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  • Mali :Atelier de Lancement des activités ACF à Koulikoro

    Mali: Atelier de lancement d'une chaine d'assainissement des déchets liquides


    Nènè TRAORE | 09/02/2022

    Dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet PEPAK, une convention a été signée avec l'ONG ACF Espagne en consortium avec l'ONG OMAES pour l'atteinte d'un des résultats de ce projet qui vise à mettre en place une filière d'assainissement des déchets liquides intégrée tout en renforçant et facilitant la collecte, le transport, l'évacuation et la valorisation des boues de vidange dans la Commune Urbaine de Koulikoro. Cette action qui va être mise en place par l'ONG ACF ambitionne l'atteinte de ces quatre résultats : - Les ouvrages et technologies d'assainissement individuel, adaptés au contexte local, sont promus dans la ville de Koulikoro, - La communication pour un changement durable des comportements est assuré dans la ville de Koulikoro,       - Les capacités organisationnelles et techniques des acteurs directs de l'assainissement des déchets liquides à Koulikoro sont améliorées, - Le dialogue et la participation citoyenne pour l'assainissement durable des déchets liquides à Koulikoro sont renforcés.La réussite de la mise en œuvre d'une telle action passe nécessairement par l'adoption d'une bonne stratégie de communication et d'intégration de toutes les parties concernées.C'est ainsi que le 2 février 2022 s'est tenu à Koulikoro un atelier de lancement officiel des activités regroupant l'ensemble des parties concernées dans la ville de Koulikoro. L'objectif de cette rencontre était de communiquer et de partager toutes les informations du projet permettant de garantir la compréhension de tous les partenaires et d'installer un cadre de collaboration approprié pour la bonne exécution du projet.   


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    Mali MLI1805311

  • Femmes policières du rêve à la réalité

    Bénin: Découvrez en vidéo les parcours inspirants de 3 femmes policières


    Christophe ASPEEL | 08/02/2022

    Découvrez les parcours inspirants de Innocentia APOVO, Ghislaine BOCOVO et de Pristille TOFOEDO à travers cette vidéo.3 femmes qui rêvaient d'embrasser la carrière de policières.


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    Benin BEN19011

  • Nord du Mali: des sensibilisations à l'importance d'enregistrer les faits d'état civil

    Au Mali, Enabel sensibilise à l'importance d'enregistrer les faits d'état civil


    Nènè TRAORE | 08/02/2022

    La région administrative  de  Taoudenit est  située dans l'extrême  nord du Mali, dans la partie sud du désert algéro-malien, près du Sahara. Elle est la plus vaste du pays (323 000 km²). Créée il y a cinq ans environ, cette région ne dispose toujours pas  d'infrastructures adéquates qui répondent aux besoins de la population. En effet, le nomadisme et le contexte sécuritaire n'ont pas favorisé l'installation des instances étatiques et autres structures de santé. En vue d'appuyer le gouvernement du Mali dans l'opérationnalisation des nouvelles régions, le PAECSIS a construit  des centres d'état civil.C'est ainsi que Enabel, à travers l'ONG AMSODE (Association Malienne pour la Solidarité et le Développement) et en étroite collaboration avec la Direction Nationale de l'Etat Civil et les autorités intérimaires de la région de Taoudenit, a procédé  à la sensibilisation des communautés sur l'enregistrement à l'état civil et à l'inscription au RAVEC. Le Recensement Administratif à Vocation d'Etat Civil (RAVEC) est une volonté Politique des pus hautes autorités du pays qui s'inscrit dans le Cadre de la consolidation et la modernisation du système d'état civil national. Il se veut une opération exhaustive qui concerne l'ensemble des citoyens à l'intérieur et à l'extérieur du pays.Les séances de sensibilisation ont concerné les 30 communes de la région de Taoudenit et ont permis d'atteindre 6595 personnes dont 2875 femmes et 3720 hommes. Les femmes et les jeunes étaient très présents lors de ces séances et les populations de Taoudenit à l'instar des autres communes ciblées appuyées , afin de mieux  comprendre l'utilité et les procédures d'obtention des actes d'état civil et participer  aux opérations d'inscription au RAVEC.


