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  • Des animaux sains, le gage de revenus stables

    Des animaux sains, le gage de revenus stables


    Stephanie EECKMAN | 30-08-2016

    Au Niger, le bétail sain joue un rôle absolument fondamental. Mais pour maintenir un troupeau en bonne santé, formations et approvisionnement en médicaments sont indispensables. Mais avec la croissance du cheptel et la pression démographique, les soins vétérinaires sont souvent insuffisants pour garantir une santé optimale des animaux.    Le pays ne compte que 126 vétérinaires pour une superficie de 1 267 000 km², soit 1 vétérinaire pour 10 000 km². Un problème de taille, auquel viennent s'ajouter la faible offre en médicaments vétérinaires et le manque d’opportunités de formations après l’obtention du diplôme de vétérinaire. Pourtant, une insuffisance de l’accès aux services de base en matière de santé animale constitue l’un des principaux facteurs de risque économique pour l’éleveur. De ce fait, il est un frein important au développement de l’élevage.   Améliorer les services vétérinaires de proximité à travers la formation   A travers le Projet d’Appui à la Production Pastorale (PAPAT), la CTB mène différentes actions pour renforcer les capacités des agents de terrain -des techniciens issus des Directions régionale, départementales et communales, ainsi que des Services Vétérinaires Privés de Proximité- pour assurer un service vétérinaire- adaptés aux normes régionales/internationales-dans la région de Tahoua. En effet, l’ensemble des services vétérinaires (fourniture d’intrants, service, conseil) ne peut être performant que s’il est accompagné de formation.   Afin de renforcer les capacités de ces techniciens, et selon une démarche participative, un atelier d’identification des besoins de formations a été tenu. Il a impliqué les représentants départementaux de l’élevage de la région  et, a permis de ressortir les besoins prioritaires en formation dans le domaine de la santé animale. Ainsi, les thèmes suivants ont été retenus comme prioritaires : i) petites chirurgies animales, ii) techniques de prélèvement, d’’emballage et d’expédition des échantillons au laboratoire, iii) techniques d’évaluation de la biomasse, iv) SIG, v) techniques d’identification des tiques et autres insectes, vi) Techniques d’amélioration de l’alimentation animale, vii) Conduite de l'aviculture villageoise, viii) Technique de communication et ix) Procédures de passation de marchés. Le choix de ces thèmes a tenu compte des besoins réels des agents ainsi que des engagements déjà pris par d’autres partenaires de développement pour la formation des agents d’élevage.   Ainsi, une formation relative au thème « Les techniques d'identifications des tiques et autres insectes hématophages, les tests de diagnostiques des parasitoses sanguines.» a été organisé du 12 au 21 avril 2016 en 2 sessions de 5 jours chacune au profit de 37 techniciens venant de tous les départements de la région de Tahoua. Ils ont été instruits sur la biologie et l’écologie des tiques, l’exploitation de la clé d'identification des tiques, les diagnostics des maladies transmises par les tiques, les vecteurs de trypanosome et autres diptères hématophages, la trypanosomoses animales et la trypanotolerance, l’exploitation de la clé d'identification des diptères. Le Laboratoire Central de l’Elevage (LABOCEL), en charge du diagnostic des maladies animales, des recherches vétérinaires et d'enquêtes épidémiologiques au Niger, a assuré cette formation. Chaque module présenté a fait l’objet d’échanges entre les participants et le formateur, ce qui a permis de clarifier et d’approfondir tout aspect sombre du module en question. Et après la phase théorique, les apprenants ont mis en pratique les enseignements des deux jours précédents dans les locaux du LABOCEL de Tahoua.   Le renforcement des capacités des agents d’élevage sur « Les techniques d'identifications des tiques et autres insectes hématophages, les tests de diagnostiques des parasitoses sanguines » permet aux agents de distinguer les différents tiques et insectes hématophages, de faire un pronostic précis sur les maladies (parasitoses) transmises par ces vecteurs, de maitriser les techniques d’échantillonnage (collecte, conservation et transmission des prélèvements) et de maitriser les maladies sur le terrain en terme de traitement et de contrôle afin de mieux maitriser les situations sanitaires.   Poursuivre de telles formations sur d’autres thématiques est la réponse la plus efficace pour une remise à niveau complète des techniciens et auxiliaires d’élevage. En effet, ces agents vétérinaires constituent la cheville ouvrière du Ministère de l’Elevage et leur formation continue est indispensable pour la qualité des activités à mener, notamment d’assurer la protection du cheptel national et par conséquent, la productivité du cheptel, la sécurité sanitaire des aliments et les revenus des pasteurs.


