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  • Enabel fournit au ministère de la santé du Burkina Faso, du matériel pour améliorer le fonctionnement de la médécine légale

    Enabel fournit au ministère de la santé du Burkina Faso, du matériel pour améliorer le fonctionnement de la médécine légale


    Kimsegninga SAVADOGO | 23/09/2022

    Enabel fournit deux ambulances, du matériel médical de pointe et consommable médicaux, du matériel informatique et des ouvrages spécialisés au Ministère de la santé du Burkina Faso pour améliorer le fonctionnement de la médecine légale Enabel, à travers le Projet d’Appui au Renforcement de la Justice pour lutter contre l’Impunité (PARJI) financé par l’Union européenne, a apporté un appui matériel d’envergure aux 2 services de médecine légale du ressort de la Cour d’appel de Ougadougou, à savoir celui du Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo et celui du Centre Hospitalier Universitaire Régional de Ouahigouya. La cérémonie officielle de remise de cet important matériel s’est tenue le jeudi 22 septembre 2022 à Ouagadougou précisément au Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo.  Présidée par la Secrétaire Générale du Ministère de la santé et de l’hygiène publique, Dr Estelle Edith DEMBELE/DABIRE (représentant son ministre, empêché), la cérémonie a mis à l'honneur la participation de l’Ambassadeur de l’Union européenne au Burkina Faso, M. Wolfram VETTER, de celui du Royaume de Belgique, M. Jean-Jacques QUAIRIAT, ainsi que du Représentant Résident d’Enabel au Burkina Faso, M. Olivier KRINS. L’appui est composé essentiellement de deux ambulances, d’appareils médicaux spécialisés, d’ouvrages spécialisés, de matériel informatique, de consommables et petits matériels médicaux divers. Il est évalué à plus de 150.000.000 de F CFA, soit un appui de plus de 230.000 Euros. Une reconnaissance aux acteurs prépondérantsLe Représentant Résident d’Enabel au Burkina Faso, Olivier KRINS, a remercié les acteurs prépondérants qui ont apporté leur concours pour la réalisation de cette action d’acquisition et de remise de matériel qui contribue au développement de la médecine légale dans le pays et améliore, de fait, la qualité et la crédibilité des enquêtes en matière pénale. Enabel a soutenu également, à travers ce projet, une étude architecturale afin d’évaluer les besoins techniques et financiers pour la construction future d’un Institut médical et permettre au Ministère de la Santé de démarrer une levée de fonds à cet effet dans les prochains mois. Au rang des acteurs clés ayant contribué à la réalisation de ce projet du PARJI figurent : l’Union européenne qui a alloué les fonds de mise en oeuvre ; le Royaume de Belgique dont relève l’Agence belge de développement Enabel ; le gouvernement Burkinabè, notamment les premières autorités en charge de la santé, l’ensemble des directions du Ministère de la Justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, avec lesquelles les équipes d’Enabel sont quotidiennement en contact afin d’élaborer conjointement les activités visant à répondre aux besoins des justiciables ; les médecins légistes, et plus particulièrement Dr Norbert RAMDE, président de l’Ordre des médecins qui a fait preuve d’une disponibilité et d’un engagement remarquable dans le processus d’acquisition du matériel remis.   L’esprit Team Europe salué Olivier KRINS a également salué l’esprit « Team Europe », un cadre où les états membres européens actifs au Burkina Faso s’organisent au sein d’une dynamique collective qui permet de mutualiser les moyens et d’enrichir la réflexion au bénéfice de leurs partenaires burkinabé et dans lequel s’est inscrit le projet PARJI.   « Enabel active dans plus de 14 pays dans le monde avec un accent particulier pour les Etats en situation de fragilité, et notamment au Burkina Faso, ont assuré toute la complémentarité requise entre d’une part, le programme Justice de l’UE et ce projet d’Enabel, et  d’autre part, certains aspects du programme de coopération de la Belgique parmi lesquels la Santé, les droits sexuels et de la reproduction (dit SDSR) dans la Région du Centre-Est, œuvrant dans le district sanitaire de Tenkodogo pour la prise en charge des victimes de violences basées sur le genre, avec notamment la création récente  d’un Centre Mère Enfant à Tenkodogo » dira Olivier KRINS.  En réceptionnant le matériel, la Secrétaire Générale du Ministère de la santé et de l’hygiène publique a mentionné que celui-ci permettra de renforcer le fonctionnement des services de médecine légale du CHU de Bogodogo et du CHUR de Ouahigouya tout comme les moyens roulants favoriseront la mobilité de l’équipe qui est souvent appelée sur des scènes de crime hors de son siège. Un futur recours à l’Institut de criminologie de l’Université de Liège en Belgique A la suite de cette remise de matériel médico-légal, il sera fait appel à l’Institut de criminologie de l’Université de Liège en Belgique pour permettre d’ici la fin de l’année 2022, l’intervention d’un éminent médecin légiste du Royaume, afin d’accompagner les autorités du Ministère de la santé du Burkina Faso, dans une stratégie de formation de spécialistes en médecine légale visant à terme, à renforcer la présence de ces auxiliaires de justice sur l’ensemble du territoire national.  Selon la Secrétaire Générale du Ministère de la santé et de l’hygiène publique, la médecine légale qui est une branche de la médecine au service de la Justice, est une discipline qui reste embryonnaire au Burkina Faso alors que ses sollicitations vont grandissantes. Cela est d’autant plus vrai qu’avec « la dégradation continuelle du contexte sécuritaire, humanitaire et sanitaire, la chaîne pénale dans son ensemble est fortement sous pression et les attentes des populations vis-à-vis de la justice sont de plus en plus importantes. Ces besoins sont notamment la célérité dans le traitement des dossiers et l’amélioration de l’impact de l’assistance judiciaire qui permettraient de sentir l’œuvre réelle de justice et d’éviter le sentiment d’impunité. »  