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    Mali MLI170521T

  • Enabel au Burkina Faso renforce les compétences des interprètes judiciaires

    Au Burkina Faso, Enabel renforce les compétences des interprètes judiciaires


    Geoffroy ZONGO | 07/02/2022

    Du 13 au 16 décembre 2021, Enabel a renforcé les compétences des interprètes judiciaires du Burkina Faso à travers une session de formation à Koudougou dans le cadre du Projet d’Appui au Renforcement de la Justice pour lutter contre l’Impunité (PARJI), financé par l’Union européenne.  Enabel, à travers le PARJI, a appuyé une session de formation des interprètes judiciaires sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires du Burkina Faso. Cette session organisée au profit des interprètes judiciaires de l’ensemble des juridictions du Burkina Faso, s’inscrit dans les activités de renforcement des capacités de certains auxiliaires de justice indispensables au bon fonctionnement de la chaîne pénale. En effet, ce bon fonctionnement n’incombe pas seulement aux magistrats, mais aussi aux greffiers, aux interprètes, aux officiers de police judiciaire, aux avocats, etc. C’est pourquoi, en choisissant d’appuyer cette activité de formation au profit des interprètes judiciaires sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires du Burkina Faso, Enabel s’inscrit dans une dynamique déjà entamée par le Ministère de la Justice des Droits Humains et de la Promotion Civique (MJDHPC), de renforcer les compétences au regard des récentes évolutions législatives qu’à connu le secteur de la justice notamment l’adoption de la loi N°025-2018/AN portant code pénal et de la loi n°015‐2019/AN du 2 mai 2019 portant organisation judiciaire au Burkina Faso de ces derniers. Au cours des quatre journées de travaux, neuf (09) modules portant globalement sur les principes généraux de l’organisation judiciaire, les acteurs judiciaires et leurs rôles, l’organisation et le fonctionnement des juridictions de droit commun et des juridictions d’exception ont été dispensés aux participants par deux formateurs, dont l’un est magistrat, conseiller à la Cour d’appel de Ouagadougou et l’autre greffier en chef du Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou. Au cours des présentations, des exercices pratiques ont permis aux formateurs de tester l’assimilation des modules par les participants afin d’adapter progressivement la formation. A l’issue de la présentation des modules, un panel sur l’assistance judiciaire et psychologique des victimes a été animé par le Président de la commission d’assistance Judiciaire (CAJ) du Tribunal de Grande Instance de Koudougou et le Travailleur social de ladite juridiction. Il a permis aux interprètes judiciaires de renforcer leurs connaissances sur les mécanismes de prise en charge du Fonds d’Assistance Judiciaire qu’ils sont appelés à vulgariser auprès des justiciables et de s’approprier les bonnes pratiques en matière d’assistance psychologique des justiciables dans un contexte burkinabè où le taux d’alphabétisation est faible et la méconnaissance de l’institution judiciaire engendre beaucoup de craintes et d’incompréhension dans la population. En marge des travaux de la formation, des groupes ont été constitués afin de réfléchir sur les actions à mener afin d’améliorer l’efficacité opérationnelle des interprètes judiciaires du Burkina Faso. Entre autres, les recommandations suivantes ont été formulées : la formation sur les techniques d’interprétation et l’usage du lexique des termes juridiques, la dotation en lexique des termes juridiques, le renforcement des effectifs, la poursuite des actions de régularisation de la situation professionnelle des interprètes judiciaires. L’accompagnement du MJDHPC ainsi que du PARJI, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel a donc été souhaité dans ce sens afin d’améliorer considérablement le fonctionnement de la chaîne pénale.   Article proposé par l’équipe de l’Intervention PARJI


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    Burkina Faso BFA20003

  • La police Républicaine au Bénin : la campagne de recrutement a débuté !

    La police Républicaine au Bénin : la campagne de recrutement a débuté !


    Christophe ASPEEL | 07/02/2022

    La campagne de recrutement a débuté.


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    Benin BEN19011

  • Enabel au Burkina Faso renforce son partenariat avec le Conseil Supérieur de la Magistrature

    Enabel au Burkina Faso renforce son partenariat avec le Conseil Supérieur de la Magistrature


    Geoffroy ZONGO | 07/02/2022

    Enabel, dans le cadre du Projet d’Appui au Renforcement de la Justice pour Lutter contre l’Impunité (PARJI), financé par l’Union européenne, consolide son partenariat avec le Conseil Supérieur de la Magistrature. Enabel accompagne une nouvelle session de formation des nouveaux chefs de juridiction et de parquet sur le management des juridictions. La session s’est tenue du 17 au 21 janvier 2022 à Ouagadougou, elle vise renforcer la performance et la redevabilité des acteurs judiciaires.A la suite de la première session de formation des nouveaux chefs de juridiction et de parquet sur le management des juridictions qui s’est tenue du 22 au 25 novembre 2021 à Ouagadougou, Enabel, à travers le Projet d’Appui au Renforcement de la Justice pour Lutter contre l’Impunité (PARJI), poursuit son appui technique et financier à l’endroit du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM). Enabel a en effet accompagné, une deuxième session de formation des nouveaux chefs de juridiction et de parquet du 17 au 21 janvier 2022.Cette deuxième session a réuni le Premier Président de la Cour d’Appel de Fada N’gourma, les nouveaux Présidents et Procureurs des Tribunaux de grande instance de Ouaga II, Ziniaré, Léo, Yako, Djibo, Dédougou, Banfora, Tougan, Koupéla ainsi qu’un inspecteur de l’Inspection Techniques des Services du Ministère de la Justice, des Droits humains et de la Promotion civique. Cette seconde formation, tout comme la première, s’est inscrite dans la dynamique engagée par Enabel, à travers le PARJI, d’accompagner le CSM dans le renforcement des capacités des acteurs judiciaires dans le domaine managérial. Elle a permis d’outiller ces nouveaux chefs de juridiction et de parquet, d’outils nécessaire à une gestion axée sur les résultats dans l’objectif de renforcer la redevabilité et la performance des juridictions, et en particulier le fonctionnement de la chaîne pénale. Il s’est agi de permettre aux nouveaux chefs de juridiction et de parquet de disposer d’outils nécessaires à la planification des activités de leur juridiction (calendrier d’audience, programmation des activités de la juridiction…), le contrôle de la performance des magistrats, et de la juridiction elle-même (Production du magistrat et de la juridiction), l’évaluation des collaborateurs à travers la planification de contrats d’objectifs. Afin de renforcer la maitrise des outils présentés, de nombreux cas pratiques et exercices de simulations ont été proposés aux participants. Article proposé par l’équipe de l’Intervention PARJI