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    Niger NER120351T

  • El Programa de Apoyo al Riego Comunitario entrega 7 microsistemas de riego a las familias de Sillani, municipio de Presto

    El Programa de Apoyo al Riego Comunitario entrega 7 microsistemas de riego a las familias de Sillani, municipio de Presto


    Wietse FRICKEL | 29-08-2016

    Chuquisaca, 10 de agosto de 2016. El Miércoles 10 de agosto del año 2016 el Programa de Apoyo al Riego Comunitario (PARC) entregó 7 sistemas de riego familiar a la comunidad de Sillani en el municipio de Presto, cuya construcción demandó una inversión de 795 mil bolivianos, co-financiada por la donación del Reino de Bélgica y recursos locales del Gobierno Autónomo Municipal de Presto, a través del Ministerio de Medio Ambiente y Agua (MMAyA). Los sistemas de riego, 6 atajados y un microsistema de riego familiar, garantizan riego para 5 hectáreas, asegurando la productividad agrícola y la seguridad alimentaria de 11 familias. Atajados son reservorios grandes que almacenan agua de lluvia, con el objetivo de garantizar el riego del cultivo en época de sequía. Además, la comunidad contará con un Asistente Técnico que apoyará los regantes en el uso y mantenimiento de los atajados y mejorara su producción. En el acto de entrega, Orlando Espinoza, Director Nacional del programa PARC y representante del Ministerio de Medio Ambiente y Agua, agradeció al Reino de Bélgica y al Gobierno Autónomo Municipal de Presto que co-financiaron el proyecto.


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    Bolivie BOL0903111

  • Evaluation of trainings: Using the Kirkpatrick model

    Evaluation of trainings: Using the Kirkpatrick model


    Jennifer SWERTVAEGHER | 29-08-2016

    Evaluating trainings The general and specific objective of the BTC Scholarship Programme is to contribute to the institutional capacity development and the organizational strengthening of beneficiary government institutions in two sectors: Local Government Reform (LGR) and Natural Resources Management (NRM). To achieve these objectives, practical trainings about LGR and NRM are given in selected districts in the country. The project is approaching its end and most of the trainings have been conducted by now. In the last phase of the project, it’s very important to undertake a final evaluation of the impact of the trainings in the daily performance of these selected institutions. For this evaluation, specific follow-up tools have been created. The Kirkpatrick model has been used to improve these evaluation tools and to check whether the trainings are evaluated at all critical levels. The Kirkpatrick model The Kirkpatrick Model is a model for evaluating the effectiveness and impact of a training in order to improve the training. The model takes into consideration 4 levels of evaluation.  Level 1: Reaction Level 2: Learning Level 3: Behaviour Level 4: Results On the first level, the reaction of trainees towards the training are being measured, mostly via a questionnaire or interview of the trainees after the training. On the second level, the level of actual learning of the participants is being measured. Has the knowledge, skills or attitudes of the trainees increased as a result of the training? One way of answering this questions is through the comparison of a pre- and post-test (testing the trainees before and after the training) for example. The third level measures changes on the job due to the training. Did the training influence how learners perform in their jobs? Do they apply the learned knowledge, skills and/or attitudes in their work? As many people as possible that could be in a position to notice changes in the work performance of the training participants should be interviewed at this stage. For example:  Participant/ learner Supervisor/mentor People who the trainees deliver service too (customers/ community) Colleagues Observation on the job and review of documents produced by the training participant are also ways for finding this out.  The fourth level measures to what degree the targeted outcomes of the organization occur as a result of the training. Did the training have an impact on the larger organization outcomes? What are the effects on the business or environment as a result of the trainee’s performance improvement? This can be checked through comparing the performance of the institution before and after the training, through interviews, review of documents, etcetera. 


