profit de leurs activités. Cela pour plusieurs raisons, entre autres, la raréfaction des ressources alimentaires, la faible connaissance des techniques résilientes, le manque d'optimisation des bonnes techniques d'élevage, par exemple l'embouche. Le changement climatique a exacerbé la vulnérabilité des éleveurs, les pratiques résilientes doivent être vulgarisées et encouragées. L'embouche d'une manière générale et celui des petits ruminants (moutons et chèvres) est une pratique d'élevage, qui optimise l'apport alimentaire et réduit la mobilité des animaux, il permet d'engraisser plus rapidement le bétail et constitue un moyen rapide de gain monétaire pour les éleveurs. Une fois bien engraissé les animaux se vendent mieux. L'embouche séduit de plus en plus d'éleveurs au Mali. Mais force est de constater que de nombreux éleveurs ne manifestent pas de connaissances reconnues, adéquates et adaptées au changement climatique.Le Projet d'Appui au Renforcement de l'Elevage et de l'économie pastorale dans la région de Koulikoro (AREPK) initié par Enabel dans sa mise en œuvre de l'approche des « champs-écoles agro pastoraux (CEAP) » qui vise à valoriser l'embouche et à faciliter le partage des connaissances entre les couples, une formation des éleveurs dans sa zone d'intervention. De ce fait, les services locaux de production et d'industrie animale, les mairies ont sélectionné 32 maîtres formateurs selon des critères bien définis. C'est ainsi que Mme Sangaré Nana Dembélé éleveur depuis six ans s'est distinguée lors de ces formations. « Avant la formation sur les techniques d'embouche et les bonnes pratiques d'élevage,. A vec cette formation, j'ai appris des techniques bien précises pour faire l'embouche : à savoir la santé animale, la valorisation de la paille qui constitue un aliment très riche pour l'animal, les techniques de fabrication de pierre à lécher, ainsi que la gestion financière mon activité. A son retour dans son terroir Nana a pu mettre en place un CEAP constitué de vingt autres femmes avec qui elle a acquis ses connaissances partagées et les a mis en pratique. Au cours des formations, les femmes ont pu apprendre à produire de l'aliment bétail et à rationaliser les aliments pour l'animal tout en maitrisant les itinéraires techniques de l'embouche.Ensemble elles ont pu ouvrir un compte bancaire commun au nom du CEAP qui leur a permis, d'acheter des animaux, de les engraisser et de les revendre avec une plus-value. Les membres du CEAP ont ainsi pu bénéficier d'un crédit qu'ils ont pu rembourser au bout des deux premiers cycles(6mois). L'octroi du crédit a été facilité par AREPK . En moyenne chaque femme du CEAP a acheté 3 moutons qu'elle a pu revendre lors de la fête de Tabaski Nana après cette opération s'est sentie très valorisée d'avoir aidé d'autres femmes, et surtout de savoir qu'il y a une autre façon de faire de l'élevage. Selon elle «Avant la formation acquise par AREPK, je n'avais jamais formé quelqu'un. Aussi je n'avais pas le réflexe de faire appel à un vétérinaire c'était uniquement en cas de maladie de l'animal que je faisais recours au vétérinaire. Mais avec cette nouvelle façon de faire, un passe vétérinaire consulter nos animaux qui sont en atelier d'embouche tous les 15 jours. Cela nous a permis de mettre sur le marché des animaux avec un meilleur embonpoint et en bonne santé. Avant ma formation, je vendais trois béliers par an.Aujourd'hui forte de mes expériences en alimentation et en santé des animaux je vends au minimum trois têtes par cycle(3 mois), Avec les adhérentes de notre CEAP, nous sommes à présents animés d'une volonté d'augmenter le nombre d'animaux par cycle . »A travers cette formation, Nana a vu la professionnalisation de son activité d'élevage et parvient à en tirer des bénéfices. En plus de l'embouche ovine, et caprine (moutons-chèvres) elle pratique désormais l'embouche bovine (vaches). « En deux ans j'ai acquis quatre bœufs et c'est grâce à cette activité que j'ai pu inscrire deux de mes enfants dans une école privée, ce qui leur garantit un meilleur avenir ». des revenus notamment à travers la production et la vente de bloc multi nutritionnels (pierre à lécher) que j'ai appris à fabriquer au cours de la formation, dit elle.Dans l'avenir Nana compte encore diversifier ses activités notamment par la commercialisation d'aliments de bétail, de pierre à lécher, et de stockage de fourrage, en conservant les bonnes pratiques acquises. Elle entend contribuer à l'autonomisation d'autres femmes par la pratique de l'embouche, contribuant ainsi à l'atteinte à certains objectifs de développement durable (ODD). Elle conserverait que les femmes formées soient des relais auprès d'autres femmes. Avec l'installation de ces Champs écoles pastoraux, on constate une amélioration des revenus des éleveurs emboucheurs et la disponibilité d'une viande de meilleure qualité sur le marché.