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    Burkina Faso BFA20003

  • Creating Safe Learning Spaces in the Teachers’ Colleges - Uganda

    Creating Safe Learning Spaces in the Teachers’ Colleges - Uganda


    Peace NERIMA | 03/02/2022

    Gender-Based violence (GBV) remains widespread even in schools and has been worsened by the COVID-19 pandemic. A UN Women study shows that globally, 1 in 2 women reported that they or a woman they know has experienced violence during the COVID-19 pandemic. In Uganda, a national Police Crime report (2020) reveals that 8065 cases of violence and 223 cases of aggravated domestic violence leading to death were reported. These numbers do not reflect other types of violence that women and girls have faced during the COVID-19 period which calls for more efforts to end gender-based violence.  On Friday 17th December 2021, the National Teachers’ Colleges (NTCs) in Uganda joined the rest of the world to commemorate the 16 days of activism against gender-based violence (GBV) under the theme “Orange the World: End violence against women now!” at an event in NTC Mubende.During the event, there was a demonstration of how the Teacher Training Education (TTE) project is creating safe learning spaces in the NTCs through the constructed facilities. As part of Enabel’s contribution to ending GBV and creating safe learning spaces in the NTCs, the TTE project shared actions on GBV in the teachers’ colleges such as the awareness-raising campaign, ‘Speak Out Your Feelito’ that is being implemented by Mbarara University of Science and Technology and, Gent University through a partnership grant. This is in line with the implementation of the recommendations to reduce GBV in the NTCs as detailed in the GBV Study report of 2019. Hon. Dr. Joyce Moriku Kaducu, State Minister for Primary Education in Uganda acknowledged Enabel for playing a crucial role in improving secondary teacher education in Uganda and re-echoed the Ministry of Education and sports’ (MoES) commitment to create a safe learning environment in the colleges. She said that education is a human right that should be enjoyed by everyone and that through a gender approach, types of online violence such as cyber-bullying and exploitation which have resulted from the emerging hybrid education have been managed.Additionally, the State Minister for Primary Education and Mr. Koen Van Acoleyen, Deputy Head of Mission for the Embassy of the Kingdom of Belgium in Uganda: Commissioned the newly constructed and renovated facilities at NTC Mubende; Launched the Climate Responsive Design website and online course through which climate responsive design experts can share their knowledge with the public about climate responsive design and; Launched the Guidelines for Student and Staff Accommodation to promote staff and student safety on campus.Among the facilities handed over to the NTC Mubende were: a newly constructed and furnished Resource Centre, Multipurpose Hall, Early Childhood Development Centre, Girls’ dormitory ablution block, dispensary and Guild office. All these facilities were designed and successfully constructed under the principals of climate- responsive design. Speaking at the event, Mr. Koen Van Acoleyen highlighted the partnership between Enabel and the Ministry of Education and Sports as one that ably demonstrates the possibility to integrate concerns on climate and environment into the construction of education institutions.  Hon. Dr. Joyce Moriku Kaducu added that the infrastructure that was commissioned and handed over to NTC Mubende and other educational institutions is a manifestation of the commitment of the Ugandan government towards achieving quality education.The Guidelines for Student and Staff Accommodation, were designed with the joint effort of various stakeholders and partners such as the NTCs staff, the Construction Management Unit (CMU), the Teacher Education Training & Development department of the Ministry of Education and Sports (MoES) and the Directorate of Education Standards. These were designed to promote proper use of accommodation facilities and enable planners to design student accommodation and staff housing ensuring adequate safety, security and wellbeing of students, staff and their property.The TTE project will disseminate these guidelines to all the five NTCs in Uganda, partner entities, and key experts in a series of dissemination events throughout the year 2022.For more information about the:   Constructed and improved facilities in the NTCs: https://bit.ly/3qS20xQ Guidelines for accommodation in the NTCs : https://bit.ly/3nV3JRj   


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    Uganda UGA1503111

  • L'accès limité à l'énergie et à la télécommunication bloque le développement de l'entrepreneuriat au centre-Est

    Burkina Faso: L'accès limité à l'énergie et à la télécommunication bloque le développement de l'entrepreneuriat