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    Tanzanie TAN1088811

  • Signature un nouvel accord de coopération avec le Niger

    Signature d'un nouvel accord de coopération avec le Niger


    Stephanie EECKMAN | 25-08-2016

    Le 23 juin dernier, le Vice-Premier Ministre et Ministre de la Coopération au développement Alexander De Croo a visité le Niger. Le but de la visite du Ministre était la Commission Mixte du 22 juin, conclu par la signature du Programme de Coopération 2017-2020 entre les deux pays. Ce nouveau programme de coopération a été signé pour un montant de 33 millions qui s'étaleront sur quatre ans.. Dans ce programme, l'accent est mis sur deux secteurs.  Les soins de santé: l'amélioration de l'accès à des soins de santé de première ligne de qualité via le développement d'un système de couverture universelle (14 millions d'euros). L'élevage et la sécurité alimentaire: l'amélioration de la sécurité alimentaire, de la résilience et des revenus des personnes actives dans l'élevage familial (14 millions d'euros). En outre, une enveloppe de 3 millions d'euros sera affectée au renforcement des capacités. La Coopération belge au développement soutiendra également un projet du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP) qui lutte contre les mariages d'enfants et les grossesses précoces (2 millions d'euros).Avec cette signature, neufs mois de travail de préparation ont connu leur fin. Un nouveau chapitre s’ouvre avec les formulations des deux programmes pour lesquelles les préparations sont déjà en cours, et le démarrage effectif de la mise en œuvre dès 2017. Pendant la visite du Ministre, un petit déjeuner à été organisé aux "one roof" du bureau diplomatique et de la CTB, Nos collègues et partenaires du Programme d’Appui à la Mise en Place des Entités Décentralisés dans la région de Dosso (PAMED2) ont témoignés et échangés avec le Ministre sur la décentralisation et les défis de gouvernance locale et la sécurité alimentaire dans la région de Dosso. L’on peut dire que le Ministre a été séduit par le potentiel d’un tel appui pour améliorer les conditions de vie des Nigériens et Nigériennes. La rencontre avec Mme Hadabi Haoua Bizo et Mr Oumarou Chérif, les maires des communes de Kiéché et Douméga respectivement, a eu un impact particulier sur la visite du Ministre. Kiéché et Douméga font partie des douze communes au Niger qui bénéficient de l’appui du Programme d’Appui à la Mise en Place des Entités Décentralisés dans la région de Dosso (PAMED2) qui a pour but de soutenir les responsables à mieux gérer leur commune de façon transparente, à dialoguer avec la population, à trouver des solutions à leurs principaux problèmes. Lors de cette rencontre, les maires ont partagé leurs expériences avec le PAMED2 et ont stressé l’importance et l’impact du soutien de la coopération belge.      «  Traditionnellement » a expliqué Hadabi Haoua Bizo « à Kiéché, on cultive le mil, mais ces dernières années, on à eu des récoltes décevantes. Mais on se rend compte que si on produit des tomates ou des oignons, on peut gagner plus d’argent. Alors, avec l'appui du programme on arrive à amménager des sites maraîchers et on conseille les producteurs. Il y avait aussi un problème d’accès aux aliments dans les mois qui précèdent les nouvelles récoltes, les greniers étaient vides et la nourriture hors de prix. Avec l’aide belge, nous avons construit une banque céréalière qui fournit des vivres à un prix abordable. Et en plus de ça, on a soutenu plusieurs activités génératrices de revenu. Par exemple, les femmes les plus vulnérables reçoivent trois chèvres et un bouc, qu’elles «remboursent» lorsque leur élevage est bien lancé. Et comme nos administrés voient ce qu’on fait avec l’argent, le leur et celui qui est fourni par les impôts payés par les citoyens belges, ils sont plus enclins à payer leurs taxes ! La faim recule, et les jeunes retrouvent l’espoir, ce qui freine leur exode  ».    


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    Niger NER1003011

  • Training on local economic development

    Training on local economic development


    Carl THEUNIS | 09-08-2016

    This is a video about the training of the Vice-Mayors in charge of Economic Affairs of all the districts in Rwanda. The training focused on Local Economic Development (LED). Participants learned more about what is LED, how to ensure proper planning of LED infrastructure projects, how to exploit local potentialities etc.The training took place in Kigali on 24-25 may 2016. It was organized by the Local Administrative Entities Development Agency (LODA) and supported by the Belgian Government in the framework of the Rwanda Decentralisation Support programme (RDSP) as well as the German Government through the KFW Development Bank.


