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En visite de travail au Burundi, Jean Van Wetter, Directeur général de l’Agence Belge de Développement, Enabel a visité, ce 25 novembre 2021, le projet Lake Tanganyika Water Management, mis en œuvre conjointement par Enabel et l’Autorité du Lac Tanganyika sur financement de l’Union européenne. La visite a débuté par une rencontre à laquelle ont pris part le Représentant Résident de Enabel au Burundi, le Directeur exécutif de l’Autorité du Lac Tanganyika, la Délégation de l’UE, l’Intervention Manager du projet ainsi que l’équipe du projet LATAWAMA. Sylvain Tusanga, Directeur exécutif de l’Autorité du Lac Tanganyika, a remercié le Directeur général d’Enabel ainsi que toute la délégation pour la visite qui « témoigne de la bonne collaboration entre l’Autorité du Lac Tanganyika et l’Agence Belge de Développement ». Il se dit satisfait des réalisations du projet LATAWAMA et souhaite une continuité de la collaboration dans le cadre de la préservation des eaux du lac Tanganyika. Dans sa présentation, Didier Cadelli, Intervention Manager du projet est revenu sur les réalisations du projet dans toutes les zones d’intervention du projet et a rappelé l’importance de la surveillance environnementale du lac Tanganyika pour la mise en place de politique cohérente et efficace de protection des ressources en eau de la biodiversité. Dans la ville de Bujumbura, l’optimisation du fonctionnement de la station d’épuration des eaux usées de Buterere, la digitalisation du réseau de collecte des eaux usées, le renforcement des compétences sont les activités prioritaires de LATAWAMA. La délégation a ensuite visité le site de la station d’épuration de Buterere afin de visualiser les activités et travaux en cours. Jean Van Wetter a noté avec satisfaction l’état d’avancement des travaux : « Je me réjouis de l’avancement des travaux et je me rends compte de l’immensité et de la complexité du travail que nous espérons poursuivre avec différents partenaires dont l’Union européenne pour la continuité des efforts visant la protection du lac Tanganyika ». Cléophas BIZABISHAKA, Directeur de l’environnement, hygiène et assainissement au sein de L’Office Burundais de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction apprécie la collaboration avec Enabel et l’ALT et plaide pour une continuité de l’appui. Pour rappel, le projet LATAWAMA vise la préservation de la qualité des eaux du lac Tanganyika. Le traitement correct des eaux usées constitue un élément incontournable pour réduire la pollution du lac Tanganyika.
Au Bénin, les Violences Basées sur le Genre (VBG) constituent un véritable fléau au regard de leur forte fréquence et des nombreuses conséquences auxquelles elles exposent les survivant(e)s. Selon les informations du Système Intégré des Données Relatives à la Famille, la Femmes et l’Enfant-Nouvelle Génération ( SIDoFFE-NG), 9 830 cas et 12 779 cas ont été enregistrés respectivement en 2019 et en 2020. Pour mettre fin à cette violence, Enabel intègre dans ses programmes, de manière tangible la lutte contre les différentes formes de violences faites aux femmes. A travers son Projet d’Appui à l’Opérationnalisation de la Police Républicaine (PAOP), elle œuvre pour une meilleure écoute des survivantes, s’attaque aux causes profondes de ces violences et contribue également à la redynamisation des services essentiels axés sur les survivantes dans les domaines de la police, de la justice, de la santé et des services sociaux. Découvrez dans cette vidéo les processus de prise en charge des survivantes au niveau des Centres Intégrés Départementaux de Coordination pour la Prise en Charge des Victimes et Survivantes des Violences Basées sur le Genre (CIPEC-VBG) et des Commissariats de Police. Pélagie Houndodjade Houndonougbo Epse Assogba, Assistante Sociale au CIPEC-VBG de Cotonou et Ismath Chabi, Commissaire de Police de 1ère Classe nous en parle.Selon Ismath Chabi, la 1ère porte de secours pour une victime est la Police Républicaine !