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    Burkina Faso BFA20003

  • Lancement de la préparation du nouveau programme de Coopération bénino-belge pour la période 2023-2028

    Lancement de la préparation du nouveau programme de Coopération bénino-belge pour la période 2023-2028


    Reece-hermine ADANWENON | 23/09/2022

    En cours depuis novembre 2018, l’actuel programme de Coopération entre la Belgique et le Bénin prendra fin en Novembre 2023. Afin d’assurer une continuité des interventions et la pérennité des acquis, le processus d’élaboration du prochain programme pour la période de 2023 à 2028 est lancé ce mardi 20 Septembre 2022 au Majestic de Cotonou.Une cérémonie simple qui a connu la participation effective des Chefs de Coopération des Ambassades de la Suisse, du Canada, de l’Allemagne, des Pays-Bas et de la Belgique ; le Directeur Général Adjoint du Financement, du Développement représentant le Ministre de l’Économie et des Finances ; les représentants des Ministères sectoriels à savoir : -  le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération, -  le Ministère de la Santé, -  le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, -  le Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, -  le Ministère du Numérique et de la Digitalisation, -  le Ministère des Infrastructures et du Transport ; Les Acteurs de Coopération Non Gouvernementale belges (ACNG) et l’équipe Enabel avec à sa tête le Représentant Résident étaient également fortement représentés. Selon Martin DEROOVER, Chef de la Coopération près de l’Ambassade de Belgique au Bénin, le premier objectif du programme bénino-belge est de renforcer la résilience des populations vulnérables et plus particulièrement des jeunes et des femmes afin de permettre un développement humain durable au Bénin. Ce programme placera donc le capital humain au centre et veillera au renforcement de ce facteur par l’amélioration de l’accès à des services socioéconomiques de base de qualité, à la sécurité alimentaire et à des emplois décent, inclusif et durable. Le tout, dans un contexte de sécurité améliorée pour les populations des zones ciblées permettant de renforcer leur résilience aux chocs économiques, alimentaires, sécuritaires et environnementaux. A l’en croire, le futur programme de coopération au développement avec le Bénin se veut innovant de par les approches qui seront proposées et en ligne avec les priorités belgo-béninoises. Les interventions dudit programme seront concentrées sur 4 priorités avec comme thèmes transversaux : • L’inclusion et le genre, • Le Changement climatique et la préservation de l’environnement, • La Digitalisation,• Le Travail décent.Clément Fabian Portfolio Developper à Enabel Bruxelles, dans sa présentation sur le cycle, les orientations du programme et le processus de préparation a souligné les 4 priorités qui sont visés à savoir : • Le  développement agricole durable • Le développement para-portuaire durable • L’accès aux services de santé et droits sexuels et reproductifs de qualité • Le maintien d’un climat sécuritaire propice au développement.Il a également précisé que le processus d’élaboration du programme de coopération est cadré par le contrat de gestion d’Enabel et est constitué de plusieurs étapes tels que : - Les Ateliers Innovation et ToC, les Rencontres avec les partenaires, la Société Civile et les ACNGs BE, l’atelier de restitution avec les partenaires, l’atelier Team Belgium @ Bruxelles en octobre. - Courant les mois de novembre et décembre 2022 auront lieu les séances de consultation et de travail multi acteurs pour l’élaboration de la stratégie pays ; les ateliers de partage du draft de la stratégie pays, l’envoi du draft au Comité de Validation d’Enabel et en Janvier 2023 la soumission du projet de stratégie à la DGD.Mr Eustache HAKPONDE, Directeur Général Adjoint du Financement, du Développement procédant à l’ouverture de la cérémonie, a tenu au nom du Ministre de l’Économie et des Finances, à exprimer toute la gratitude du gouvernement du Bénin à la coopération belge pour sa présence constante à ses côtés et pour toutes les actions qu’elle mène en vue d’accompagner le développement socio-économique du Bénin. A ce propos, il a invité tous les acteurs impliqués dans les différentes étapes de la formulation du nouveau programme de coopération à ne ménager aucun effort pour contribuer à la construction de projets/programmes en phases avec les priorités du Programme d’Actions du Gouvernement (PAG-2021-2026). 


