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  • Burundi: améliorer la gestion opérationnelle du district sanitaire avec une formation des équipes cadres des districts sanitaires

    Burundi: garantir la qualité des soins dans les formations sanitaires


    Jean BIRONKWA | 06-11-2023

    Le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS) en partenariat avec Enabel, l’Agence Belge de Développement, à travers le Programme d’appui au système de santé - AMAGARA MU MURYANGO - a organisé un atelier de renforcement des compétences des équipes cadres de district sanitaire du 9 au 13 Octobre 2023. Cet atelier a rassemblé des médecins directeurs, gestionnaires administratifs et financiers, superviseurs polyvalents, gestionnaires des pharmacies de District et responsables du Système d’information sanitaire. Les 53 participant.es provenaient de 14 districts sanitaires du pays et la plupart étaient nouvellement nommé.es dans ces organes. Au préalable, un premier pool de 68 participant.es de même profil avaient déjà participé à une formation identique. L'objectif était de renforcer le leadership et le management opérationnel du district sanitaire qui est le garant de la qualité des soins dans les formations sanitaires du pays. Le système de santé au Burundi est composé de 3 niveaux (central, intermédiaire et périphérique). Les équipes cadres des districts sanitaires au niveau intermédiaire ont la mission de coordonner le travail du personnel des formations sanitaires pour garantir des soins et services de qualité à la population bénéficiaire. La mobilité des équipes cadres des districts sanitaires (ECD) reste un défi pour la mission de coordination et de supervision du niveau périphérique, ce qui montre la pertinence de telles formations.Dr Joselyne NITEREKA, représentante de la Direction Générale en charge des services de santé, a indiqué lors de la session d’ouverture de la formation que le renforcement des capacités des ECD va contribuer à améliorer la qualité des prestations dans les formations sanitaires. Le Coordinateur du Programme AMAGARA MU MURYANGO financé par l’Union européenne, le Dr Abdoulaye MAHAMAN SANI a rappelé l’objectif du Programme : appuyer le MSPLS à améliorer la qualité des soins et des services de santé à travers le financement basé sur la performance. Il a aussi souligné la contribution mensuelle du Programme au système de Gratuité des soins à travers le paiement de la facture des prestations des soins destinés aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 5 ans qui s’élève à  900 mille euros par mois pour appuyer le gouvernement dans ses efforts de garantir les soins aux plus vulnérables. Ce Programme exécute d’autres activités visant le renforcement des autres piliers du système de santé comme le développement des ressources humaines, les infrastructures, etc. Les expert.es du niveau central du MSPLS, appuyés par ceux du Programme AMAGARA MU MURYANGO ont développé plusieurs thématiques en rapport à la gestion opérationnelle des districts sanitaires dont les principales portaient sur la méthodologie de supervision formative des Fosa par l’équipe cadre du District, la gestion des médicaments, la gestion des données du Système d’information sanitaire, la gestion financière, la gestion des ressources humaines, la planification et le suivi/évaluation dans le domaine de la santé. D’autres thématiques ont fait l’objet d’échanges d’expérience, notamment les processus de gestion de la qualité des soins, la gestion des déchets, le leadership et la gouvernance dans les districts sanitaires.  Une nouvelle thématique : l’intégration des soins de santé mentale L’intégration des soins de santé mentale dans les soins de santé primaires est une nouvelle thématique qui a été introduite dans la formation des ECD dans la mesure où le Burundi a lancé depuis 3 ans l’intégration des soins de santé mentale dans son système de santé. Selon l’OMS, la santé mentale est un droit humain fondamental pour tous et près de 970 millions de personnes dans le monde vivent avec des troubles mentaux, dont 82% vivent dans les pays en voie de développement. Plusieurs gaps entravent le développement et l’accès aux soins de santé mentale : parmi les principaux figurent la faiblesse des financements, la pénurie en ressources humaines qualifiées, la difficulté d’accès aux soins et la méconnaissance des troubles mentaux. D'après le Docteur Achour AIT MOHAND du Programme AMAGARA MU MURYANGO, plus de 70% des patient.es présentant des troubles mentaux graves ne reçoivent aucun traitement dans les pays en développement. Les participant.es à l’atelier de formation ont constaté que l’intégration des soins de santé mentale dans les soins de santé primaires au Burundi, avec l’appui des partenaires, a franchi des étapes importantes marquées particulièrement par le développement de directives nationales, la définition de normes nationales pour les soins de santé mentale, la formation de nombreux prestataires de santé dans les HD et les CDS et la communauté, la révision de la liste nationale des médicaments essentiels intégrant les psychotropes et leur niveau de prescription, la disponibilité des psychotropes et la sensibilisation de la population.Cette formation a été l'occasion d'aborder avec les participant.es la célébration de la journée mondiale de santé mentale qui se déroulait le 10 octobre 2023. Le thème de cette année recommandé par la Fédération Mondiale pour la santé mentale est « La santé mentale est un droit humain universel ». Au cours des discussions, les participant.es ont plaidé pour l’urgence du renforcement de l’intégration des soins de santé mentale au plus près des communautés en vue de renforcer l’accès aux soins.      