Des policiers et policières de Cotonou, Tchaourou et Parakou ont été mobilisés pour dire ensemble « Non aux violences faites aux femmes ». Ils s’engagent à jouer leur part pour : - Donner tout leur appui aux victimes de violences ; - Leur apporter assistance et secours;- Rétablir leurs droits. Cette campagne de sensibilisation organisée par le projet d’appui à l’opérationnalisation de la police républicaine (PAOP) s’étend sur les 16 jours d’activisme aux collèges et universités des trois zones pilotes du projet. STOP aux Violences fautes aux femmes. Appellez le 138 en cas de violence. Numéro anonyme et gratuit
L’hôtel Jeco de Dassa a servi de cadre le jeudi 25 Novembre 2021, pour la réunion du Comité Départemental de coordination des interventions en matière des Droits et Santé Sexuelle et Reproductive des Adolescent(e)s et Jeunes (SSRAJ) et des Violences Basées sur le Genre(VBG) dans les Collines. L'objectif de cette rencontre était de contribuer à l’amélioration de l’offre des services de la SDSRAJ, de la prévention et la prise en charge des VBG à travers l’analyse des indicateurs y relatifs et de renforcer la collaboration entre les parties prenantes. Les participants à cette rencontre ont : - passé en revue les avancées observée en matière de SDSRAJ et de prévention des VBG dans le département ; - définit une stratégie commune pour un plan d’action 2022. Mise en place avec l’appui technique et financier du Projet EQUITE, financé par l’Agence Française de Développement (AFD) et mis en œuvre par Enabel au Bénin, le Comité Départemental de Coordination des Interventions en matière de Droits et Santé Sexuelle et Reproductive des Adolescent(e)s et Jeunes (SSRAJ) et de lutte contre les VBG a pour, entre autres, missions de: -promouvoir la bonne santé sexuelle et reproductive des adolescent(e)s et jeunes dans les Collines, - coordonner et faire le suivi et évaluation de la mise en œuvre des interventions en SDSR et VBG, - collecter, analyser et présenter la synthèse des données factuelles, des propositions et des recommandations en matière de SDSR et VBG, - veiller à l’implication des adolescent(e)s ainsi que- faciliter la disponibilité des données désagrégées par sexe sur la SDSR et les VBG, - élaborer un rapport annuel sur les progrès en matière des SDSR et prévention des VBG dans le département des Collines- accompagner les jeunes dans la conception, planification et mise en œuvre des interventions en SDSR et VBG Il est composé entre autres du Préfet du Département, du Directeur Départemental de la Santé (DDS) des Collines ; du Directeur Départemental des Affaires Sociales et de la Microfinance (DDASM) des Collines, des Procureurs de la République près le Tribunal de Première Instance de deuxième classe de Dassa, Tribunal de Première Instance de deuxième classe de Savalou, Tibunal de Première Instance de deuxième classe d’Abomey, du Directeur Départemental de la Police Républicaine (DDPR) des Collines, des Directeurs Départementaux des ministères sectoriels tels que le Plan et du Développement, des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, des Enseignements Maternel et Primaire (DDEMP) et autres directions techniques et centraux concernés. Les Violences Basées sur le Genre (VBG) sont un phénomène prévalent dans toutes les localités du département des Collines. Selon les statistiques du Système Intégré des Données relatives à la Famille, la Femme et l’Enfant-Nouvelle Génération (SIDoFFE-NG) , parmi les formes de VBG prévalentes dans les Collines figurent les violences sexuelles, violences patrimoniales ou culturelles, enlèvement et séquestration, harcèlement, violences économiques, incestes, violences physiques, violences psychologiques, grossesses précoces, maltraitance, viol, mariage forcé, mariage des mineures et mutilations génitales féminines.