Fidèle à son engagement d’accompagner le Port Autonome de Cotonou dans l’amélioration de ses performances, Enabel au Bénin à travers le projet PASPort a contribué à la formation de 12 agents de l’institution. Provenant des structures comme la Direction des Affaires Juridiques et du Contentieux (DAJC), Direction de la Cellule du Contrôle des Marchés Publics (DCCMP), Direction Commerciale et du Marketing (DCM), Direction de la Personne Responsable des marchés Publics (DPRMP), ces agents ont bénéficié d’un parcours d’acquisition de compétences délivré en 3 phases. Démarrée en janvier 2021 et clôturée en décembre 2021, cette formation leur permettra de réduire et de mieux gérer les risques contentieux dans le cadre des contrats de Partenariat Public-Privé (PPP) et les contrats de type Fidic (Fédération internationale des ingénieurs-conseils). Réduire le nombre de personnes travaillant sans un contrat au Port de Cotonou ; Réduire les poursuites judiciaires liées à la mauvaise gestion des concessions ; Réduire les dépenses liées aux prestations des avocats pour défendre le port au cours des procès ; Établir les fiches d’information par contrat de concession. Prévenir, assurer une veille juridique et la conformité des actes posés face à la légalité.Tels sont entre autres les objectifs que vise Enabel en contribuant à ces formations juridiques. Pour Joris Albert THYS, Directeur Général du Port Autonome de Cotonou, cette formation fait partie d’une série d’actions appuyée par Enabel à travers le projet PASPort pour améliorer la performance du Port qui est engagé dans une dynamisation de ses ressources humaines.Ce parcours de formation a été délivré par un consortium d’avocats en 3 phases à savoir :- Le diagnostic (voir le niveau du public cible pour mieux adapter le contenu de la formation)- La Formation (dérouler la phase théorique de la formation)- L’accompagnement des auditeurs dans leur milieu de travail et faire le focus sur les réelles difficultés que rencontrent ces agents afin de les amener à mieux y répondre.Plusieurs thématiques ont été abordées lors de la formation telles que les principes de base de la gestion des Contrats de Partenariat Public-Privé (PPP), la revue des lois sur les marchés publics ; les règles d’arbitrage, la revue des contrats de domanialité publique…La remise des certificats aux participants a eu lieu le mercredi 2 mars 2022 à la salle de réunion du Port Autonome de Cotonou.Dans cette vidéo, écoutons les témoignages de quelques bénéficiaires de ce parcours d’acquisition de compétences dans le domaine juridique.