    Kimsegninga SAVADOGO | 02/02/2022

    Le projet appui au développement d'un entrepreneuriat inclusif et durable dans la région du Centre-Est du Burkina Faso dont l’objectif est d’améliorer la compétitivité des entreprises rurales et urbaines de la région du Centre-est en vue de contribuer à la création d'emplois décents, a commandité une étude pour analyser le profil énergétique et la connectivité internet dans cette partie du Burkina Faso.   Il ressort de cette étude que les contraintes d’accès aux services électricité et télécommunication constituent effectivement un blocage pour le développement de l’entreprenariat dans cette partie du Burkina FasoEn effet, une disponibilité d’énergie fiable à coût abordable est un moyen facilitant l’investissement pour les opérateurs de téléphonie qui à leur tour, peuvent, grâce à un service de qualité, impacter positivement la promotion de l’entrepreneuriat s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication (TIC).   A travers cette étude, il s’agissait pour Enabel de déterminer quelles sont les perspectives et quels sont les points de blocage à lever pour favoriser l’investissement privé dans la fourniture des services énergétiques et de connectivité internet. Données chiffrées sur la connectivité internet En termes de résultats de l’étude, il ressort au niveau de la connectivité internet que : seuls 17% des usagers possèdent un smartphone compatible avec la technologie 4G ;41% des acteurs interrogés n’ont qu’un téléphone 2G, donc qui ne peut pas se connecter à un réseau haut débit même si les opérateurs investissent dans des réseaux 3G ou 4G. Cela constitue un frein à l’investissement des opérateurs ;plus de 70% des entrepreneurs interrogés ont augmenté leur chiffre d’affaires avec l’accès aux services (énergie et connectivité internet) ;la couverture en 2G (services de téléphonie, de SMS et accès au « mobile money ») est relativement étendue, mais pour le haut débit (3G et 4G) la couverture est très limitée.L’étude a recommandé le renforcement de leurs capacités sur des thématiques spécifiques liées aux Techniques de l’Information et de la Communication (TIC) afin d’accroitre davantage leurs activités économiques.   Secteur de l’électricité   Concernant les questions d’électricité, on note que les frais de branchement constituent une barrière importante à l’accès pour l’usager dans cette partie du Burkina Faso où 70% des acteurs économiques ne sont pas raccordés dans une zone desservie par le réseau électrique. En dépit des frais de branchement qui constituent une barrière l’étude montre que 17% des entrepreneurs interrogés ont démarré leur activité grâce à l’arrivée de l’électricité.  Aussi, 93% des ménages raccordés ont signalé que l’électricité avait amélioré les études de leurs enfants.  Pour améliorer l’accès à l’énergie, la Société Nationale d’Electricité du Burkina (SONABEL) a testé à Tenkodogo, le chef-lieu de la région du Centre-Est, une facilité de branchement permettant d’étaler les frais de branchement sur 5 ans, et met actuellement en place une ingénierie financière permettant de déployer ce dispositif à grande échelle. Mais il reste encore du chemin à parcourir pour permettre à la majorité des populations de cette contrée du pays à pouvoir jouir des bienfaits de l’accès à l’énergie. Dans le but de relever les défis en termes d’accessibilité à l’énergie et d’amélioration de la connectivité internet dans la région du Centre-Est, l’étude recommande entre autres : la construction d’un poste électrique de plus grande capacité (33 kV) pour réduire le temps de coupure au niveau des abonés ;la construction d’une ligne Moyenne Tension qui permettra une reprise de charge en cas d’indisponibilité d’une source ;un coût réduit du branchement ;la mise en place de facilités de paiement pour le branchement.Kimségninga SAVADOGO Communication Assistant 


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    Burkina Faso BKF1803211

  • Enabel au Bénin œuvre pour la mise en œuvre de la politique environnementale du secteur Portuaire