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    Burundi BDI21002

  • Mali: Pérenisation des infrastructures d'eau et d'assainissement, les acteurs se concertent

    Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable, les acteurs se concertent


    Nènè TRAORE | 03-11-2023

    La gestion efficace des infrastructures est un point clé pour le développement durable dans nos communautés. Dans cette optique, un atelier de réflexion a été récemment organisé du 26 au 28 octobre 2023 à l’Hôtel TITI de Fana par Enabel, à travers le PEPAK réunissant les acteurs clés impliqués dans la gestion de l’eau potable des centres d'Adduction d'Eau Potble (AEP)/Adduction d'Eau Sommaire (AES) de Dantia, N’djibala, Kanfara-Timini, Kounambougou et N’djiguela dans le cercle de Dioila et quelques personnes du projet pour discuter des défis actuels et des stratégies futures pour gérer les infrastructures de manière efficiente et durable. Cette rencontre a débuté par une série d’allocations des collectivités qui ont toutes apprécié et souligné l'importance de ce genre de rencontre. À la date d’aujourd’hui, le PEPAK a réalisé et rendu fonctionnel 11 AEP/AES et 36blocs de latrines (02 blocs à trois cabines, soit au total 108 cabines) dans les centres.Les AEP/AES sont en marche et parviennent à couvrir les besoins en eau potable de la population des zones concernées. Cependant, après plusieurs mois de mis en œuvre, des constats ont été faits sur le fonctionnement dans certains villages qui méritaient encore des éclaircissements et des accompagnements. Les intervenants ont commencé à mettre en avant l'importance de revoir les forces et faiblesses de chaque centre pour pouvoir identifier les facteurs de blocage. Une des questions clés abordées lors de ces échanges était la réticence des communautés aux paiements du service public de l’eau potable. Dans tous les villages, les Associations d’Usagers d’Eau Potable (AUEP) ont été mis en place pour la gestion des infrastructures des points d’eau, y compris celles qui existaient avant le projet.  Il avait été question de mettre ces points d’eau sous la gestion des AUEP pour une gestion optimale, mais force est de constater que cela tardait à venir.   Comment pouvons-nous maximiser l'utilisation des points d’eau existants plutôt que de fermer les ceux disponibles avant le projet ?     Les participants ont discuté sur les facteurs de blocage de durabilité des ouvrages (PMH/AEP/AES) et les solutions possibles dans différentes AEP/AES. Il a été également question de clarifier le contrat d’affermage avec la mairie ; Dégager des mesures appropriées pour le paiement correct du service public d’eau provenant de n’importe quel type de Point d’Eau Moderne (PEM).   Enfin, les participants ont dégagé les mesures appropriées pour le paiement du service public d’eau provenant de n’importe quel type de point d’eau moderne. Aussi, un accent a été mis sur l'importance de la collaboration entre les différents acteurs, y compris les intercommunalités, les services techniques concernés et les élus pour surmonter les défis de gestion d'infrastructure. L’accroissement des séances de sensibilisation sur l’importance de l’eau potable et la nécessité de la vente du service de l’eau potable ont été une recommandation pour remédier à ces difficultés.   En conclusion, l'atelier de réflexion avec les acteurs pour une gestion durable et pérenne des ouvrages d’eau et d’assainissement a été une étape importante dans la recherche de solutions durables pour les défis actuels.      


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    Mali MLI1805311

  •    L'huile de palme N`wo BALOLAM de la région de Cacheu pourrait devenir une marque collective

    Guineé-Bissau: L'huile de palme N`wo BALOLAM pourrait devenir une marque collective


    Isabel NUNES CORREIA | 01-11-2023

    Protéger la production de ce produit de la région de CacheuLe 24 octobre 2023, la Fédération N`wo BALOLAM de la région de Cacheu a présenté à l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), sa proposition d'enregistrement de l'huile de palme en tant que marque collective. La réunion était organisée par le Groupe de Recherche et Développement Rural (GRDR). Le groupe souhaite protéger la qualité et l'origine du produit et obtenir des certifications internationalement reconnues attestant de la durabilité et de la responsabilité environnementale dans la production de cet important produit de la région.  "La marque collective permettra aux consommateurs d'identifier facilement les produits de cette région, en garantissant l'authenticité, la qualité et l'origine de notre huile de palme", a déclaré Mme Patrícia Sanha, présidente de la fédération N`wo BALOLAM. Selon la coordinatrice du projet, Mme Alucia Gomes Có, l'enregistrement de l'huile de palme N`wo BALOLAM en tant que marque collective constituera une étape importante pour les producteurs de la région et pour toute la communauté. En plus de créer davantage d'opportunités d'emploi pour les jeunes et les femmes, cela encouragera également la commercialisation internationale du produit.  La réunion visait à présenter le nom et la marque du produit afin d'en garantir la protection juridique et la reconnaissance exclusive auprès de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle.  Cette activité s'inscrit dans le cadre de l'objectif du projet RESET qui vise à améliorer l'intégration des jeunes Guinéens sur le marché du travail et à faciliter la création de nouvelles micro-entreprises. Le projet RESET est une initiative financée par l'Union européenne et mise en œuvre par Enabel, l'Agence belge de développement, en collaboration avec le gouvernement de la Guinée-Bissau.   