L’approche développée par ARISA-B pour l’élaboration du PCDA est basée sur la co-production d’une démarche en plusieurs étapes basées sur un processus participatif et inclusif à savoir :- le guide méthodologique d’élaboration des politiques et stratégies du Bénin ;- la version élaborée de la démarche méthodologie proposée par la Direction de la Planification, de l’Administration et des Finances (DPAF) ;- les résultats de l’étude d’évaluation participative réalisée par la DDC pour capitaliser les expériences de terrain menées par les interventions de la DDC dans les Communes du nord-Bénin.Le PCDA est le document qui alimente et affine le Plan de Développement Communal (PDC) sensible à l’agriculture. Son élaboration tient compte des spécificités et potentialités agricoles de chaque Commune. Elle s’arrime également à la vocation agricole du Pôle de Développement Agricole (PDA) dans un contexte de réforme axée sur la territorialisation agricole et l’approche de promotion des chaînes de valeur ajoutée.Porté par le Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche (MAEP), le processus d’élaboration du PCDA réunit les représentants de toutes les parties-prenantes au processus de planification territoriale don’t les Organisations Professionnelles Agricole (OPA) et les Organisations Interprofessionnelles (OIP), les Communes, les Agences Territoriales de Développement Agricole (ATDA), les Directions Départementales de Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche (DDAEP) et les Directions Départementales du Développement (DDD). Il permet de disposer d’une démarche méthodologique d’élaboration des PCDA qui sera transformée en guide afin d’espérer des PCDA orientés sur la promotion des filières conformément à la réforme du secteur agricole au Bénin. Le processus bénéficie aussi de l’assurance-qualité du ministère du développement en matière de caractéristiques et de principes cardinaux qui régissent l’élaboration de document de stratégie et de politique en République du Bénin. Selon Issifou Agboguidi, Chef du Service de Développement Local et de la Planification (SDLP) de Bassila, le guide méthodologique mis à la disposition des différentes directions permettra de faciliter et de corriger les dysfonctionnements observés sur le terrain lors de l’élaboration des Plans Communaux de Développement (PDCA). « La Commune de Bassila dispose d’un PCDA qui a été élaboré à la va-vite. Du coup, nous nous posons vraiment assez de questions sur son opérationnalisation. La commune s’était plainte, et il a dû être organisée une concertation avec le service de la planification et la cellule communale afin de colmater les brèches. Si la méthodologie existait on n’aurait pas assisté à ce genre de choses » ajoute-t-il.
D’un coût global de 300 mille euros soit environ 197.000.000 de Fcfa, la construction de cette infrastructure va permettre d’observer un plus grand nombre d’actes suspects ou illicites venant de la partie Est du pays et va réduire progressivement ces événements.Un sémaphore est en effet, un poste de défense établi sur la côte, chargé de surveiller les approches maritimes et de signaler par signaux optiques toute activité ennemie. Le Bénin en dispose deux, une à la base navale de Grand-Popo et une à la base navale de Cotonou. Il restait alors la base navale de Sèmè-Kpodji, à l’Est du pays d’où provienne d’ailleurs la plupart des menaces. Ce besoin a fait l’objet d’une requête de la part de l’Etat-major de la Marine nationale qui a été acceptée par l’Agence belge de développement (Enabel) à travers le Projet d’Appui au Développement du Secteur portuaire (PASPort) depuis 2019. Dans son allocution, le représentant de l’Ambassade de Belgique au Bénin, Martin Deroover a souligné que le projet s’inscrit dans la volonté de l’actuel gouvernement du Bénin de faire davantage du port de Cotonou un levier essentiel du développement du pays. Pour lui, moins de sécurité dans les eaux béninoises entraînerait une baisse de la fréquentation du port de Cotonou qui annihilerait tous les efforts faits en aval de la chaîne portuaire. C’est conscient de cela que l’État béninois, dans le souci de remplir sa fonction régalienne de garantir la sûreté dans ses eaux territoriales, a mis en place un mécanisme pour une meilleure surveillance de ses eaux maritimes. C’est ainsi que Enabel, à travers son projet PASPort, a accepté la requête de construction d’un sémaphore qui comprend un rez-de-chaussée et trois étages mais aussi son équipement entier, a laissé entendre Martin Deroover.Pour Jean Léon Olatoundji, chef d’Etat-major adjoint des Forces armées béninoises, face au défi sécuritaire, le Bénin a besoin d’une couverture totale de surveillance de son espace maritime, d’où la création de la base navale de Sèmè-Kpodji, gage de sûreté et de surveillance de l’espace maritime. Selon lui, grâce à la construction de ce sémaphore, la Marine pourra mieux surveiller le trafic maritime dans l’espace Est. Il a dit toute la gratitude de la Marine nationale au Royaume de Belgique.Le préfet maritime, le capitaine de vaisseau Fernand Maxime Ahoyo, a rassuré de l’existence d’une compétence nationale, les guetteurs sémaphoriques, formés pour l’utilisation des systèmes de radar et de la communication qui vont procéder 24h sur 24 à la surveillance de la façade Est.Les travaux de construction du sémaphore dureront 7 mois.