Madame Victoria KIBORA / OUEDRAOGO, Ministre de la Justice, des Droits Humains et de la Promotion Civique, Garde des Sceaux a rendu une visite d’encouragement aux acteurs de la chaine pénale du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pô le jeudi 18 novembre 2021 réunis en atelier de concertation du 16 au 19 novembre 2021 à Dakola, localité située à une vingtaine de kilomètres de la ville de Pô, dans la région du Centre Sud. Elle a salué l’initiative de cette rencontre, deuxième du genre après celle de Koudougou début novembre 2021, qui est le fruit d’un partenariat entre Enabel et son département ministériel. En effet, Enabel, à travers le Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), financé par l’Union européenne, soutient les juridictions du ressort de la Cour d’Appel de Ouagadougou dans la réalisation de certaines activités visant à améliorer le fonctionnement de la chaine pénale Ce jeudi 18 novembre, troisième jour de l’atelier, Madame Victoria KIBORA / OUEDRAOGO a fait son entrée dans la salle qui réunissait le Procureur du Faso près le TGI de Pô et ses Officiers de Police Judiciaire (OPJ). Sa présence se justifiait par sa volonté d’encourager les acteurs de la chaine pénale du TGI de Pô et de remercier Enabel qui, à travers le PARJI, soutient la réalisation de cet évènement. Elle est heureuse de voir que tous ceux qui interviennent dans la chaine pénale puissent se rencontrer, se parler et se comprendre. « Parce qu’à chaque niveau de la chaine, le maillon que vous êtes, devez parler le même langage pour que le travail soit de qualité, afin que les juridictions aussi puissent atteindre leurs objectifs. C’est pourquoi j’encourage ce type de cadre » affirme-t-elle. « Il y a beaucoup d’informations, je suis sûre, que vous avez pu avoir, depuis votre présence à cet atelier, et qui vous seront utiles dans le cadre de votre travail », se rassure-t-elle. Pour sa part, Madame Victoria KIBORA / OUEDRAOGO attend des recommandations à l’endroit de son ministère avant d’envisager une implication plus concrète de son département afin de contribuer à l’efficacité de la chaine pénale. Geoffroy ZONGO Chargé de communication / GP
En collaboration avec le Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM), Enabel à travers son appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité au Burkina Faso (PARJI) a organisé le lundi 22 novembre 2021 à Ouagadougou, une session de formation sur le management des juridictions au profit des chefs de juridictions ou de parquets nouvellement nommés. Présidée par le Secrétaire permanent par intérim du CSM, M. Paulin BAMBARA, l’ouverture de l’atelier a connu la participation effective du Représentant Résident d’Enabel au Burkina Faso M. Olivier KRINS qui, dans son intervention lors de la session, a réaffirmé l’engagement et la volonté d’Enabel et de la Belgique de s’inscrire dans des initiatives européennes pour soutenir le Burkina Faso dans la recherche de solutions aux préoccupations des populations dans le domaine judiciaire. Il a, par ailleurs, ajouté que c’était dans cette logique que s’inscrivait la mise en œuvre du PARJI financé par l’Union européenne jusqu’en 2024 à hauteur de près de 4 millions d’euros dans l’objectif de renforcer l’accès à la justice à travers le renforcement des capacités des acteurs judiciaires en vue de leur permettre d’exercer au mieux les missions qui leur sont confiées. En effet, le PARJI vise à renforcer l’offre et la demande de justice au Burkina Faso en améliorant la chaine pénale pour un meilleur accès des populations à la justice. Le projet travaille à réduire les disfonctionnements de la chaine pénale, à développer dans le domaine judiciaire une méthode de gestion axée sur les résultats afin de renforcer la productivité des juridictions et de contribuer à répondre, au mieux, aux besoins des justiciables. En substance, dira Olivier KRINS, « aujourd’hui, il est nécessaire d’avoir à la tête des juridictions et des parquets, de véritables magistrats-managers suffisamment outillés pour coordonner l’activité juridictionnelle, en mesurer l’efficacité, fixer les objectifs à atteindre, prévoir les moyens à mettre en œuvre dans une démarche claire et adaptée au contexte ». C’est fort de cette conviction qu’Enabel accompagne cette initiative de formation, proposée par le CSM, structure avec laquelle elle entretient un partenariat qui s’inscrit dans la durée et qui prévoit la mobilisation de l’expertise belge de l’Institut de formation judiciaire pour des formations pratiques sur des thématiques spécifiques en rapport avec la justice et les droits humains. Kimségninga SAVADOGO Communication Officer / Représentation