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    Guinea-Bissau GNB180011T

  • Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable

    Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable


    Nènè TRAORE | 31-10-2023

    L'accès à l'eau potable constitue un réel défi pour les populations de la région de Koulikoro. Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d'Amélioration de l'Accès à l'Eau Potable et à l'Assainissement dans la région de Koulikoro (PEPAK) sur la période 2019-2023, il était prévu la réalisation de 18 adductions d'Eau Potable /Adduction d'Eau Sommaire (AEP/AES) et 36 blocs de latrines communautaires.A  la date d'aujourd'hui le PEPAK a réalisé et rendu fonctionnel 11 AEP/AES et 22 blocs de latrines dans les centres. A la réception provisoire de ces ouvrages réalisés et avant la remise des clés, plusieurs recommandations furent faites aux autorités locales et villageoises qui sont pour la plupart d'ordre lié à la gestion et au fonctionnement des ouvrages. Les AEP sont en marche et parviennent à couvrir les besoins en eau potable de la population des zones concernées. A travers cette vidéo, découvrez comment les associations d'usagers d'eau potable s'organisent pour servir leur communauté en eau potable


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    Mali MLI1805311

  • L’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués désormais opérationnelle grâce à l’appui d’Enabel

    L’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués désormais opérationnelle grâce à l’appui d’Enabel


    Geoffroy ZONGO | 30-10-2023

    Enabel, à travers le Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), financé par l’Union européenne, a fait don de matériels informatiques, d’équipements bureautiques et de moyens roulant à l’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués (ANAGRASC). La cérémonie de remise officielle du don est intervenue le jeudi 19 octobre 2023 au siège de l’ANAGRASC à Ouagadougou. Elle a été présidée par Maître Edasso Rodrigue BAYALA, Ministre de la justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des Sceaux. Il avait à ses côtés, François DESSAMBRE Country Portfolio Manager d’Enabel au Burkina Faso et Karsten Mecklemburg, Conseiller politique de l'Union européenne au Burkina Faso. Le Burkina Faso a créé l’Agence National de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués (ANAGRASC), suivant décret N°2023 – 0263/PRES-TRANS/PM/MEFP/MJDHRI du 21/03/2023 portant approbation des statuts de l’Agence. Cette création est l’aboutissement d’un processus au cours duquel Enabel a fait un large plaidoyer auprès du Ministère de la Justice et des Droits Humains, chargé des Relations avec les Institutions pour que cette structure, importante dans la lutte contre les crimes économiques et financiers puisse voir le jour.Enabel, à travers le PARJI, dans sa dynamique d’apporter sa contribution à la lutte contre l’impunité de manière générale, et contre les crimes économiques et financiers en particulier, a décidé d’accompagner l’opérationnalisation de cette structure, à travers un appui matériel et technique.C’est dans le cadre de cet appui matériel que le PARJI, mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union européenne, a doté l’ANAGRASC d’un ensemble de matériel constitué essentiellement de fournitures de bureau, de moyens roulants à deux roues, de mobilier de bureau et de matériel informatique estimé à plus de trente millions (30.000.000) F CFA. Dans une seconde phase, des appuis techniques permettront de renforcer les capacités du personnel de l’ANAGRASC afin de lui permettre d’être très rapidement en capacité de répondre aux attentes des juridictions du Burkina Faso.Cet appui pour améliorer l’efficacité de la chaine pénaleEn effet, un des axes importants du PARJI consiste en l’amélioration de l’efficacité de la chaîne pénale dans son ensemble et particulièrement de la chaîne pénale spécialisée dans la répression des infractions économiques et financières et de la criminalité organisée.Ainsi, le Burkina Faso à l’instar d’autres pays de la sous-région, a pris plusieurs mesures institutionnelles et légales pour faire face à la montée de la criminalité organisée et du terrorisme. Il s’agit notamment de la création de pôles judiciaires spécialisés dans la répression des infractions « dites de très grandes complexité » en matière économique et financière et de criminalité organisée (PJS-ECOFI) au sein des Tribunaux de Grande Instance (TGI) Ouaga I et Bobo-Dioulasso. La création de l’ANAGRASC qui a pour mission d’assurer, sur l’ensemble du territoire et sur mandat de justice, au cours d’une procédure pénale, la gestion de tout bien, quelle que soit sa nature, saisi, confisqué ou faisant l’objet d’une mesure conservatoire, à l’exception des biens régis par des textes spéciaux, est donc une continuité des mesures institutionnelles et légales prises.L’opérationnalisation de l’ANAGRASC est donc un pas en avant dans la lutte contre la criminalité économique et financière et la criminalité organisée qui entrainent un grand flux financier illicite avec des tentatives incessantes de dissimulation ou de blanchiment de capitaux à travers des biens de grandes valeurs dont la saisie ou la confiscation se révèle très souvent nécessaire au cours de la procédure judiciaire.Il permettra de rendre la criminalité organisée et le crime économique et financier non rentable, luttant ainsi efficacement contre l’impunité en la matière.