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    Rwanda RWA1308911

  • Palestinian education in Jerusalem endangered

    Palestinian education in Jerusalem endangered


    Eva MORRE | 08-08-2016

    A complex situation Ahmed lives in East-Jerusalem and together with his friends he goes to school in the Al Huda school in the Old City. He follows classes in one of the two container classes that are added on the roof of the old building. They don’t have a playground so, in between the classes, they play on the street. Also heating or air-conditioning are lacking in the building. During wintertime they follow classes with their jackets on, and when they start being cold, they go outside for a while, to jump up and down. When they are warmed up again, they return to the classroom. Ahmed is one of 85.000 children going to school in East-Jerusalem, the Palestinian part of the city. Due to the occupation and the unclear statute of Jerusalem, the more or less 200 schools in the East have large educational needs. A fragmented education system In total more than 85.000 Palestinian children follow classes in East-Jerusalem, in about 200 primary and secondary schools. These 200 schools are very fragmented. There are 74 private schools, 60 municipality schools, 46 schools managed by a trust under Jordanian tutelage (according to the ‘Waqf’ system), 7 schools of the United Nations (UNRWA), and 18 ‘Sakhneen’ schools, a type of recognized unofficial schools established as a response to the scarcity of public schools. The unclear statute of Jerusalem causes huge problems in the educational system in East Jerusalem. Limited number of building permits One of the major problems is obtaining building permits. Since the foundation of the Palestinian Authority in 1994, the creation of extra schools in East-Jerusalem has been a top priority, so far without great success. The number of Palestinian schools in Jerusalem is limited in number, building new schools is almost impossible due to a shortage of building lots destined for public buildings in East-Jerusalem. Also renovations are challenging due to the long and often complicated procedures to obtain building permits. Therefore, classes are generally packed and not adapted to the needs of the pupils, which leads to an environment lacking decent learning conditions. Many schools fall short of electricity standards, decent sanitation, heating in winter or air-conditioning against the summer heat. The lack of classrooms results in overcrowded classes. In some schools it is not possible for the students to be seated all at the same time. The precarious schooling conditions give rise to an increased school dropout rate, especially in secondary education where more than 5000 students fall outside the schooling system. At present, 36% of the children in East Jerusalem don’t finish school. In order to solve this problematic situation, the town now rents several buildings. Due to the shaky financial situation of most schools in East-Jerusalem, they are not capable of paying the rental fees themselves. Moreover, the rented apartments – that are redecorated as classrooms – are often not adapted to their new function. Also the acquisition of new buildings by donors and the international community is planned, but the purchasing process is complicated due to all administrative and legal obligations that have to be dealt with and due to the limited amount of available building lots. Finally, 5 buildings have been purchased over the last couple of years. Further on, the acquisition of 2 extra school buildings by the Islamic Development Bank and Norway is ongoing. Furthermore, different schools are being renovated, among others thanks to the Belgian Development Cooperation. In total, 9 schools, out of which 3 private schools, will be totally renovated in East Jerusalem during 2016. Many others are subject to small improvements, such as  upgrading the electricity and sanitation, thanks to the help of different donors. What about the teachers?   A second problem is the lack of qualified teachers. Especially for exact sciences, technology and English a shortage exists. There are multiple causes for this lack of teachers. First of all, for the inhabitants of the West Bank it is a challenge to commute to Jerusalem. In order to work in Jerusalem, they are obliged to ask a permit to enter Jerusalem. However, many permits are refused. They are not allowed either to move closer to work, as they are only authorized to travel to Jerusalem for work, but in the evenings they have to return to the West Bank. Staying overnight in Jerusalem is prohibited for them. Furthermore, life in Jerusalem is a lot more expensive than elsewhere in the West Bank, which decreases the actual value of their salary. This is partly compensated by an extra “Jerusalem-bonus” for teachers working in East-Jerusalem. Unfortunately, this bonus is not high enough to fully compensate the additional costs of the transport, the extra cost of living and the time that is lost while commuting. A third reason for the shortage of teachers is linked with the recognition of the Al Quds university. The Al