Un atelier de concertation entre les acteurs de la chaine pénale du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pô se tient du 16 au 19 novembre 2021 à Dakola. Ce cadre de concertation est une initiative du Procureur du Faso près le TGI de Pô. Cette initiative est soutenue par l’Agence belge de développement (Enabel) à travers le Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), financé par l’Union européenne. La cérémonie d’ouverture de l’atelier a été présidée par Monsieur DALA Emile Fidèle C., Représentant le Directeur Général de la Justice pénale et du Sceau du MJDHPC. Il avait à ses côtés Monsieur Nestor KIENTGA, Procureur du Faso près le TGI de Pô, de Monsieur Valentin KABORE, Directeur Provincial de la Police nationale du Nahouri, du Lieutenant Boukary DRABO, Commandant de la compagnie de Gendarmerie nationale de Pô et de Monsieur Rodrigue BILGHO, Expert sectoriel et thématique en appui aux juridictions pour Enabel pour le compte du PARJI. L’objectif général de l’atelier est d’offrir un cadre de dialogue du Directeur de la Police Judiciaire qui est le Procureur du Faso près le TGI de Pô, avec ses officiers et agents de police judiciaire, de décliner les orientations de la politique judiciaire pénale, de recueillir des préoccupations et des suggestions de leur part, d’adopter un projet d’institutionnalisation d’un cadre périodique de rencontre et un plan d’action pour l’année judiciaire 2021-2022. Durant les quatre jours de travaux, des mesures pour un bon fonctionnement de la chaine pénale seront soumises à discussion par les participants, des solutions pour une bonne collaboration entre les juges d’instruction et la Police Judiciaire seront identifiées et un partage de bonnes pratiques dans la conduite des enquêtes préliminaires sera réalisé entre le Procureur du Faso près le TGI de Pô et ses OPJ. Ceux-ci seront notamment sensibilisés sur les innovations du Code de Procédure Pénale et du Code Pénal et sur la médecine légale. Aussi, des échanges entre les acteurs de la chaine pénale et les compagnies de téléphonie mobile leur permettront de prendre des mesures adéquates pour améliorer l’exécution des réquisitions adressées aux compagnies de téléphonie. Parmi les participants figurent également des acteurs de la société civile comme le Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP) – section Nahouri et l’Union provinciale des femmes du Nahouri. La présence de la société civile permettra de tenir des échanges sur les problématiques spécifiques d’accueil et de prise en charge des victimes et témoins en matière pénale. Cette activité qui est la toute première du TGI de Pô a été particulièrement appréciée par le Procureur du Faso, Monsieur Nestor KIENTEGA compte tenu de l’ouverture récente du TGI, le 16 septembre 2021. « C’est l’occasion pour moi de pouvoir asseoir une dynamique, une bonne politique qui puissent me conduire à une bonne administration de la justice, parce que j’ai l’avantage de pouvoir anticiper sur les difficultés », se réjouit-il. L’appui d’Enabel à travers le PARJI pour la réalisation de cet atelier de concertation entre les acteurs de la chaine pénale du TGI de Pô est vivement salué par les participants, qui, du reste souhaitent, par la même occasion, une continuité de l’appui d’Enabel pour la réussite d’autres activités entrant dans le cadre des missions de Police Judiciaire. Geoffroy ZONGO Communication Officer / GP
Le 15 novembre a marqué le lancement des Plans de Renforcement des Compétences du programme e-TAMKEEN. Trois premières sessions de formations ont été dispensées à destination de 78 fonctionnaires de l’Administration publique basés à Rabat et dans les régions. Ces modules sont les premiers d’une longue série qui sera déployée jusque mars 2023. C’est officiel, depuis le 15 novembre 2021, e-TAMKEEN a lancé les premières formations de ses Plans de Renforcement des Compétences. Ces plans, établis en accord avec les 15 Ministères et Départements bénéficiaires, sont le cœur du programme qui vise à soutenir les fonctionnaires de l’Administration publique marocaine dans la numérisation de leurs services. Pour ce faire, ils toucheront des thématiques larges et variées telles que la sensibilisation et la gestion de la transformation digitale, l’innovation au sein de celle-ci mais aussi les risques et éthiques liés au digital. Des modules seront en outre consacrés à l’utilisation concrète et technique des outils phares de la digitalisation et de l’e-learning. Cette première semaine a déjà réuni 78 fonctionnaires dans le cadre de trois sessions sur la communication digitale et l’e-réputation, le management de l’innovation au sein des Administrations publiques et les nouvelles méthodes de gestion de projets numériques. Les participants venaient aussi bien de départements centraux que du niveau local. Ainsi, de nombreux secteurs et régions étaient représentés pour ce kick-off de haut vol. Ces modules sont donc les premiers d’une longue série de formations qui sera organisée sous formats divers et qui s’étendra jusqu’au mois de mars 2023. L’équipe d’e-TAMKEEN s’assurera de donner à l’ensemble de ces sessions une qualité exemplaire de sorte de satisfaire au mieux les besoins exprimés par l’ensemble des bénéficiaires du programme.