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    Burkina Faso BFA20003

  • Enabel Mauritanie participe à la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) au Burkina-Faso

    Enabel Mauritanie participe à la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) au Burkina-Faso


    Aminata KANE | 26-10-2023

    Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur du Royaume de Belgique, Jean-Jacques QUAIRIAT, a présidé le 10 octobre 2023, la cérémonie d’ouverture de la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS). Notre Conseillère stratégique a participé a cet événement en représentant la Mauritanie. L’objectif global de la rencontre annuelle est d’identifier les voies et moyens pour une mise en œuvre concertée et cohérente du PTCS en vue de contribuer à lui assurer un impact certain et durable. Elle est organisée par le volet régional du PTCS d'Enabel et placée sous le thème : « PTCS-Enabel : Quelles stratégies d'apprentissage et de capitalisation pour un impact durable ? »Cette rencontre qui s’est tenu du 10 au 12 octobre 2023 dans la ville de Ouagadougou regroupe les équipes des différents volets nationaux ainsi que des collègues Enabel venus de Bruxelles. Pour cette année la Mauritanie bien que ne faisant pas partie du PTCS a été invitée à partager son expérience sur la lutte contre la désertification et les effets du changement climatique.La discussion s'est centré sur les perspectives et les prochaines étapes liées à la mise en œuvre du PTCS (Programme Thématique Climat Sahel). Voici un résumé des points abordés par notre expert stratégie Guedie Kane.Pour ce qui est des perspectives, les sujets mis en avant sont :Mise en avant du projet de système alimentaire; Capitalisation des expériences liées au SIG (Système d'Information Géographique) et aux télédictions pour soutenir l'initiative de la Grande Muraille Verte; Promotion du PRADEP régional; etSynergie avec le point focal/NDT (Nationale de Développement Territorial) du Ministère de l'Environnement pour partager des expériences et impliquer les collègues de la Mauritanie dans les différentes conférences prévues.Concernant la session de brainstormingDiscussion sur la manière dont le PTCS peut influencer, catalyser et inspirer le verdissement des nouveaux porte feuilles pays ou d'autres projets d'Enabel, en se basant sur le cas de la Mauritanie;Exploration des bonnes pratiques environnementales et des mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre à promouvoir dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel pour servir d'exemple. Pour finir l'Approche thématique et régionale :Identification des actions concrètes à mettre en œuvre par les différents volets du PTCS pour démontrer la plus-value de cette approche tant au niveau thématique que régional; Réflexion sur la stratégie, les outils et les canaux de communication à déployer pour augmenter les chances du PTCS d'influencer, catalyser et inspirer le verdissement des nouveaux porte feuilles pays ou d'autres projets d'Enabel.L'ensemble de ces discussions vise à maximiser l'impact du PTCS en matière de développement durable et de lutte contre le changement climatique, en utilisant diverses approches et pratiques environnementales.


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    Mauritania MIE170031T

  • Au Bénin, une marche organisée par Enabel a mobilisé les institutions de la Team Europe pour la santé des femmes

    Au Bénin, les équipes d'Enabel et des partenaires ont participé à la « Marche Rose » pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein


    Reece-hermine ADANWENON | 25-10-2023

    Octobre Rose est une campagne annuelle de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Chaque année, du 1ᵉʳ au 31 octobre, de nombreuses actions de sensibilisation sont menées dans le but d'informer les gens sur l'importance du dépistage précoce du cancer du sein et de récolter des fonds pour la recherche scientifique.  La forte pluie qui s’est abattue le 17 octobre dernier sur Cotonou n’a pas freiné les participant·es de la « Marche Rose » organisée par Enabel avec l’appui technique et financer de l’Agence Française de Développement (AFD). Pour sa 2ᵉ édition, la marche a mobilisé le personnel d’Enabel ainsi que celui des institutions de la « Team Europe » à savoir la Délégation de l’Union Européenne, l’Ambassade de la Belgique au Bénin, l’Agence Française de Développement, la Coopération Luxembourgeoise au développement (LuxDev), les Organisations non gouvernementales (ONG), le ministère de la Santé et ses directions centrales et départementales. Un beau succès : pas loin de 120 participant·es ont marché 8 km depuis l’hôtel Azalai pour terminer la marche au pied de la statue de l’Amazone de Cotonou. La marche est une opportunité pour les partenaires au développement intervenant dans le secteur de la santé de montrer et de renouveler leur engagement pour la lutte contre les cancers féminins : sensibiliser, informer les communautés afin d’amener les femmes à penser au dépistage précoce des différents types de cancers féminins et principalement celui du cancer du sein.