Quds university is the most important university for Palestinians in Jerusalem, but its degrees are not recognised by Israel. Therefore, the alumni of, among others, the teacher training have major issues finding a job. A financial hole A third major obstacle is the financial pressure from the Israeli Ministry of Education. Currently, most schools in Jerusalem, also those in East-Jerusalem, receive financial support from Israel, as education is, according to international law, a basic right for everybody. However, from the Israeli side there are threats to abolish this support. This would be disastrous for the majority of schools in East-Jerusalem, to the extent that many fear that, in case no solution is found, by the end of 2016, no Palestinian education will be possible anymore in Jerusalem, due to financial reasons. Schools need to receive more financial and judicial support in order to continue their activities. A customized curriculum A forth issue is the battle for the choice of the curriculum. There are three different types of curricula that are used alongside each other in East-Jerusalem. Not only the Palestinian curriculum, but also the Israeli curriculum and a censured version of the Palestinian curriculum circulate and are used.  Israel puts a large pressure on the Palestinian schools to no longer use the uncensored version of the Palestinian textbooks and curriculum. These would, according to Israel, incite hatred and violence. However, this idea has been rejected as incorrect by a study of the Council of Religious Institutions of the Holy Land[1]. In the censured version all references to the Palestinian nation are minimized and cities like Akko and Haifa, that were originally Palestinian cities, but currently located in the Israeli territory, are no longer mentioned. This is unacceptable for the Palestinian Authority as they see it as an oppression of the Palestinian identity, and they underline having the right to foster an own national identity. Schools that refuse to use either the Israeli curriculum or the censured Palestinian curriculum, risk losing their subsidies. Due to budgetary reasons, many private schools have already adopted the use of the Israeli curriculum. To address this situation, the Palestinian authorities call upon the schools to look for support in the local community, and to decently inform the parents about the consequences of the different curricula for the education of their kids. In this way, organisations like parent councils can exert pressure too. For a better future What is needed to overcome these problems is, first of all, a clear database where all needs and shortcomings of the system are listed, in terms of shortage of teachers, denied permits, shortage of classrooms, subsidies, but also other issues like safety standards. Secondly, there is a need to concentrate the investments in the education sector for the next couple of years in the most problematic areas, which makes East-Jerusalem, together with the Gaza Strip one of the top priorities. An additional area of concern is the safety of the students. This includes not only the safety standards at school, like the regulation of the electricity and proper sanitation, but also the security of the children on their way to and back from school. Currently 20% of the students and teachers have difficulties in reaching their schools. In view of the political situation and the many security incidents that have occurred in the old city of Jerusalem, this is definitely an issue to keep in mind. Furthermore, the fragmentation of the educational system should be diminished. As already mentioned before, there are different types of schools, which is the reason why some of them receive more support than others. For example, private schools in East-Jerusalem are often, wrongly, overlooked. To overcome these issues and together look for a solution for the future, a working group on East-Jerusalem has been erected, with the Palestinian ministries of education and higher education, of Jerusalem, of foreign affairs and all interested international donors. The Belgian Development Cooperation has different educational projects that focus on East-Jerusalem. At present, Belgium is, together with the Palestinian Authority, responsible for the donor coordination concerning education in the Palestinian Territory. Furthermore, The Belgian Development Agency (BTC) is currently renovating 9 schools in East-Jerusalem, among which also the Al Huda school (see picture) in the Old City. Additionally, the Belgian Development Cooperation gives budget support to the Palestinian ministry of education and higher education for the execution of their education plan. If all stakeholders work together and gather their forces, there is a chance that Ahmed and his classmates will be able, in a couple of years, to safely return to a renewed school with a customized curriculum taught by enthusiastic teachers. [1] Victims of Our Own Narratives?, Portrayal of the “Other” in Israeli and Palestinian School Books, 2013, Council of Religious Institutions of the Holy Land, http://israelipalestinianschoolbooks.blogspot.co.il/. 