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    Benin 2204BEN

  • Au Bénin, Enabel accompagne le Gouvernement pour la digitalisation des flux financiers dans la filière ananas

    Au Bénin, Enabel accompagne le gouvernement dans la digitalisation des flux financiers de la filière ananas


    Reece-hermine ADANWENON | 23/09/2022

    Permettre aux différents acteurs de bénéficier, non seulement des avantages des services financiers digitaux, mais en plus, de disposer d’une solution numérique intelligente qui facilitera les partenariats d’affaires dans la filière ananas. C’est l’objectif visé par l’Agence belge de développement (Enabel) au Bénin à travers le programme DEFIA qui, avec la contribution du Consortium Amarante Consulting – Open SI, a conçu et déployé une offre de porte-monnaie électronique nommé « agriwallet » au bénéfice des acteurs de la filière ananas. Grâce à cette innovation, il sera possible, entre autres, pour les producteurs membres des clusters de recevoir les paiements de l’agrégateur (entreprise de transformation), tout en ayant la possibilité d’épargner progressivement pour acheter des intrants auprès d’un fournisseur de référence. La solution permet également la signature et l’exécution de contrats intelligents entre acteurs d’un même cluster (producteurs, transformateurs, transporteurs, fournisseurs d’intrants, autres prestataires de services, etc.), permettant de planifier la production ,etc.La démarche de conception et le déploiement de cette innovation, confiée au Consortium Amarante Consulting – Open SI, comprend trois phases :● Une phase de sélection des clusters, d’analyse des besoins et des acteurs et cartographies des flux financiers et non financiers entre acteurs ; les goulots d’étranglement ont été identifiés pour chaque flux, ainsi que les gains de performance potentiels induits par la digitalisation ;● Une phase de design, de test et de déploiement de la solution numérique, à travers une approche Human centered design et de co-création avec les usagers finaux ; l’objectif de la phase pilote est d’enrôler près de 1 500 producteurs (sur 3 clusters) afin de valider le modèle économique et les fonctionnalités de la solution, tout en vérifiant le son degré d’acceptabilité et d’appropriation par les bénéficiaires ; ● Mettre la solution à l’échelle au profit des autres clusters de la filière ananas, mais aussi à d’autres filières comme le riz, sur la base des enseignements de la phase pilote.Durant la première phase, qui vient d’être clôturée, le consortium Amarante Consulting - Open SI, a mené plusieurs missions sur le terrain afin de rencontrer les différents acteurs. Ainsi, de nombreux focus groups et entretiens individuels se sont tenus avec les producteurs, les transformateurs, les commerçants et les fournisseurs de services. D’autres acteurs importants ont été également impliqué, à savoir : les institutions de microfinance, les opérateurs de téléphonie mobile, les banques, etc.Cette recherche a permis de mieux comprendre leurs attentes, de quantifier les flux et de jeter les bases du modèle économique optimal pour l’agriwallet.Riche de ces enseignements, le consortium a développé une solution informatique intégrant technologie innovante des « smart contracts ». Cette technologie, reposant sur l’intelligence artificielle, permet de réguler, structurer, organiser, anticiper et planifier les relations d’affaires entre les différents acteurs du cluster, en réduisant les interactions humaines. Ce qui a pour effet d’offrir aux acteurs une solide valeur ajoutée.Le démarrage de la phase pilote est prévue en début octobre pour une durée de trois (03) mois. Elle permettra ainsi de tirer les leçons de l’expérience terrain pour corriger ce qui doit l’être. L’initiative « agriwallet » s’inscrit dans la stratégie du programme DEFIA d’Enabel de faire du digital un instrument de transformation des économies agricoles et rurales du Bénin. Elle permettra de contribuer significativement à l’amélioration et à la sécurisation des revenus agricoles des agri-entrepreneurs de la filière ananas au niveau des pôles de développement agricole Sud du Bénin, tout en favorisant leur inclusion financière et économique. Elle est l’accompagnement d’un important volet d’éducation financière et digitale pour favoriser la compréhension, l’usage et l’appropriation de la solution.