    Au Bénin, Enabel œuvre pour une politique environnementale du secteur portuaire


    Reece-hermine ADANWENON | 02/02/2022

    La Brigade Forestière Spéciale (BFS), le Centre de Quarantaine Végétale et de Fumigation (CQVF) du Port Autonome de Cotonou (PAC) et le Laboratoire des Sciences et Techniques de l’Eau et de l’Environnement (LSTEE) de l’Université d’Abomey-Calavi, sont les principaux bénéficiaires de l’appui du Projet d’Appui au Développement du Secteur Para-Portuaire (PASPort) mis en œuvre par Enabel au Bénin. Ces structures ont reçu le lundi 31 Janvier 2022, 03 Véhicules Pick-up, 700 manuels de l’inspecteur phytosanitaire et une convention de subside d’une valeur de 130.881.788 pour la recherche action au Port Autonome de Cotonou. D’un coût total de 209.452.038 Fcfa, cet appui de l’Agence belge de développement à travers le projet PASPort permettra, d’une part, de renforcer les capacités des structures de contrôle intervenant dans la chaîne portuaire, de faire évoluer les pratiques nationales en matière de contrôle des normes environnementales sur l’espace portuaire et d’autre part, de développer des actions de recherches sur la lutte contre les pollutions et nuisances sur la plateforme portuaire. Martin DEROOVER, Chargé d’Affaires à l’Ambassade du Royaume de Belgique près le Bénin ; Jean-François MICHEL, Représentant Résident de Enabel au Bénin et Hervé CORBEL, Intervention Manager du PASPort ont procédé à la remise officielle des clés des véhicules et des Manuels de l’inspecteur phytosanitaire aux différentes directions bénéficiaires. Selon Martin DEROOVER, Chargé d’Affaires à l’Ambassade du Royaume de Belgique, l’un des éléments qui ont guidé Enabel au cours de la formulation du projet « PASPort » est le fait que les actions qui seront menées prennent en compte le suivi de l’impact des activités portuaires sur l’environnement notamment les problèmes de pollution, de nuisance et de protection des ressources naturelles. En effet, le Projet accorde une attention particulière au suivi du respect par les compagnies maritimes et autres acteurs portuaires des conventions internationales ayant la problématique environnementale comme focus. Enabel accompagne donc la Brigade Forestière Spéciale du Port dans le but d’améliorer son efficacité par la mise en place d’une procédure digitalisée d’exportation du bois. Le Colonel Emmanuel GBEDJI, Représentant le Directeur Général des Eaux, Forêts et Chasse, tout en remerciant Enabel pour son accompagnement a fait savoir qu’à l’issue des réformes en cours avec l’appui d’Enabel, toutes les formalités et procédures seront facilitées et accessibles en tout temps mais aussi les risques de fraudes seront réduits. Concernant la collaboration d’Enabel avec le Centre de Quarantaine et de Fumigation Végétale du Port Autonome de Cotonou, Enabel travaille pour le renforcement du contrôle phytosanitaire. Crée depuis 1972, ce centre réalise à l’importation et à l’exportation, le contrôle des végétaux, produits végétaux et intrants agricoles entrant et sortant du Bénin par le Port. Justin Roland ZOGLOBOSSOU, Directeur de la Production Végétale dira pour sa part, que grâce à l’appui technique et financier du Projet PASPort à ce centre, le manuel de l’inspecteur phytosanitaire et le manuel d’élaboration des procédures spécifiques d’inspection ont été revus pour les 5 filières phares identifiées par le gouvernement à savoir : soja, karité, anacarde, riz et mangue. Il se réjouit du véhicule qui leur a été remis et qui facilitera le bon fonctionnement du centre de fumigation sans oublier les exemplaires des manuels qui contribueront à renforcer le niveau de maîtrise des mécanismes et procédures par l’équipe du centre. « Cet appui à la DPV est parfaitement en lien avec les ambitions du Bénin qui aspire à devenir un pays exportateur de mangues avec donc la nécessité d’accorder une attention particulière au suivi de la mouche des fruits à l’origine de l’arrêt de l’exportation de mangues dans certains pays de la sous-région », a martelé Justin Roland ZOGLOBOSSOU. Le Professeur Daouda MAMA, Directeur de l’Institut National de l’Eau a pour sa part, indiqué que la convention de subside signée entre LSTEE et le projet PASPort permettra: - d’élaborer un diagnostic de la pollution dans le secteur portuaire en partenariat avec le Port Autonome de Cotonou (PAC) ; - de concevoir et mettre en œuvre des projets de recherches-actions sur des thématiques spécifiques des pollutions liées à l’activité portuaire et - de renforcer les capacités organisationnelles et de gestion du LSTEE afin d’en faire un acteur important dans le domaine de l’environnement portuaire.  Par ailleurs, Enabel via le projet PASPort envisage également d’acquérir du matériel de laboratoire et de fumigation pour le Centre de Fumigation et la Direction de la Production Végétale.   


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    Benin BEN1803811

  • Enabel appuie la santé en Mauritanie avec la remise de 5 pick-up et 2 ambulances

    Enabel appuie la santé en Mauritanie par la remise de 5 pick-up et 2 ambulances


    Aminata KANE | 31/01/2022

    Dans le cadre du Programme de l'Appui au Secteur de la Santé (PASS), le Ministère de la Santé et l’Union européenne, à travers Enabel ont procédé́ en ce lundi 31 janvier 2022 à Nouakchott à la cérémonie officielle de remise de 5 pick-up et de 2 ambulances.   Ces équipements finalisent la distribution d’équipements destinés aux zones d’intervention de l'AIPASS. Cette dotation de moyens roulants supplémentaires va contribuer à renforcer le service de santé, pour offrir des services de qualité à la population Mauritanienne.La Secrétaire Générale du Ministère de la santé, les autorités des régions concernées, aux côtés du Directeur Pays d’Enabel en Mauritanie et du Chef de Coopération de l’Union européenne, ont souligné́ l’efficacité́ et l’efficience du partenariat du Ministère de la santé avec l’Union européenne tout en mettant l’accent sur le soutien considérable apporté au travers du Programme d’Appui au Secteur de la Santé (PASS). Le programme PASS contribue à donner aux populations les moyens de vivre une vie saine en promouvant le bien-être de tous à tout âge, à travers un accès équitable de tous les citoyens mauritaniens à des soins de santé́ de qualité́ en ligne avec les objectifs du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS).


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    Mauritania MRT21001

  • La police de proximité dans une de ses facettes

    Un camp de sensibilisation pour les jeunes : la police de proximité dans une de ses facettes