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    Palestine PZA1503511

  • UN NUEVO CANAL DE IRRIGACIÓN EN EL MUNICIPIO OMEREQUE GARANTIZA LA SEGURIDAD ALIMENTARIA DE 50 FAMILIAS

    Un nuevo canal de irrigación en el municipio Omereque garantiza la seguridad alimentaria de 50 familias


    Wietse FRICKEL | 04-08-2016

    El Ministerio de Medio Ambiente y Agua (MMAyA), a través del Programa de Apoyo al Riego Comunitario (PARC) y con el apoyo de la Cooperación Técnica Belga (CTB), entregó un nuevo canal de irrigación al municipio cochabambino de Omereque, que beneficiará a 50 familias del lugar. La inversión de la obra asciende a más de Bs. 1,6 millones, co-financiada por la donación del Reino de Bélgica y recursos locales del Gobierno Autónomo Municipal. El canal, con una longitud de más de tres kilómetros, garantiza riego para 70 hectáreas, asegurando la productividad agrícola, la cual mejorará los ingresos económicos y garantizará la seguridad alimentaria de 50 familias. Además, esta obra cuenta con un programa de Acompañamiento y Asistencia Técnica que apoyará a los regantes de la comunidad en el mantenimiento, la operación del sistema y el mejoramiento del uso de los recursos naturales, incrementando sus rendimientos de cultivos bajo riego. Omereque, 18 de julio de 2016


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    Bolivie BOL0903111

  • Enquêtes de satisfaction

    Enquêtes de satisfaction


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Dans la cité Karavia à Lubumbashi, où le projet ‪PRELUB établira un nouveau ‪réseau électrique basse tension, des ‪enquêtes‬ sont menées auprès de 800 familles pour évaluer la satisfaction du réseau actuel. En dehors de ces enquêtes plus d'informations seront données sur l'éfficacité‪ énergétique, telles que l'utilisation des lampes fluocompactes. 


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    RD Congo RDC1015211

  • La réhabilitation du pont Kamoutambaye

    Le pont Kamoutambaye, un appui au désenclavement


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Situé à Ngomba dans la Province de Lomami, la réhabilitation de ce pont important permettra le désenclavement de toute la chefferie de Katshisungu, et coutera près de 200.000 USD. La cérémonie de lancement des travaux a eu lieu le mardi 27 juillet avec la participation du grand chef, entouré des chefs de groupement, des notables, ainsi que des femmes sages du royaume et la population locale. Le grand chef de Katshisungu, Monsieur Kabua a Baata, a pris la parole et a remercié la CTB pour avoir accepté de financer cette  réhabilitation, qui permettra le rétablissement du trafic et contribuera certainement à la réduction de la pauvreté des populations de la zone. Ensuite, il a appelé les chefs des localités riveraines de sécuriser des matériaux de travail qui seront stockés. Enfin, il a demandé à tous les sorciers de la zone d’éloigner les bishishis, comme des serpents, des crocodiles et autres forces négatives, du site des travaux. C'est dans une ambiance de fête avec des pas de danse et des chants typiquement Kaniocks, que cette belle cérémonie s’est terminée.  


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    RD Congo RDC1217311

  • Journée de d'échanges et de réfléxion

    Journée de d'échanges et de réfléxion


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Pour la première fois, un programme de développement a réuni les différents chefs de secteur des entités administratives décentralisées concernés par les interventions de désenclavement. Le programme PRODEKOR a organisé un atelier de travail sur la question de maitrise d’ouvrage locale à laquelle ont participé les différents chefs coutumiers des zones d’intervention. Trente-huit chefs de secteurs et grands chefs des chefferies de la province de la Lomami ainsi que du Kasaï Oriental ont pris part à cette journée d’échanges et de réflexion. Les échanges ont porté sur les responsabilités légales et administratives des chefs, mais aussi sur les devoirs pour une durabilité des réalisations, sur un respect de la réglementation et sur le financement des activités. A l’issue de cette rencontre, les participants se sont engagés pour une mobilisation des finances locales en vue de soutenir l’entretien des infrastructures de désenclavement (routes, ouvrages d’art et bacs) et pour une meilleure sensibilisation de la communauté pour le respect de la réglementation routière. Le représentant des chefs a grandement salué l’initiative et a fait remarquer l’importance du travail, mais surtout l'implication. Il a remercié le Royaume de la Belgique et la CTB, dans les efforts de soutien aux populations locales, qui contribuent majoritairement à la réduction de la pauvreté. 