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    Benin 2204BEN

  • Improving standards of meat handling in Rwanda:  Study tour for slaughterhouse operators

    Improving standards of meat handling in Rwanda: Study tour for slaughterhouse operators


    Denise NSANGA | 24-10-2023

    Six meat value chain actors from different meat processing companies in Rwanda conducted a study tour to Nairobi, Kenya from 16-20 October 2023. Facilitated by PRISM-Enabel project, the study tour aimed at enabling meat processors to learn best practices and foster collaborations to improve standards of meat handling. Meat safety is a concern to actors in the hospitality industry, groceries and consumers. Poor standards of hygiene during slaughtering or carcass handling result in unacceptable levels of physical, chemical, and microbial contamination of meat that reduces shelf-life and compromises food safety. The study tour was a great opportunity for the pig and poultry value chain actors to acquire necessary skills in slaughtering, cutting, handling, and processing of the pork and chicken, to deliver in compliance with international food safety standards and regulations. Prior to this study tour, in a collaboration between Rwanda Agriculture Board (RAB) and PRISM-Enabel project, meat handlers (butchers, processors and chefs) had benefited from capacity building to enhance their skills in the art of meat processing and handling with compliance to international food safety standard and regulations in the pork and chicken from slaughtering to the table.


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    Rwanda RWA19007

  • Au Bénin, Enabel contribue à la formation en SONU de près de 1500 agents de santé

    Au Bénin, Enabel contribue à la formation en soins obstétricaux et néo-natals d’urgence de près de 1500 agent·es de santé


    Reece-hermine ADANWENON | 24-10-2023

    La Direction départementale de la Santé de l’Atlantique au Bénin, abrite depuis 2021 un joyau peu ordinaire. Il s’agit du centre de formation didactique sur les soins obstétricaux et néo-natals d’urgence (SONU). Depuis sa mise en place, plus de 1500 soignant·es y compris les sage-femmes, les infirmières et les gynécologues, ont vu leurs compétences et capacités renforcées. Pour accompagner les initiatives du Ministère de la Santé dans le cadre de l’amélioration des soins obstétricaux et néo-natals d’urgence, Enabel via le projet P@SRIS a contribué à la mise en place du centre SONU d’Allada. Au Bénin, la faible qualité des soins obstétricaux et néo-natals d’urgence est l’une des causes de la mortalité maternelle et néo-natale. Le manque de ressources humaines qualifiées, y compris des infrastructures qui ne sont pas aux normes, ne permettent pas de prodiguer des SONU de qualité.Enabel s’associe ainsi au gouvernement du Bénin pour améliorer la disponibilité et la qualité de l’offre des SONU dans ses zones d’intervention. Ensemble, ils agissent sur deux axes principaux, à savoir le renforcement de la compétence des prestataires des maternités et du plateau technique ainsi que la mise aux normes des infrastructures.Le centre SONU d’Allada (installé dans le département de l’Atlantique) est entièrement équipé de matériel didactique et de démonstration (modèles anatomiques). Il sert de cadre d’apprentissage et de recyclage aux prestataires des maternités (dans des fonctions SONU) avec la perspective d’installer un centre de simulation SONU dans chaque zone sanitaire. Le centre est utilisé par les mentors et les mentorées de toutes les zones sanitaires du département et est parfois sollicité par d’autres zones sanitaires pour des activités de renforcement de capacités. Ce modèle de renforcement des compétences vise à limiter les absences de longue durée des prestataires dans les maternités tout en étant efficace. Le modèle est recommandé par le Ministère de la Santé qui demande à d’autres Partenaires Techniques et Financiers de suivre l'initiative d'Enabel. 


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    Benin BEN19007

  • Economie verte et transition écologique : Enabel soutient les initiatives des jeunes et des femmes dans 13 communes du Burkina Faso

    Economie verte et transition écologique : Enabel soutient les initiatives des jeunes et des femmes dans 13 communes du Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 24-10-2023