    Kimsegninga SAVADOGO | 31/01/2022

     Le projet d’appui à la Police de proximité dans la région du Centre-Est met en œuvre une approche inclusive qui consiste à impliquer tous les types d’acteurs concernés dans la co-production de la sécurité au niveau communautaire dont les enfants et les adolescents.    L’initiative s’est déroulée dans le courant de l’année 2020 sous la supervision du Service “Action sociale” de la Province du Boulgou.     Dans un souci de réduire la délinquance juvénile, cette initiative a pris la forme d’un camp de sensibilisation d’une durée de 14 jours de 08h00 à 16h00 et regroupant environ 100 jeunes dont l’âge est compris entre 08 et 17 ans. Une riche expérience mise en œuvre avec le parlement des enfants et adolescents de la région du Centre-Est.    « Lutte contre la délinquance juvénile, quels atouts pour l'enfant ?»      C’est autour de ce thème que tous les sujets ont été traités. Le vol, le viol des enfants par des enfants, la violence par les pairs, la consommation des stupéfiants, les enfants et le terrorisme, l’incivisme, ont été les sujets traités.     Les animations des séances étaient assurées par des moniteurs spécialisés, des éducateurs de jeunes enfants avec l’appui des forces de sécurité intérieure et une infirmière sur place en permanence pour la prise en compte des questions sanitaires (mesures barrières Covid-19, blessures, petites maladies...).    Afin de garantir des moments de loisirs, le cadre choisi pour le camp disposait d’un espace extérieur aménagé comportant différents jeux pour les enfants (balançoires…,). Etaient également mis à la disposition des participants, des jeux collectifs tels que le Waré, les jeux de cartes, le pétanque, football, théâtres...).    Et les petits plaisirs dans tout ça ? Petits déjeuners, Goûters, pauses déjeuners, tee-shirts avec inscription camp vacances 2020, rien n’a été négligé.   Une très belle expérience parce qu’elle a permis d’adapter le discours en fonction de la catégorie d’âge des enfants et adolescents par le biais d’une répartition en groupes d’une part et d’autre part, d’ouvrir le dialogue entre des jeunes en décrochage scolaire et vivant dans un milieu propice à la commission d’infractions et ceux vivant dans un contexte social plus favorable.    Les retours des parents dont les enfants ont participé au camp, ont été très positifs, mettant l’accent notamment sur une évolution positive de l’ouverture du dialogue avec leurs enfants et dans certains cas, sur un changement progressif de l’attitude de leurs enfants entraînant de meilleures relations au sein de la famille.    Un cas de succès : un adolescent participant au camp, ne s’est pas présenté un jour audit camp. La direction du camp a appris que cet adolescent avait été interpellé par les Koglwéogos suite à un vol commis la veille au soir après la fin de la journée du camp. Un des éducateurs a été plaidé en sa faveur auprès des Koglwéogos qui ont accepté de le relâcher sans amende. De retour au camp, l’éducateur spécialisé a eu une discussion avec l’adolescent en question. Après ces faits, cet adolescent a été assidu au camp avec un comportement correct, ses parents indiquant que suite à sa participation au camp, cet adolescent avait repris le chemin de l’école et que leurs relations s’étaient améliorées. Ces succès ont suscité de nombreuses demandes qu’un tel camp soit reconduit.    Les principales leçons apprises     En fonction de la cible, il faut savoir adapter le message de sensibilisation compte tenu de l’âge La sensibilisation en milieu “jeune” porte mieux lorsqu’il est associé à des activités ludiques.    Equipe Polprox  Adama GNANOU, Assistant Communication   


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    Burkina Faso BKF1803111

  • Zoom sur quelques résultats du projet Santé droits sexuels et reproductifs au Burkina Faso

    Zoom sur quelques résultats du projet Santé droits sexuels et reproductifs au Burkina Faso


    Kimsegninga SAVADOGO | 31/01/2022

    Notre approche de la promotion de la santé, des droits sexuels et reproductifs des femmes et des jeunes dans la région du Centre-Est donne des résultats. Les faits marquants pour l’intervention SDSR en 2021 se focalisent sur la consolidation du partenariat avec les acteurs étatiques et non étatiques ainsi que les acquis de 2020.  Les quatre grands aspects de notre intervention  L’intervention SDSR s’est focalisée sur quatre grands aspects à savoir :  Comment réduire la mortalité maternelle ?  Comment renforcer les actions pour la santé sexuelle et reproductive des femmes et filles avec un focus particulier sur la planification familiale (PF) ?   Comment contribuer avec des actions en faveur de la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes et des jeunes ?  Comment prévenir et répondre aux volences basées sur le genre (VBG), avec un focus sur la prise en charge des victimes des violences sexuelles et des survivantes des VBG selon un modèle unique ?  La consolidation du partenariat L’approche que nous préconisons est d’être disponibles pour accompagner nos partenaires étatiques et non étatiques selon leurs besoins que nous identifiions ensemble.  Le travail d’Enabel au quotidien n’est pas seulement d’apporter notre soutien technique et financier, mais surtout d’accompagner lors de toutes les réflexions qui se basent sur l’appropriation, la durabilité et la recherche de l’impact.  Nous avons aussi des partenaires académiques belges et burkinabè qui nous facilitent l'accès à des données, nous permettant d’améliorer nos approches d’une part et d’autre part d’utiliser les résultats de la recherche pour agir sur la base des évidences.  De la nécessité d’un Centre mère enfant à Tenkodogo  Un volet sur lequel nous avons fait un grand travail est la finalisation et l’opérationnalisation du Centre mère enfant de Tenkodogo, qui comprend deux grandes approches dans une même proposition.  D’une part, il permet de répondre aux questions d’accès aux soins de santé pour les mères et les enfants afin de réduire la mortalité maternelle et infantile, d’avoir accès au service de planification familiale, etc. D’autre part, il renferme un centre unique de prise en charge des victimes de violences sexuelles selon un modèle unique au Burkina Faso.  Le Centre pour les aspects santé maternelle et infantile permet de pallier l’absence d’hôpital de district en milieu urbain. Dans la région du Centre-Est, presque tous les besoins de santé qui se prononcent dans la commune urbaine de Tenkodogo étaient évacués vers le Centre hospitalier régional (CHR), ce qui constitue une grosse pression sur le CHR où les lits d’hospitalisation sont permanemment occupés à 100%.  Dans ce contexte, il arrive très fréquemment que des femmes accouchent et sont couchées avec leurs bébés à même le sol. Évidemment, cela conduit à une forte mortalité. D’où la nécessité du Centre mère enfant. Avoir un centre mère-enfant à Tenkodogo permet de désengorger le CHR, de réduire la mortalité et proposer des solutions rapides et efficaces dans la proximité avec une qualité d'équipements matériels de formations, dans la gestion du circuit du patient, du médicament etc.A travers le centre mère enfant, nous voulons contribuer à des solutions durables, à réduire les inégalités et répondre aux besoins des populations qui attendent nos services, de les avoir dans le temps et la proximité, mais aussi avec une certaine qualité.  Disponibiliser les soins de santé dans un contexte comme celui du Centre-Est où 45% de la population n’a pas accès aux services de santé permet de contribuer aux objectifs du Burkina Faso en matière de santé, mais aussi les objectifs mondiaux. A Enabel nous en sommes fiers.    Equipe SDSR Adama GNANOU, Assistant communication  