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    Benin BEN19005

  • Enabel in Palestine rolled up their sleeves for a clean-up activity along Bethlehem roadside

    Enabel in Palestine rolled up their sleeves for a clean-up activity along Bethlehem roadside


    Ahed JARAYSEH | 23/09/2022

    Celebrating World Clean-up Day, Enabel in Palestine, the Ministry of Local Government, the Environment Quality Authority, the Belgian Consulate and the Japan International Cooperation Agency (JICA) joined the World Cleanup Day through an energetic community Clean-up Day in Irtas village, southwest to Bethlehem city. More than 100 participants contributed actively, from government institutions, local councils, volunteers, development actors, and World Cleanup day representatives to collect garbage and solid waste along the roadside at Solomon's Pools. Degradation of the environment, climate change and a mounting solid waste crisis are worldwide challenges, strongly affecting Palestine as well. Improper waste disposal mechanisms have a damaging and long-lasting impact on human health and well-being. Our joint cleanup day initiative was meant to raise awareness, and trigger positive actions and solutions to promote a green and sustainable Palestine. Through our new Portfolio, we will contribute to addressing those challenges, with a specific focus on the environment, climate adaptation and mitigation measures, and a green and circular economy. We all have a responsibility and an urgent role to play!


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  • MTN Uganda and Enabel handover new ICT laboratory

    In Uganda, handover of a fully furnished ICT laboratory to Millennium Business School


    William YEKA | 22/09/2022

    Vocational education in the Albertine region has received a major boost following the handover of a fully furnished ICT laboratory to Millennium Business School today. The facility jointly established by MTN Uganda and Enabel is aimed at facilitating ICT enhanced learning. Enabel Resident Representative Tom Vanneste says that given the importance of ICT skills in today’s world of work, the laboratory will play a key role in preparing young people for employment.“ICT in education has been reduced to learning basic ICT skills, including word processing and working with spreadsheets. To bring vocational education into the 21st century, ICT will need to find its way into the workshops e.g. by utilizing car diagnostics apps for motor vehicle maintenance in the practical instruction workshops,” Vanneste says.He however reveals that many vocational training institutes lack adequate computers, trained ICT staff, and ICT content and programmes.  To address the challenge, MTN Uganda provided computers and servers. It also supported the production of audio-visual learning teaching and learning content. MTN will additionally provide Millennium Business School internet for at least one year. “The internet is full of relevant online Open Educational Resources that could help to boost technical and vocational training and keep learning up to date with the latest technology,” Vanneste says.   This is the second phase of the partnership between MTN and Enabel. In the initial phase, the Belgian development agency worked with the telecommunications provider to establish similar ICT laboratories at Amelo Technical Institute (Adjumani), St. Simon Peter’s Vocational Training Centre (Hoima), and St. Daniel Comboni Polytechnic (Moroto). This second phase targets another set of three institutions including Millennium Business School. Other beneficiary institutions include; Uganda Technical College Kyema and Kasese Youth Polytechnic. “MTN Uganda is intently committed to delivering the benefits of a modern connected world to everyone. We believe in creating leading digital solutions for Africa’s progress and accelerating the achievement of this vision through strategic partnerships such as the one with Enabel ” said Bryan Mbasa, the Senior Manager, MTN Foundation. Enabel through the Support to Skilling Uganda project is upgrading the institutions receiving the ICT support to Centres of Vocational Excellence through various initiatives including integration of ICT in teaching and learning, infrastructure development, private sector-led vocational training, etc.