    Enabel, à travers le Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) – Volet Burkina Faso, a initié un Projet intégré d’appui aux micro-initiatives des jeunes et femmes dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique dans les régions du Plateau central, du Centre-Est et du Centre-Nord. La mise en œuvre des activités du projet est confiée au consortium LVIA, OCADES Caritas Burkina et Green Cross Burkina Faso. Le consortium a procédé au lancement officiel du projet le mardi 17 octobre 2023 dans la commune de Koupèla. Le projet a pour objectif de contribuer à l’émergence d’initiatives durables dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique portées par les jeunes et les femmes des 13 communes d’intervention du PTCS – Volet Burkina Faso. En effet, il est attendu de ce projet deux résultats majeurs : (1) 120 micro-entrepreneurs ont démarré ou renforcé une activité économique dans le domaine de la valorisation des déchets et des plantes invasives au niveau des retenues d’eau ; (2) 20 organisations paysannes ont amélioré leurs capacités productives et leurs revenues et ont adopté de bonnes pratiques agroécologiques de recyclage des déchets organiques en compost et d’utilisation du compost.La cérémonie de lancement officiel du projet a réuni les Présidents de Délégations Spéciales (PDS) des 13 communes concernées, des Présidents de Conseils villageois de développement, des représentants d’associations et d’ONG intervenant dans les domaines de l’économie verte et de la transition écologique. L’atelier a permis aux participants de prendre connaissance du projet, notamment ses objectifs, ses activités et le planning de mise en œuvre de ses activités. Ils ont émis des avis et des interrogations qui vont permettre au consortium de pouvoir prendre en compte les attentes et les besoins réels des populations sur les deux thématiques touchées par le projet. Ils ont également formulé des recommandations à l’endroit des membres du consortium pour s’assurer de la bonne mise en œuvre du projet. Les PDS, les autorités régionales et provinciales ont rassuré de leur engagement à accompagner l’équipe du projet pour sa réussite effective. La réalisation d’une cartographie des acteurs et organisations bénéficiaires a été confiée aux participants, notamment les PDS des 13 communes.Le Projet intégré d’appui aux micro-initiatives des jeunes et femmes dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique dans les régions du Plateau central, du Centre-Est et du Centre-Nord a une durée de 36 mois. Il est financé par le Royaume de Belgique à plus de 600 000 euros, soit plus de 393,5 millions de F CFA.


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    Burkina Faso BFA21001

  • Au Bénin, la convention spécifique de Coopération bénino-belge (2023-2028) signée !

    Au Bénin, la convention spécifique de coopération bénino-belge (2023-2028) est signée !


    Reece-hermine ADANWENON | 23-10-2023

    Le Ministre de l’Économie et des Finances en charge de la Coopération, le Ministre d’État, Monsieur Romuald Wadagni et l’Ambassadrice de la Belgique au Bénin, Madame Sandrine Platteau, ont procédé le lundi 23 octobre 2023 à la signature de la convention spécifique de coopération entre le Bénin et la Belgique pour la période 2023-2028. Cette séance s'est déroulée à l’issue de la session annuelle du Comité Mixte Paritaire de Concertation (CMPC) bénino-belge dans la salle de conférence du Ministère de l’Économie et des Finances. Au cours de la session, les responsables des différents programmes/projets financés par la Belgique et mis en œuvre par Enabel (portefeuille bilatéral - période 2018 à 2023) ont présenté les actions réalisées, les résultats obtenus et les leçons apprises. De même, les interventions prévues dans le cadre du nouveau portefeuille (- période 2023-2028) ont été présentées aux membres du CMPC.Ce nouveau programme de coopération qui sera lancé à partir du mois de novembre 2023 vise à contribuer à la résilience aux chocs économiques, alimentaires, environnementaux, sécuritaires et sanitaires des populations vulnérables et plus particulièrement des jeunes et des femmes, pour permettre le développement du capital humain au Bénin. 


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    Benin 2204BEN

  • Enabel et LuxDev à la découverte de l’aire communautaire de Conservation de la Biodiversité Bouche du Roy

    Voyage de découverte de l’Aire Communautaire de Conservation de la Biodiversité Bouche du Roy au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 23-10-2023