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    RD Congo RDC1217311

  • Un gage de l'appropriation

    Les habitants au service du désenclavement


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Soucieux d’assurer une continuité de l’entretien des routes, le projet PRODEKOR compte surtout sur l’implication concrète des bénéficiaires. A cet effet, le programme accompagne la constitution des comités villageois de développement (CVD), qui se chargeront de la formation des comités locaux d’entretien des routes (CLER) sur les nouveaux axes en réhabilitation.  Cette démarche vise à renforcer l’adhésion des bénéficiaires aux efforts de maintien de l’état des routes, les CLER étant composés par des personnes qui habitent dans les villages désenclavés. Ainsi, le programme a adopté une approche basée sur le dialogue et la participation tant du partenaire étatique, des autorités que des populations locales. Des rencontres sont programmées, ou tous les représentants communautaires sont présents, les chefs coutumiers étant les porteurs de voies. Outre l’échange d’information, le programme accorde une attention particulière à la dimension appropriation dans la constitution des CVD. Les CLER seront mis en place avant la fin des travaux de réhabilitation, évitant ainsi une dégradation des routes entre la fin des travaux par l’entreprise et les activités de l’entretien par les CLER. L'action est portée par les services techniques de l’administration, appuyée par l’équipe de communication du PRODEKOR.   La photo ci-jointe est prise dans le Territoire de Luilu, où le chef coutumier s’adressait à la population et parlait de l’importance de leur implication pour la sauvegarde du patrimoine routier.


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    RD Congo RDC1217311

  • Une nouvelle école primaire

    Une nouvelle école primaire


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Dans son souci d’appuyer le partenaire provincial dans la mise en œuvre de sa politique sectorielle et d’offrir un cadre adéquat aux autorités, EDUKOR réhabilite les bâtiments de la Division Provinciale de l’Education. Pour ça une école primaire a été construite en vue de pouvoir délocaliser les élèves qui jusqu’en juin 2016 suivaient les cours dans un environnement peu propice à l’apprentissage.


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    RD Congo RDC1217211

  • Formation en gestion scolaire réussie

    Formation en gestion scolaire inspirante


    Julie CLAASSENS | 03-08-2016

    Le Programme d’appui à l’Enseignement Technique et Professionnel au Kasaï Oriental a clôturé son premier cycle de formation en gestion scolaire. Au total, vingt-et-un inspecteurs sont formés pour constituer un noyau au sein des inspections principales provinciales du Kasaï Oriental et du Lomami. Cette série de formations consistait de quatre modules, correspondant aux quatre matières fondamentales dans la gestion d’une école technique et professionnelle. Elle s’est clôturée par le cycle en gestion pédagogique. Le grand objectif de cette partie était de renforcer les capacités des inspecteurs par rapport à la méthodologie qui vise une pédagogie de qualité. Cet objectif permettra aux inspecteurs de former les chefs d’établissements, en charge de la gestion au quotidienne les écoles. "Nous pensions depuis tout ce temps que notre expérience d’enseignant suffisait pour être des bons formateurs, mais nous venons de découvrir que sur le plan méthodologique nous avions encore de choses à apprendre’’, déclare l’Inspecteur Principal Provincial Adjoint, Alfred Gandu, en charge de la formation au Kasaï Oriental à l’un des participants. Monsieur Gandu souhaiterait que l’Inspection Provinciale s’inspirerait davantage sur les nouvelles méthodes apprises lors de cet atelier. 


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    RD Congo RDC1217211

  • Les clubs d'écoute au service de la communication pour le développement

    Les clubs d'écoute au service de la communication pour le développement.