La célébration de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat (SME) au Burundi a été marquée par plusieurs activités des institutions organisatrices, ainsi un panel de haut niveau a été coorganisé par Enabel et la Délégation de l’Union Européenne (DUE) au Burundi dans l’après-midi du 16 novembre sous le thème « Favoriser l’entrepreneuriat des jeunes au Burundi » avec des panelistes ayant de l’expertise et pouvant enrichir et faire avancer le débat de l’entrepreneuriat des jeunes. Dans le cadre du renforcement du partenariat entre le secteur public et privé, l’objectif du Panel était de répondre aux besoins, aux préoccupations et aux questions exprimés par les jeunes, à partir d’une vidéo synthétisant les besoins des apprenants des centres d’enseignement des métiers (CEM) appuyés par le projet ACFPT. Après l’ouverture du panel par l’Ambassadeur de Belgique au Burundi, la modératrice a procédé à l’introduction et la présentation des six panelistes qui sont des acteurs qui jouent chacun un rôle important dans l’écosysteme entrepreneurial au Burundi, ils venaient du secteur public (Banque d’Investissement des jeunes), du secteur privé (CFCIB, Kazoza’Art, Hope Design), du secteur financier (CECM), et des ONG appuyant l’entrepreneuriat (Spark). Ce débat a été orienté autour des idées exprimées par les apprenants et lauréats des CEM dans une vidéo en termes de besoins et d’appuis.Le panel se focalisait sur la promotion d’une nouvelle réflexion sur l’entrepreneuriat des jeunes et ce qui pourrait être un environnement favorable pour cela. Les échanges ont été fructueux autour de l’esprit entrepreneurial des jeunes, l’accès aux ressources et aux capitaux, l’avantage de se mettre ensemble pour créer des entreprises, les avantages, contraintes et risques liés au crédit. Une attention particulière a été portée sur l’intérêt d’apporter un soutien technique aux entreprises naissantes ou appuyer la croissance de celle déjà existantes. Il est intéressant de noter que "favoriser l’emploi des jeunes et l’entrepreneuriat" fait partie de l’une des trois dimensions prioritaires de la Stratégie de l’UNESCO pour l’enseignement et la formation technique et professionnelle (2016-2021). L’objectif sous-jacent de telles activités est aussi d’atteindre plus de coopération et de coordination entre les différents acteurs locaux et internationaux, et de centrer les initiatives sur les idées et besoins des jeunes.