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  • 9.6 billion shillings Albertine region vocational education infrastructure commissioned

    Uganda: 9.6 billion shillings Albertine region vocational education infrastructure commissioned


    William YEKA | 22/09/2022

    Government has today inaugurated new vocational education infrastructure in the Albertine region worth over 9.6 billion shillings.  The facilities include; dormitories, ICT classrooms and training workshops, and garages. Others are energy-efficient kitchens and water supply systems. They have been fully equipped with all the necessary tools, equipment, and machinery.  Beneficiary institutions include; Uganda Technical College - Kyema in Masindi district as well as Millennium Business School and St. Simon Peter’s Vocational Training Centre both in Hoima.  Enabel Resident Representative Tom Vanneste says the initiative contributes to the transformation of the three institutions into Centres of Vocational Excellence.  "The new facilities will ensure that the institutions are more conducive for learning and accessible especially for girls,” Vanneste said.  The infrastructure initiative is part of the Support to Skilling Uganda (SSU) project jointly implemented by Enabel and the Ministry of Education with funding from the Kingdom of Belgium.  The project provides similar infrastructure support to 4 other vocational training institutions namely; Kasese Youth Polytechnic (Kasese), St. Joseph’s Technical Institute Virika (Fort Portal), Nakapirirpiri Technical Institute (Nakapiripirit) and St. Daniel Comboni Polytechnic (Moroto).  Besides infrastructure development, the SSU project built the capacity of instructors to enable them to train better.  It also provided vocational education scholarships to over 12,000 youth, women and girls. Additionally, partner institutions were supported to develop and implement business plans to make self-sustaining.  The Support to Skilling Uganda project aims to enhance the employability of youth through better of instruction and by making skills training more responsive to the needs of the labour market.  It is implemented in Albertine/Rwenzori, Karamoja, and West Nile sub-regions.  


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  • La digitalisation au service des soins de santé - Visite du Centre Sainte Thérèse (Burundi)

    La digitalisation au service des soins de santé - Visite du Centre Sainte Thérèse (Burundi)


    Philippine DE BRUYN | 22/09/2022

    Dans le cadre du programme de résilience au COVID-19 grâce à la digitalisation (co-financé par l’Union Européenne et implémenté par Enabel), un appel à candidature a été lancé pour solliciter des hôpitaux intéressés d’implémenter de nouvelles solutions digitales au sein de leurs services. En quoi cela consiste-t-il ? Quelles sont les étapes d’une telle transition ? L’hôpital Sainte-Thérèse nous a ouvert ses portes pour découvrir les premières étapes de sa transition vers la digitalisation de ses infrastructures.Après avoir collaboré à l’installation des panneaux solaires et serveurs permettant les prémices d’une connexion stable, le travail préparatoire est en cours et Dr Sœur Lamberta Nakabandi, la directrice, nous explique ce qu’elle attend de ces nouvelles installations.Un suivi des patients et qualité de services améliorésGrâce à la digitalisation des fiches patients, l’hôpital espère d’une part, pouvoir garantir un suivi qualitatif et rapide en termes de pathologies et soins et d’autre part, soulager le personnel soignant de nombreuses tâches administratives afin de leur permettre de se concentrer sur les soins. De plus, le personnel administratif entrevoit avec ces nouvelles technologies et matériel, une opportunité d’un meilleur suivi au niveau des factures et dossiers leur permettant de économies de coût. De plus, en digitalisant certains aménagements, le personnel soignant obtiendra l’opportunité de contacter des collègues parfois situé à de grandes distances pour solliciter leur expertise et conseils.« Grâce à la digitalisation, l’autre connait ce que je connais. C’est important d’assurer un suivi du patient et ça allège d’autres services comme la réception ou encore la facturation (…). Nous espérons pouvoir développer un meilleur suivi des factures pour assurer l’économie de l’hôpital. »Un gain d’espaceIl n’est pas rare de voir de nombreux dossiers s’accumuler dans les armoires et de prendre certains espaces qui pourraient permettre d’être utilisés à de véritables objectifs de santé. C’est pourquoi la digitalisation est également accueillie à ce niveau comme une bouffée d’air frais.L’équipe soignante et directrice est bien évidemment consciente que ces aménagements impliquent des changements organisationnels et budgétaires afin de pouvoir poursuivre, sur le long terme, l’entretien et l’utilisation du matériel. Dans cette dynamique, les équipes du projet et de l’hôpital collaborent de manière étroite afin de garantir une implémentation pérenne et de long terme.  « Les équipes soignantes accueillent très positivement l’arrivée de la digitalisation car ils espèrent pouvoir être plus rapidement en contact avec d’autres centres de santé plus éloignés mais surtout se concentrer sur leurs tâches médicales plutôt que devoir se perdre dans beaucoup de dossiers papiers. »Découvrez son témoignage en vidéo en cliquant ici.***Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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  • Digitalisation des hôpitaux au Burundi : une amélioration de la vie de l’hôpital ?