Former les femmes de la communauté WIT sur le leadership féminin et leur donner les outils nécessaires pour leur permettre d’appliquer les connaissances acquises. Tel est l’objectif de l’atelier de renforcement des capacités qui s’est tenu à Bohicon du 29 au 31 mars 2022. Venues de diverses localités du Bénin (Nord au Sud), une quarantaine de femmes ont participé à cet atelier organisé dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Femmes.Avec l'expertise de Monsieur Sedami Agboton, Coach, Speaker & Trainer certifié par l’expert N° 1 en Leadership John C. Maxwell, les participantes ont été formées sur les bases et techniques pour développer leur leadership. Partant des clarifications du concept en passant par l'appréhension de certaines doctrines du leadership pour déboucher sur des exercices pratiques d'éveil et de compréhension du sujet, le coach formateur a permis à chacune des participantes d'évaluer de plus près leur statut et sens du leadership.Pour les participantes, cette formation était plus que nécessaire afin de leur redonner confiance et de les amener à mieux gérer les différentes structures. Elles sont restées unanimes sur l’importance des acquis reçus au cours de la formation. Pour la plupart, ce fut une formation intense certes, mais instructive.Pour Félicité Ananou Digital Manager à She is the Code: « la formation sur le leadership a été très constructive et instructive. J’ai appris des choses relatives au leader/leadership que je ne connaissais pas. Ce qui va me permettre de gérer convenablement une communauté de groupe de personnes. C’était intense comme formation, de la théorie à la pratique. J’ai adoré ». Gloria Ahonoukoun coordonnatrice du programme WHISPA à EtriLabs, dira pour sa part que : « la formation était très intéressante et participative. Elle m’a permis non seulement de mieux cerner la notion de leadership, mais également de savoir mieux l’appliquer pour faciliter mes relations avec autrui afin d’impacter au sein de ma communauté ».Cet atelier a été organisé avec l’appui financier et technique de l’Union Européenne et d’Enabel à travers le projet DigiBoost. DigiBoost est un projet de renforcement et de consolidation de l’écosystème numérique au Bénin à travers des appuis aux structures d’accompagnement des startups (incubateurs, accélérateurs, fablabs, espaces de coworking, entre autres) ainsi qu’aux relations entre les acteurs au sein et en dehors de l’écosystème béninois, mis en œuvre par Enabel, et financé par l’Union Européenne.
Ugandan businesses have been asked to embrace digitalization and data integration to improve their business processes. Hallet Virginie, Portfolio Manager, Enabel, made the call during an information-sharing workshop organised by Enabel, the Private Sector Foundation Uganda (PSFU) and the National Information Technology Authority Uganda (NITA U) at Hotel Africana on March 15, 2022.The session was organised under the auspices of the Skills, Attitude, Governance and Anti-Corruption Project (SG+ Project). “The SG+ Project is here to address the two main bottlenecks of conducting business in Uganda; lack of a skilled workforce and then governance and corruption,” explained Virginie. She intimated that in nearly every country Enabel and other development partners come across the same paradox: “the private sector does not find it easy to do business with government resulting from issues such as corruption and limited access to information regarding tenders and procurements.”She added that the SG+ project will greatly improve Uganda's business environment by increasing the supply of qualified workers, establishing private sector-led initiatives to fight corruption and strengthening the private-public sector dialogue. “We encourage homegrown solutions to problems. That is why we are going to build on already existing solutions developed by the government and other partners to improve the business environment. We shall focus on e-procurement, digitalisation and data integration, fostering corporate governance and establishing a private-sector led corruption reporting mechanism,” Virginie emphasised. The SG+ Project is a 5m Euro project funded by the European Union and implemented by Enabel and PSFU. Other organisations such as NITA U and the Public Procurement Disposal Authority (PPDA) support PSFU in specific areas such as Digitalisation, Data integration and E-procurement respectively. This project is expected to devise means to better public governance and service delivery. At the session, Francis Kisirinya, Deputy CEO, PSFU noted that the SG+ Project will improve the competitiveness of the private sector. Dr. Hatwib Mugasa, Executive Director, NITA U said digitalization and data integration will improve Uganda from a peasant nation to a knowledge-based country.“We believe that the private sector is the driving force for this transformation,” Dr Mugasa retorted. “Digitalisation will greatly reduce the cost of doing business and also reduce the barriers that bring corruption by minimizing human interaction in the procurement processes,” concluded Dr Ruth Biyinzika Musoke, project director, PSFU. The event was attended by over 100 representatives from the business sector.