A travers son Projet d’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement (PEPAK), Enabel a participé à la célébration de la journée mondiale des toilettes ce vendredi 19 Novembre 2021. Cette journée vise à sensibiliser le public sur le rôle crucial que jouent les toilettes pour les populations et à encourager des actions ciblées pour relever le défi de la crise mondiale de l'assainissement. Cette année le Mali est à sa douzième édition de la Journée Mondiale des Toilettes (JMT) dont le thème national est : « Qui souffre du manque de toilettes ?». Dans le but de contribuer à l’amélioration du niveau de connaissance des populations sur les dangers liés au manque d’accès aux toilettes, mais aussi les effets néfastes de la Défécation à l’Air Libre (DAL), le Projet d’amélioration de l’accès à l’eau potable et assainissement a mené des activités de sensibilisation durant la JMT. A Bamako, nous avons pris part à la cérémonie de lancement de cette journée en présence du ministre de l’environnement, de l’assainissement et l’ambassadeur dur royaume de Belgique au Mali. Lors de la cérémonie d’ouverture, l’ambassadeur, au nom des partenaires actifs dans le secteur de l'environnement au Mali, s'est engagé à soutenir pleinement l'amélioration des infrastructures sanitaires dans le pays ; non seulement dans les foyers, mais aussi dans les écoles et les établissements de santé. A Koulikoro, nous avons profité de cette journée pour faire la remise officielle des clés des latrines réalisées au niveau de la mairie et de la préfecture aux autorités respectives.
The Rwanda Global Healthcare Summit 2021 took place on 18-20 November 2021 in Kigali under the theme “Global Health Delivery, introduction of new ideas and digital innovation”. The purpose of the Rwanda Global Healthcare Summit was to enhance the quality of life by raising awareness through educative and informative health conferences. In his opening remarks, Dirk Deprez, Resident Representative of Enabel in Rwanda said "stepping into manufacturing of health products & technologies in Africa not only represents an equity opportunity to assure better access to universal health, but also to job and wealth creation." “Support can go well beyond the support to the regulatory authority, Government and development partners are willing to derisk investments, by supporting access to finance and guarantee funds, to support the development of bankable projects, but also by supporting training for staff, boosting the right TVET and university trainings to build the local workforce needed.” He added. Enabel’s Health team members played a big role in the summit. They shared with participants presentations in relation with Enabel’s interventions in the health sector.The 3-day summit brought together Enabel and partners staff from Rwanda Biomedical Center, Ministry of Health, University of Rwanda and other health practitioners. Enabel Health team covered various topic, from digital health to near-miss audits in Rwanda, data quality in maternal health program, mental health and drug and substance abuse amongst adolescents in 7 districts of Rwanda. Aside from the conferences, Enabel participated in the exhibition with a booth where the work in the health sector in Rwanda over the past years was shown, such as the building of Nyarugenge District hospital, the NCDs campaigns, the current health program etc.
Enabel, à travers le projet ACFPT a participé à la Semaine de l’Entrepreneuriat, en proposant notamment un atelier dans la matinée sur le thème « Entreprendre après la formation professionnelle » qui a été coorganisé avec l’ONG Spark à l’endroit des apprenants des centres d’enseignement des métiers (CEM) appuyés par le projet. Enabel, à côté des ONG et autres organisations œuvrant dans l’écosystème entrepreneurial au Burundi, célèbre la semaine mondiale de l’entrepreneuriat (SME) au Burundi. La SME a eu lieu du 15 au 19 novembre en face du stade Intwari à Bujumbura. La semaine est célébrée sous le thème “Jeunes Entrepreneurs Burundais : Quels besoins, quels appuis ?” et est agrémentée d’une foire d’exposition des produits locaux. Le problème de manque d’emploi chez les jeunes devrait les pousser à entreprendre et créer leur propre emploi car l’entrepreneuriat des jeunes peut jouer un rôle important pour faciliter leur développement économique, mais les jeunes ont besoin d’être accompagnés dans ce voyage entrepreneurial par leurs ainés. Lors de l’atelier sur le thème « Entreprendre après la formation