    Digitalisation des hôpitaux au Burundi : une amélioration de la vie de l’hôpital ?


    Philippine DE BRUYN | 22/09/2022

    Au Burundi, le projet de Résilience au COVID-19 par la digitalisation (RESICODI) appuie des solutions existantes dans le système de santé avec de nouveaux outils numériques dans le but de les renforcer et garantir un service de qualité aux patients et personnel soignant.Spès caritas Ndayishimiye, gestionnaire de projet d’appui au système national d’informations sanitaires (Enabel), nous explique en quoi consiste l’approche de digitalisation du projet.Mise en place de 3 activités principales Mise en place des tableaux de bord COVID-19 en vue d’une prise de décision éclairée en matière de COVID-19 Informatisation de 4 hôpitaux en mettant un accent particulier sur les aspects de COVID-19 Formations à l’attention des différents prestataires basées sur le e-learning et tous les aspects COVID-19 tels que la prise en charge, la sensibilisation ou encore l’hygiène La digitalisation, un atout pour les services de santé ? En étant en contact permanent avec les institutions de santé, il est maintenant clair que la digitalisation s’impose comme une plus-value pour le système existant. Tout d’abord, grâce à certains outils numériques, le circuit du patient est réduit et sa prise en charge est facilitée dans la continuité. Ensuite, pour le personnel soignant, les tâches sont également moins redondantes. La centralisation des informations permet de laisser le personnel hospitalier sur des questions cruciales sans se perdre dans de nombreux documents et tâches administratives. D’autre part, la gestion des ressources financières et médicamenteuses est également automatisée et permet de gagner en transparence. En termes de prestations, tout est centralisé avec des tarifs corrects, ce qui peut éviter de nombreux litiges.   “La digitalisation, même si nous nous trouvons dans un contexte de pays fragile avec certaines conditions incertaines comme la disponibilité d’énergie, apporte une plus-value dans le secteur de la santé.”Un défi majeur : garantir la pérennité des actions de digitalisationLa digitalisation génère une plus-value financière, il dès lors important de pouvoir sensibiliser les hôpitaux à cette plus-value et que celle-ci ne soit pas directement dépensée. C’est pourquoi, en mettant en place les solutions numériques, les équipes sensibilisent l’hôpital sur les implications d’installation d’un tel matériel (entretien, réparations…) et qu’il est nécessaire de prévoir des lignes budgétaires à cet effet.“Nous espérons qu’avec une digitalisation à plus grand échelle dans le secteur des soins de santé, le marché local arrivera à disponibiliser du matériel pour que les hôpitaux parviennent à s’approvisionner localement sans être dépendants de l’importation.”En ce qui concerne les ressources humaines, la formation est primordiale. Formation du personnel utilisateur mais également des informaticiens qui doivent soutenir l’administration et l’installation du système. Un véritable plaidoyer est mis en place pour que chaque hôpital puisse disposer d’un informaticien au sein de son équipe. La formation certifiante (CISA) organisée en présentiel et spécifique aux besoins rencontrés dans le secteur.Découvrez en images le témoignage de Soeur Lamberta Nakabandi (Hôpital Sainte-Thérèse de Gitega) en cliquant ici.***Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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    Belgium BEL2000611SP1

  • Renforcer le système d’enseignement au Burundi par des outils digitaux, une véritable bonne idée ?

    Renforcer le système d’enseignement au Burundi par des outils digitaux, une véritable bonne idée ?