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    Burkina Faso BKF1803011

  •  La formation continue des acteurs et actrices de la Justice au Burkina Faso : comment Enabel y contribue-t-elle ?

    La formation continue des acteurs et actrices de la Justice au Burkina Faso : comment Enabel y contribue-t-elle ?


    Kimsegninga SAVADOGO | 31/01/2022

    PARJI met en relation des spécialistes belges de premier plan dans le domaine de la formation judiciaire avec le pouvoir judiciaire burkinabé.    L’Institut de Formation Judiciaire (IFJ) (https://www.igo-ifj.be/fr) est une institution fédérale belge de référence dans le domaine de la formation initiale et continue des magistrats et greffiers.     Le Directeur de l’IFJ, Monsieur Raf Van RANSBEECK et la chargée de mission internationale, Madame Karin CARLENS ont effectué une mission au Burkina Faso du 10 au 13 janvier 2022, accompagnée par Monsieur Yoann THINES, Intervention Manager de PARJI.  La mission entre dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI). Un projet mis en œuvre par l’Agence belge de développement Enabel et financé par l’Union européenne     Les objectifs de la mission.    Cette mission avait pour objectif principal de présenter l’Institut de Formation Judiciaire aux partenaires du PARJI afin de mieux définir et dimensionner les contours de la mobilisation technique à venir dans le cadre de l’appui du projet et de l’IFJ en matière de renforcement des capacités des acteurs judiciaires.   Ces audiences ont permis aussi d’évaluer les besoins en renforcement de capacités de l’ensemble des acteurs afin de mieux adapter leurs modules.    De façon spécifique, il s’est agi pour les missionnaires de :  nouer des contacts et des liens officiels entre l’IFJ, les partenaires burkinabè du projet PARJI et Enabel Burkina Faso aux fins de faciliter les collaborations à venir ; échanger avec les partenaires sur les pratiques et possibilités de renforcement des capacités (formation initiale et continue) pour lesquelles la Belgique, à travers l’IFJ a une expertise et un savoir-faire incontestable à partager ;  établir une stratégie commune de renforcement des capacités et d’appui aux acteurs judiciaires ;rencontrer les principaux partenaires techniques et financiers internationaux intervenant dans le domaine de la justice et des droits humains afin d’identifier des possibilités de partenariat complémentaire à celui établi avec Enabel.   Quelques partenaires rencontrés    La mission a tenue en 72 heures plusieurs audiences avec de hautes personnalités du monde judicaire et mission diplomatique au Burkina Faso :   le Chef de la coopération belge au Burkina Faso, Monsieur Wim Schalenbourg ; la Ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion civique, Garde des Sceaux Mme Victoria KIBORA/ OUEDRAOGO ;   la Délégation de l’Union européenne ;  l’ONG Coginta, ECOFI et le Centre international d’études sociologiques et de droit appliqué, (CINESDA) ; les directions techniques du Ministère de la Justice, des droits humains et de la promotion civique (MJDHPC) ;  des partenaires techniques et financiers (PTF) de la Justice et des droits humains dans le cadre de la réunion thématique du Cadre Sectoriel de Dialogue (CSD) “Justice et droits humains” et la Cour d’Appel de Ouagadougou.La Délégation a également rendu visite au TGI de Ouaga 2 et a rencontré : les premiers responsables de la juridiction (Président, Procureur, Chef de greffes) ; le responsable régional du programme d’accès à la justice et du projet d’appui à la médiation pénale par les chefferies traditionnelles de l’ONG Terre des hommes Lausanne.La direction générale de l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature (ENAM) et le Bâtonnier Maître Siaka NIAMBA ont reçu chacun les visiteurs conduits par Yoann THINES au cours de la matinée.           Geoffroy ZONGO  Communication Officer 