professionnelle », une vidéo illustrant les besoins et appuis exprimés par les apprenants des CEM pour entreprendre a été d’abord été partagée pour éveiller la conscience des jeunes et des décideurs. Les apprenants des 13 centres appuyés par le projet ACFPT ont été sensibilisés et ont pu échanger sur les questions relatives à l’entrepreneuriat. De jeunes entrepreneurs qui ont été accompagnés et encadrés par Spark ont témoigné et partagé leur expérience dans le parcours entrepreneurial, les défis rencontrés au début, les échecs et les leçons apprises. « Le début n’est pas du tout facile, il faut parfois faire des sacrifices et des compromis mais ce qui est important , c’est de toujours garder en tête l’objectif à atteindre qu’importe le prix à payer » a partagé Aristide un jeune entrepreneur. « Je garde en moi que l’idée d’entreprendre doit être accompagnée par des actions concrètes comme l’épargne, depuis aujourd’hui je vais me mettre avec mes camarades de classe pour commencer à épargner une petite somme qui servira de capital pour nos débuts entrepreneuriales » a affirmé Irène, apprenant du CFP Kanyosha. Vive la digitalisation : Autour de 400 jeunes connectés à distanceDes jeunes apprenants et lauréats de huit filières au CFP Kanyosha étaient présents sur le site en face du stade Intwari où se déroulait l’atelier tandis que d’autres jeunes (environ 400) des 12 autres centres appuyés par le projet ont pu se connecter et suivre l’atelier sur Zoom, une première expérience dans leur parcours. Le fait de suivre, participer et interagir avec d’autres participants à l’autre bout du pays, recevoir des informations et visionner des vidéos en temps réel, comme ceux présents dans la salle de l’atelier a été une expérience magique pour ces jeunes. « J’étais très content de participer en ligne, c’était la première expérience et ça m’a ouvert les yeux sur l’importance de la digitalisation dans l’évolution du monde actuel » a confié un des participants en ligne. Les jeunes présents étaient enthousiastes de pouvoir être connectés avec leurs pairs des autres centres et d’entendre des témoignages constructifs des autres jeunes qui ont emprunté le chemin de l’entrepreneuriat et qui en sont fiers. Cet atelier a été marqué par la présence du Représentant Résident d’Enabel au Burundi en compagnie du Directeur pays de SPARK.
Développer l'agriculture est une nécessité essentiel pour atteindre la résilience alimentaire en Mauritanie. Afin de participer encore plus activement à cet effet le programme Rimfil passe un accord avec Agri-Sahel. La mission d'Agri-Sahel est d'agir avec et pour les bénéficiaires et les partenaires au développement dans la mise en œuvre, la formation et la promotion des solutions innovantes dans le cadre des projets et programmes de recherche et développement. Notre nouveau partenaire participe à la promotion et au développement de système de production horticole à haute valeur ajoutée destinée à l’amélioration des conditions de vie et des capacités de résilience des populations vulnérables en milieux rural et en zone périurbaine.Pour plus de précision les résultats attendus de notre partenariat sont:16 sites modèles de production maraîchère agroécologique circulaires, dans les bassins de production maraîchère des 4 wilayas2 000 producteurs maraîchers formés et accompagnés sur 700 ha de maraîchage aménagés et 100 paysans facilitateurs (conseil agricole) formés et suivisUn manuel d’installation de jardin maraîcher circulaire produit et diffuséUne contribution à l’élaboration de produits financiers (microcrédit) adaptés au maraîchage et un dispositif de conseil de proximité pour les producteursPour ce qui est des activités à mener: Aménagement de jardins maraichersAppui à une production maraichère annuelle, et à la mise en place d'un système de production circulaire, agroécologique et économiquement viableDémarche de recherche-action/innovationCommunication/informations aux acteurs sectorielsCapitalisation de l'informationRéseautage et accompagnement des "facilitateurs paysans"Renforcement de capacités Transfert de compétences- Appui-conseil/ AccompagnementComme on peut le voir nombreuses sont les similarités avec les objectifs du programme Rimfil. Ce but commun permettra d'arriver rapidement au renforcement de la résilience des populations vulnérables à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle en Mauritanie.Cette approche du développement de la filière maraichère basée sur des innovations techniques qui permettront de passer d’une activité saisonnière à une activité annuelle. Tout cela apportera au secteur une augmentation de la qualité et de la quantité et une professionnalisation avec une activité permanente. (Demi-lunes_oblique_basse- Gualb_Elaich-12 octobre 2021-MS-enHaut-DJI, Photo_EnabelMauritanie)