    Philippine DE BRUYN | 22/09/2022

    Au Burundi, dans le cadre d’un projet de résilience au COVID-19 par la digitalisation (RESICODI) co-financé par l’Union Européenne, 8 centres de formation des métiers sont en phase de lancer leurs nouveaux outils digitaux et permettre aux apprenants d’appréhender de nouvelles techniques numériques. En quoi cela a-t-il un impact sur l’organisation du centre et des enseignants ? Qu’en pensent les apprenants ? Découvrez au travers de témoignages variés les défis et attentes que représentent cette transformation.“J’espère que le centre de formations de Rutana fera office d’exemple pour les autres centres et écoles des alentours. En organisant des visites régulières avec d’autres apprenants et formateurs des écoles aux alentours, nous espérons que l’envie d’apprendre des nouvelles technologies puisse toucher un public plus large et que les communautés prennent conscience de l’importance de l’intégration du numérique dans l’enseignement.” - Siméon NGENZEBUHORO, Directeur Provincial de l’Enseignement de Rutana (DPE)  “Enabel nous a appuyé dans le processus de création de contenus qui se trouvent par la suite dans les serveurs. Grâce à ces outils nous avons maintenant accès à distance à beaucoup de ressources sans devoir faire de nombreux kilomètres. Cela va vraiment nous aider dans la qualité de l’enseignement” - Jean Népomuscene NAHIMANA, Directeur technique (CPF Buterere)  “Dans notre secteur de l’enseignement des métiers qui peut sembler moins attrayant au Burundi, nous espérons que les outils numériques vont rendre certaines filières plus attractives et que les apprenants seront encore plus motivés. (…) Nous avons déjà organisés des visites de sensibilisation pour les inciter à venir fréquenter et découvrir notre centre. Nous espérons qu’en plus d’inspirer les futurs apprenants, ce sera aussi une opportunité pour les enseignants de venir préparer leurs cours et intégrer le numérique dans leur enseignement.” - Claver NITUNGA, Directeur du Centre d’Enseignement des Métiers de Gitaba  “Je suis d’avis que les outils qui sont arrivés dans notre centre vont nous faciliter la vie dans notre travail quotidien. Ce n’est pas une charge de travail supplémentaire. Cela va nous permettre de réaliser plus de recherches, approfondir nos cours et en même temps permettre aux apprenants de se familiariser avec l’outil numérique. (…) Cela me donne un véritable avantage au niveau de la profession et je n’ai pas envie de revenir à l’ancienne méthode. Maintenant je peux exploiter le manuel à disposition mais aussi des ressources complémentaires qui permettront de compléter ce qui est prévu dans le manuel pour corriger les lacunes ou permettre de mieux s’adapter aux exigences futures.” Fidèle NIYONKURU, Formateur non-ICT (CFP Mugerama)  “Je pense qu’il est important que nous disposions dans le futur des équipements suffisants et beaucoup de formateurs qui s’y connaissent en technologies de l'information et de la communication (TIC), sans oublier la sensibilisation d’autres jeunes sur l’importance de la digitalisation.” Linka Niganze - Apprenante (CPF Buterere)  “En ce qui concerne l’entretien du matériel, je suis persuadé que l’école va pouvoir s’arranger pour assurer une maintenance avec les profits ramenés de chaque filière. De plus, avec la formation que j’ai suivie j’ai pu développer certaines compétences en entretien de matériel informatique. En tant que formateur, je veux aussi m’engager à garantir l’utilisation et le bon fonctionnement du matériel de la salle informatique. Il sera aussi important de sensibiliser les apprenants et la direction de l’école à ne pas endommager et préserver ce que nous avons reçu. Nous avons donc transmis des doléances au directeur afin de nous procurer le bon matériel d’entretien également.” - Frederic MINANI, Formateur ICT (CFP Mugerama)“Depuis que le numérique a été intégré dans l’enseignement de notre centre, il y a eu une véritable valeur ajoutée par rapport à la qualité de la formation. L’apprentissage devient facile car il peut être matérialisé par une vidéo sur le serveur Ideas Cube.” - Joselyne NIYOMWUNGERE, Formatrice (CPF Buterere)Découvrez les différents témoignages en vidéo en cliquant ici.Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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    Belgium BEL2000611SP1

  • Bibliothèques numériques au Burundi - 4 questions à Arthémon Bayisaba, Chargé de Projets Formation Professionnelle chez Bibliothèques sans Frontières

    Bibliothèques numériques au Burundi - 4 questions à Arthémon Bayisaba, Chargé de Projets Formation Professionnelle chez Bibliothèques sans Frontières