    Julie CLAASSENS | 01-08-2016

    Entre avril et juin 2016, le chargé de communication de la CTB TSHOPO a procédé à un diagnostic participatif de quatre radios communautaires et d’une vingtaine de clubs d’écoute ciblés dans sa zone d’intervention. Les quatre radios sont réparties entre les territoires de Banalia, Isangi et Opala. Le Service National d’Information Rurale (SNIR) a aussi été impliquée dans cette activité.L’objectif était d’identifier les besoins réels des radios et clubs d’écoute perçus comme partenaires potentiels en vue d’un appui approprié. La finalité de cet appui est de promouvoir la communication pour le développement dans les trois composantes du programme provincial: le Programme de Développement Agricole dans la Tshopo (PRODAT), le Programme de Désenclavement de la Tshopo (PRODET) et le Programme d’Appui à l’Enseignement Technique et à la Formation Professionnelle dans la Tshopo (EDUT).Il ressort du diagnostic des radios qu’elles fonctionnent dans l’illégalité. Les unes n’ont pas de statuts, les autres ont des statuts non légalisés. Elles émettent sur une fréquence qui n’a pas été attribuée par l’autorité compétente. Leur gestion est mauvaise parce que les organes de gestion sont soit inexistants soit non opérationnels. Journalistes, animateurs et techniciens n’ont pas reçu une formation suffisante. Toutes ces radios émettent moins de six heures par jour pour la simple raison qu’elles manquent souvent du carburant pour faire fonctionner leurs générateurs. Elles n’ont pas de grilles de programmes qui prennent suffisamment en compte les problèmes de la communauté.  Le principal point positif commun aux radios est qu’elles ont un rayon de couverture assez important entre 100 et 150 km. A noter aussi qu’elles ont le monopole dans leurs lieux d’implantation. Quant aux clubs d’écoute, quelques-uns ont suivi une formation sur leur mission, comme des clubs Dimitra dans le territoire d’Isangi. Mais ces derniers se confondent facilement avec les comités villageois de développement. D’autres n’ont jamais suivi une seule formation et ne connaissent pas très bien leur rôle au sein de la communauté.    Les difficultés qu’éprouvent les radios à émettre régulièrement ont une répercussion sur le fonctionnement des clubs d’écoute.  L’exercice du diagnostic participatif  sera suivi de l’élaboration d’un plan de renforcement des capacités qui prendra en compte les aspects matériels et techniques


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    RD Congo RDC1217711

  • TVET summer camps – TVET for our future

    TVET summer camps – TVET for our future


    Eva MORRE | 01-08-2016

    Rising unemployment, in particular among youth, with figures up to 50% in the Gaza Strip, is a major cause of poverty. Many young people, even with a degree, cannot find a job. At the same time employers complain that they cannot find the people with the right competences to work in their companies. Youngsters with technical skills are in high demand in Palestine. Technical and Vocational Education and Training (TVET) should therefore be the best choice to find a job. In reality most young people opt for the traditional academic stream, often having difficulties finding a job after graduation, notwithstanding excellent school results. To tackle this paradox and to reduce unemployment in Palestine, the Belgian Development Agency and Islamic Relief Palestine have now, in cooperation with the Ministry of Education, organised the first TVET summer camps ever in the Gaza Strip, with the aim of making TVET education more popular. The TVET summer camps take place in three different TVET institutions in the Gaza Strip. They aim to change the negative attitudes towards TVET and increase the enrolment percentage at TVET centres and schools. The idea is to give the students enrolled in general education a chance to be introduced to the TVET education system. In total, 210 students from tenth grade participate in the summer camps. At every institution they are divided in 4 separate groups of 17 students each. During 6 days they attend 3 different, interactive TVET workshops, interspersed with sports and art. Thanks to the TVET workshops, the participants can practice different occupations as the TVET workshops tries to simulate a real working environment. Thanks to the summer school, the students gain some basic technical competences that enable them to make a more thought through study choice. "The camp gave me the opportunity to learn more about graphic design and I was able to produce nice products using the Photoshop program.” Kareema (participant at Gaza Girls TVET School) The summer camps also include trips to companies, factories and workshops related to the subjects practiced by the students, which gives them the opportunity to interact with the employers and learn more about the different occupations. The products that were produced during the summer camps by the students have been presented in a central exhibition during the closing ceremony of the TVET camps held on the 31st of July 2016. The camps also include interactive sessions between the students and their parents in order to change the attitude of parents towards TVET so they would support the choice of their children in case they want to enrol in the TVET education system. Kamal (parent): "My son participated in the camps, he joined Deir Al Balah Industrial School, then he decided to select TVET to be his career and he registered in the school”. The Ministry of Education will be asked to conduct a tracer study at the end of next school year to identify the percentage of participants in the summer school that have decided to enrol in TVET.  


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