    En voyage de service au Bénin du 19 au 25 octobre 2023, Mr Michel Francoys, Opérations Manager chez Enabel et Mr Christophe Schiltz, Directeur de la Coopération au développement et de l’action humanitaire au Ministère des Affaires étrangères et européennes du Luxembourg, accompagnés de la Cheffe de Coopération de l’Ambassade du Luxembourg Bénin-Togo, du Représentant d’Enabel au Bénin ont visité l’Aire Communautaire de Conservation de la Biodiversité Bouche du Roy (ACCB). Il s'agit d'une des ACCB de la zone d’intervention du Projet DELTA-MONO. Les membres de la délégation sont allés à la découverte de l’île aux oiseaux de Gbeffa, du site de mangrove sacralisée d’Azinko, Lanhou et Hakoué, de l’île au sel et de l’embouchure. Leur visite a permis de rencontrer les membres de l’Association Villageoise d’Épargne et de Crédit Mahussi de Lanhou. Ces derniers leur ont présenté le mécanisme de mobilisation des crédits par les communautés villageoises. Le projet DELTA-MONO est financé par l’Union Européenne et la Coopération luxembourgeoise. La mise en œuvre est gérée par Enabel au Bénin.  Pour l’Union Européenne, l’objectif est de contribuer au développement territorial inclusif, durable et résilient au changement climatique de la réserve de la biosphère du Mono et de l'aire de la marine protégée contiguë de Avlékété-Bouche du Roy. Quant à elle, la coopération luxembourgeoise à travers le Projet Delta-Mono vise à promouvoir des mesures de gestion efficiente et la valorisation des espaces à haute valeur écologique avec un focus sur la formation et l'insertion professionnelles des jeunes et des femmes de la réserve de biosphère.Plusieurs actions sont prévues pour la période d’exécution du projet (2023-2026) et portent sur :la réalisation des Investissements communautaires / communaux dans des infrastructures agroécologiques et d'économie verte ;la formation de formateurs en matière d'agroécologie ;le soutien à la transition agroécologique dans les filières maïs, manioc, riz, maraîchage, pêche et pisciculture ;le soutien à l’adoption de pratiques de pêches plus durables et la promotion de la pisciculture ;l’accompagnement des jeunes issus des villages ACCB et périphérie dans leur parcours de formation professionnelle dans les métiers de l’agroécologie et systèmes alimentaires durables ;le soutien des initiatives entrepreneuriales (sous forme d’assistance technique et/ou de subventions) opérant dans les domaines des systèmes alimentaires durables.


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    Benin BEN22001

  • Le Projet de Digitalisation de l'État Civil franchit la barre des 200 000 anciens actes de naissances migrés

    Guinée: Le Projet de digitalisation de l'État Civil franchit la barre des 200 000 anciens actes de naissances migrés


    Fatimatou Mouctar DIALLO | 23-10-2023

    À ce jour, plus de 200 000 actes de naissance ont été introduits numériquement dans la base de données centrale du registre national de l’état civil. Ce travail est accompli sous la supervision du Ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation par des agents des communes de Kaloum, Matam, Dixinn, Matoto, Ratoma, Coyah, Kindia, Mamou et Tolo.  Une avancée majeure vers l’amélioration du système d’état civil dans le pays. Grâce à la formation intensive des agents de saisie et à l’intégration de nouvelles technologies, Les archives de l’État civil sont sécurisées via la digitalisation.  Une des clés de ce succès réside dans la formation des agents de saisie. Ces professionnels ont été équipés des compétences nécessaires pour saisir avec précision les informations relatives aux actes de naissance, garantissant ainsi la fiabilité des données. Leur engagement et leur dévouement ont joué un rôle crucial dans l’atteinte de ce jalon. Parmi les communes pilotes participant au projet, certaines se sont distinguées par leur performance remarquable dans la migration vers le système digitalisé. C’est le cas de la commune de Matoto. Ces exemples de succès servent d’inspiration et démontrent le potentiel de transformation que la digitalisation de l’état civil Apporte. Cette avancée significative représente bien plus qu’une simple statistique. Elle signifie que des milliers de Guinéens ont désormais un accès facilité aux documents d’état civil essentiels. Ces documents sont cruciaux pour l’accès à l’éducation, aux soins de santé, aux droits et aux opportunités. L’atteinte de ce cap des 200 000 actes de naissance marque une étape majeure dans la modernisation de l’état civil en Guinée. Cela démontre également le potentiel énorme de la technologie pour renforcer l’inclusion et l’accès à des services vitaux pour tous les citoyens. Le projet de digitalisation de l’état civil en Guinée, mis en œuvre par Enabel avec un financement de l’Union Européenne, continue de tracer la voie vers un avenir auquel l’accès aux documents d’état civil est simple, efficace et équitable pour tous les citoyens. Avec cette réussite, le projet renforce son engagement envers l’amélioration des conditions de vie des Guinéens, en mettant la technologie au Service de la population.


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    Guinea GIN170101T

  • Guinée-Bissau : Le Projet RESET trace la voie vers un avenir prospère pour la formation professionnelle