Le 6ème congrès international de Francopol organisé via visioconférence les 17 et 18 novembre 2021, a connu la participation d’une importante délégation de la Police Républicaine du Bénin. Pendant les deux demi-journées qu’ont duré les travaux, les praticiens, experts et acteurs de la sécurité dans le monde ont partagé leurs expériences dans la mise en œuvre de la police de proximité et des pratiques policières.Ce congrès a été l’occasion pour le Bénin qui expérimente le concept de police de proximité de partager ses expériences et de découvrir les pratiques inspirantes en matière de lutte contre le terrorisme, la cybercriminalité, la gestion des risques psychosociaux afin d’adapter au mieux le concept à la culture et à la société béninoise. Les représentants de la Police républicaine ont participé à plusieurs ateliers autour des thèmes : « Les comités de vigilance dans les villages en Afrique », « vers une gestion négociée de l’espace public renforçant la confiance entre police et citoyen : panorama des nouveaux défis et pratiques innovantes » ; « Violence conjugale à l’ère du numérique » et « le rôle de la police dans la protection des mineurs ». La fin de chaque journée de travail était marquée par une séance de synthèse entre le directeur général de la police républicaine et ses cadres techniques pour une analyse judicieuse des bonnes pratiques partagées par les autres et étudier les conditions de leur expérimentation ou adaptation au contexte béninois. L’Agence belge de développement "Enabel" qui met en œuvre le projet d’appui à l’opérationnalisation de la police républicaine au Bénin (PAOP), a soutenu et accompagné la participation effective de la Police Républicaine béninoise aux travaux de ce congrès qui se veut une occasion d’apprentissage des expériences de réussite/d’échec des autres polices francophones partenaires (peer-to-peer).
47 élèves fonctionnaires de l'École nationale d'administration (ENA) du Mali viennentt de terminer en ce mois de novembre 2021, une formation initiale complémentaire en renforcement de capacités sur les modules relatifs à la gestion de l'administration publique.Etendu sur deux semaines, cette formation est une éducation genre qui s'inscrit dans le cadre d'un accord spécifique de partenariat entre l'Institut Royal des Relations Internationales (Egmont) de la Belgique et l'Ecole Nationale d'Administration du malienne.Lors de cette formation, des expertises de l'administration publique belge et des experts internationaux ont formé des formations dans une optique d'émergence d'une nouvelle génération.La cérémonie de clôture qui a eu lieu le 16 novembre 2021 a eu lieu en présence des responsables de l'ENA, de la primature, de l'Agence belge de développement et de l'ambassadeur du royaume de Belgique au Mali. Lors de la cérémonie de clôture, le directeur de l'ENA s'est réjouit de cette activité qui témoigne de l'excellence des relations entre le Mali et la Belgique, mais plus particulièrement entre l'ENA et ses partenaires, notamment l'Institut Royal Egmont et Enabel. Il en était de même pour le représentant de la primature qui a été félicité, l'excellente qualité de la formation dont les sortants de l'ENA ont reçu. Ainsi, il a remercié les partenaires de l'institut Royal Egmont et Enabel pour cet appui tant significatif qui est retenu à la formation de cette école dont les impacts améliorent la gouvernance au Mali. En effet, l'école nationale d'administration de Bamako est un centre pourvoyeur de cadres performants et dynamiques de l'administration publique au Mali.La recherche de l'amélioration de la performance et de la culture d'excellence pour les cadres qui passent par-là est une préoccupation majeure des hauts responsables de cette école dans le souci de donner une formation de qualité à ces cadres. dans cet esprit qu'un partenariat a été conclu entre l'ENA de Bamako et l'institut Royal Egmont de la Belgique dans le cadre d'un programme de formation des étudiants particulièrement fonctionnaires les élèves. Quand aux bénéficiaires, ils se disent satisfaits de cette formation et comptent sur le maintien de cette collaboration pour le pouvoir ancien des cadres compétents au service de l'administration publique malienne.