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    Burkina Faso BFA20003

  • Formation conduites d'engins lourds : 12 jeunes dames certifiées

    RDC: 12 jeunes femmes diplomées en conduite d'engins poids lourds


    Aimé GIRUKWIGOMBA | 31/01/2022

    Une approche assez inhabituelle, audacieuse mais réalisable.12 pionnières, renommées les  « Reines de la route de Kisangani » inspireront désormais fierté et influenceront sans doute d'autres jeunes à oser embrasser des carrières jusqu’ici considérées typiquement masculines dans la province.La Cérémonie de Remise des Brevets de réussite de la Formation-action « Conduite d’engins poids lourds de génie civil » tenue en ce jour, a été rehaussée par la présence du Gouverneur de la province de la Tshopo RDC et plusieurs ministres ayant pour attributions la Formation professionnelle, le Genre et les Travaux publics.L’intervention du projet EDUT d'Enabel en RD Congo procède à l’appui stratégique de l’insertion socio-professionnelle et soutient l’éclosion d’incubateurs d’entreprise génératrices d'emplois.L’aventure de ces jeunes dames ne s’achèvera pas aujourd’hui. Grâce à la collaboration fructueuse entre l’incubateur « Elykia » de la FEC Tshopo, la Compagnie Forestiere et de Transformation (CFT) ainsi que l’Office des Routes, des opportunités de stage ont pu être négociées au bénéfice de toutes ces dames conductrices lauréates : Un stage de 2 mois à la CFT et à l’Office des Routes sera conventionné afin qu’elles puissent perfectionner leurs compétences générales et se spécialiser aux différentes machines. Il s’agit ici de stages avec des emplois durables à la clé !Bon courage, bon vent et bonne carrière professionnelle à ces conductrices d’engins lourds


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    DR Congo RDC1217911

  • Au Bénin, Enabel contribue à l’amélioration des soins palliatifs

    Au Bénin, Enabel contribue à l’amélioration des soins palliatifs


    Reece-hermine ADANWENON | 28/01/2022

    Les soins palliatifs, une approche qui vise à améliorer la qualité de vie des personnes souffrant de maladies graves potentiellement mortelles, sont un concept nouveau en Afrique francophone.Au Bénin, des actions sont initiées depuis 2015 pour faire de ce concept une réalité dans les formations sanitaires. Ainsi, l’Association Béninoise des Soins Palliatifs (ABSP) est née, le Programme National des Soins Palliatifs (PNSP) est mis en place au Ministère de la Santé, une unité de production de morphine solution orale est opérationnelle au Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou, 4 unités de soins palliatifs sont mises en place dans 4 départements du pays (Littoral, Mono, Borgou et Zou) et des visites à domicile aux patients par une équipe mobile sont organisées à Cotonou et à Comè avec possibilité de relogement des patients parfois délaissés par leurs familles. Pour renforcer, élargir et pérenniser toutes ces initiatives entreprises, un plan quinquennal des Soins Palliatifs est en élaboration et constituera la boussole de Programme National des Soins Palliatifs (PNSP) pour l’identification et la mise en œuvre des interventions. Le processus de rédaction dudit plan a démarré depuis 7 mois avec plusieurs étapes allant de la constitution des groupes thématiques à l’élaboration et la pré validation du premier draft du document. Selon Richard Venance GANDAHO, Secrétaire Général Adjoint du Ministère de la Santé, ce Plan permettra au PNSP d’assurer l’exécution de sa mission qui est d’œuvrer pour prévenir et soulager les souffrances des patients et de leurs familles confrontées aux problèmes liés à des maladies graves potentiellement mortelles. A ce propos, il a remercié l’Agence belge de développement qui, à travers son programme santé a décidé d’accompagner techniquement et financièrement les différentes phases de mise en place des soins palliatifs aux Bénin. Le Dr Elysée SOMASSE, Manager du Programme santé Enabel « P@SRIS » a annoncé que le processus d’acquisition de plusieurs kilogrammes de morphine est déjà lancé et qu’il est également envisagé d’accompagner la mise sur pied d’unités de soins palliatifs dans les Hôpitaux des Zones d’intervention du programme, les acteurs étant déjà formés. «Guérir parfois, Soulager Toujours ! » Dans une étude réalisée au CNHU-HKM de Cotonou, les cancers représentaient 17% des hospitalisations et sont dominés par le cancer du sein (34,6% des cas) ; les cancers du col de l’utérus représentent 12,2% des cas. Ces cancers sont vus aux stades avancés (stade III et IV) dans 70,6% des cas. Les cancers en général et les cancers de la femme en particulier constituent le premier motif de recours aux soins palliatifs au Bénin. En effet, 89,2% des patients admis en soins palliatifs au Bénin présentent un cancer et les cancers de la femme (cancer du sein et cancer du col de l’utérus) étaient les plus fréquents et représentaient 32,75% des cas. Au vue de ces statistiques, il faut noter qu’au Bénin, les besoins en soins palliatifs augmentent avec la montée des maladies non transmissibles et l’augmentation de l’espérance de vie. Plusieurs patients se retrouvent en général vers leur fin de vie dans une situation de détresse physique, psychologique et même spirituelle. Ces types de malades sont parfois oubliés et décèdent dans l’abandon et dans une sorte d’indifférence qui frise la désobligeance ; toute chose que les juristes qualifieraient de non-assistance à personne en danger. Ces patients ont besoin d’accompagnement pour une qualité de vie acceptable et mourir dans la dignité.Enabel est heureuse de participer à la mise en place des soins palliatifs au Bénin, autrefois laissés pour compte.


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    Benin BEN19007