    Guinée-Bissau : un avenir prospère pour la formation professionnelle


    Isabel NUNES CORREIA | 20-10-2023

    La cinquième réunion du Comité de pilotage du projet "Relance de l'éducation, de la formation technique et professionnelle pour l'emploi en Guinée-Bissau" (RESET) s'est tenue le 18 octobre 2023. Elle a été marquée par l'annonce officielle de la fin du projet en août 2024.Cette annonce a été signifiée par la portfolio manager d'Enabel pour le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau, Mme Annick PEETERS, en présence de la ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Modernisation de l'Etat, Mme Tomásia LOPES MOREIRA, du ministre de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Mr Braima SANHA, de l'ambassadeur de l'Union européenne, Mr Artis BERTULIS, et des membres du comité de pilotage.  La réunion a été présidée par Mme Tomásia LOPES MOREIRA qui a commencé son intervention en soulignant l'importance de la formation technique et professionnelle pour le développement socio-économique du pays. En effet, le contexte montre qu 'une des principales causes du chômage est l'inadéquation entre la formation et l'insertion des jeunes sur le marché du travail. Elle a également souligné le rôle essentiel du projet RESET dans la réorganisation et la restructuration du sous-secteur de la formation professionnelle. Elle a également rappelé que le développement du secteur de l'enseignement technique est l'une des priorités de l'agenda 2030 que la Guinée-Bissau a ratifié et dans lequel elle s'est engagée.Mr Artis BERTULIS a souligné l'impact positif du projet sur la formation et l'intégration des jeunes sur le marché du travail. Il a insisté sur l'importance de centrer les actions de formation professionnelle sur les besoins réels du marché du travail d'aujourd'hui. Il a confirmé le soutien de l'Union européenne dans le secteur, avec l'annonce d'une enveloppe de 10 millions d'euros pour le prochain programme de formation professionnelle en Guinée-Bissau. Selon Mr l'ambassadeur, le nouveau programme continuera à soutenir la gouvernance du système, la formation et l'insertion professionnelle des jeunes sur le marché du travail. Il a aussi souligné la nécessité de créer une autorité nationale de qualification et l'importance pour les deux ministères de travailler ensemble pour combler le déficit de compétences dans différents domaines, notamment dans l'économie verte et les énergies renouvelables.   Pour sa part, Mme Annick PEETERS est revenue sur la question de l'absence d'exonération des droits de douane sur les produits du projet. Elle a précisé, qu'à quelques mois de la fin du projet, il est crucial que le gouvernement remplisse sa part de l'accord afin que le projet puisse gérer sa planification opérationnelle et budgétaire de manière plus efficace. Elle a évoqué les difficultés rencontrées par le projet RESET pour attirer davantage de filles dans le secteur de la formation professionnelle :   "Le projet a connu de nombreux succès, mais il reste encore quelques doutes, comme le cadre national des qualifications, qui nécessite un mandat politique pour structurer le secteur, et l'inclusion d'un plus grand nombre de filles dans la formation technique et professionnelle, qui reste un défi pour le projet, mais j'espère que nous pourrons y répondre ensemble afin de garantir la durabilité du projet", a déclaré la responsable d'Enabel.  L'objectif de la réunion était de présenter aux partenaires stratégiques l'état de mise en œuvre des activités du projet, ainsi que les défis et contraintes, et de proposer des solutions aux problèmes soulevés.    Le projet RESET est une initiative financée par l'Union européenne et mise en œuvre par l'Agence belge de développement, Enabel, en collaboration avec le gouvernement de Guinée-Bissau.  


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    Guinea-Bissau GNB180011T

  • Renforcement des capacités opérationnelles des commissions d’assistance judiciaire (CAJ) du ressort de la Cour d’Appel de Ouagadougou

    Enabel renforce la justice et lutte contre l'impunité au Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 19-10-2023

    Enabel, à travers le Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité au Burkina Faso (PARJI), financé par l’Union européenne, a procédé à la remise de matériels bureautique et informatique au Fonds d’Assistance Judiciaire (FAJ) ce mercredi 11 octobre 2023. Ce matériel est destiné à des Commissions d’Assistance Judiciaires (CAJ) du ressort de la Cour d’Appel de Ouagadougou. La remise symbolique du matériel, qui a eu lieu au sein de l’institution, s’est passée en présence des membres du Conseil d’administration et du Directeur général du FAJ. Cette remise de matériel s’inscrit dans le cadre des activités du PARJI qui a pour objectif global de renforcer l’offre et la demande de justice au Burkina Faso à travers l’amélioration du fonctionnement de la chaîne pénale et un meilleur accès à la justice pour les populations de sa zone d’intervention (ressort de la Cour d’appel de Ouagadougou). Cet appui matériel destiné aux commissions d’assistance judiciaire des TGI Ouaga II, de Yako et de Léo est le troisième du genre, après ceux réalisés en 2021 et 2022. En effet, afin de faciliter le traitement des demandes d’assistance judiciaire dans des délais raisonnables et d’augmenter ainsi le nombre de bénéficiaires, Enabel a déjà fourni du matériel informatique aux commissions d’assistance judiciaire des Tribunaux de grande instance de Koudougou, de Ouaga I, de Ziniaré, de Pô, de Manga et de Kaya. Ce matériel est constitué essentiellement de photocopieur multifonctions, d’ordinateurs portables, de disques durs et de clés USB, de rames de papier, de registres, etc. Au total, le présent appui du PARJI, financé par l’Union européenne, est de plus de 10 mille euros, soit 6,56 millions de F CFA. Il permettra d’améliorer les capacités opérationnelles des CAJ pour qu’elles répondent de façon plus efficiente aux demandes d’assistance judiciaire des populations les plus vulnérables et de contribuer ainsi au bon fonctionnement de la chaîne pénale dans son ensemble pour lutter contre le sentiment d’impunité.


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    Burkina Faso BFA20003