    Philippine DE BRUYN | 22/09/2022

    Dans le cadre du projet de Résilience au Covid-19 par la digitalisation (RESICODI), Enabel collabore au Burundi avec l’ONG Bibliothèques sans Frontières. La semaine de sensibilisation au numérique organisée dans plusieurs provinces fut une opportunité de rencontrer Arthémon Bayisabe et d’échanger avec lui au sujet du partenariat entre Enabel et l’ONG.Comment le partenariat avec Enabel a-t-il vu le jour ?Il faut savoir que le partenariat n’est pas nouveau. D’après moi, il existe depuis déjà 2016-2017. Ça s’est principalement matérialisé par un déploiement des bibliothèques numériques dans les centres d’enseignement des métiers avec l’objectif de redynamiser ces centres par des supports et des ressources pédagogiques innovantes mais surtout adaptées au contexte de la formation professionnelle. Bibliothèques sans Frontières vient donc davantage comme un appui avec du contenu spécifique et adapté au contexte de l’enseignement des métiers au Burundi.Comment les centres partenaires accueillent-ils ces solutions ? Au niveau de l’enseignement des métiers, on enseigne généralement dans le classique c’est-à-dire que la théorie, c’est la pratique. Avec l’arrivée de ces bibliothèques, les centres ont vu une concrétisation de la théorie pour pouvoir avancer avec les pratiques parce qu’on utilise un nouveau matériel tel que les projecteurs et les tablettes.  Quel est le plus gros défi ? La limite de temps. Je vois dans mon travail au jour le jour que la digitalisation est un véritable changement dans les habitudes et que cela nécessite du temps pour que les personnes utilisent le matériel et que la solution soit pérenne sur le plus long terme. Si les ressources ne sont pas bien implémentées, ma crainte c’est que par la suite le matériel soit mal entretenu voire plus du tout utilisé. C’est pourquoi il est très important de continuer à sensibiliser les gens.  La digitalisation dans ce cas n’est-elle pas une charge de travail en plus pour les formateurs qui doivent adapter leurs manières de travailler ?Premièrement il faut savoir que nous avons un problème dans le pays car la plupart des communautés n’ont pas facilement accès à l’information et à la formation. Via ces outils numériques donnés par Enabel c’est vraiment une plus-value. Ça permettra à toute cette région, population plus reculée d’avoir accès à ces informations.  Dans le cadre du projet RESICODI, je dois dire que je suis enchanté car l’approche mise en place a permis aux centres de bien utiliser les ressources. Je peux le voir de mes propres yeux, ça ajoute une qualité supplémentaire à l’enseignement. D’ailleurs, dans le centre que nous sommes en train de visiter à Gitaba, la présentation du kit des bibliothèques numériques a été réalisée par un élève, pas un enseignant donc vous voyez que c’est une solution qui bien appréciée. Quelques mots au sujet de la dynamique entre Enabel et BSF (Paulien Caeyers, Experte junior en digitalisation pour le développement)L’installation des Ideas Cubes dans les 8 centres au sein du projet RESICODI est la dérivation d’une pratique existante au Burundi : les bibliothèques numériques dans les Centres d'Enseignement des Métiers (voir projet ACFPT « Appui Complémentaire à la Formation Professionnelle et Technique"). Au sein d’ACFPT, 13 kits Koombooks (ancienne version de l'Ideas Cube) avaient déjà été installés en 2018. La principale leçon tirée de ces installations est que l'accueil de cet outil dépend fortement du contenu proposé. Un formateur qui trouve le matériel sur le serveur pertinent pour son cours sera prêt à adapter sa pratique quotidienne d’enseignement pour y insérer des contenus digitaux. C'est la raison pour laquelle, dans le cadre de RESICODI, un diagnostic des besoins très approfondi a été prioritaire avant d'entamer l'installation des Ideas Cubes. Pendant plusieurs ateliers, nous avons impliqué les chefs de filières, les directeurs techniques et les experts du Ministère afin d’identifier le contenu pertinent à ajouter aux serveurs. Nous avons même créé 60 nouvelles capsules vidéo sur des thèmes jugés importants qui n’étaient pas encore disponibles dans la base de données de BSF. Ces vidéos sont tournées dans les Centres d'Enseignement des Métiers (CEM) partenaires et chez les artisans locaux.  Grâce à cette attention particulière et l’implication des centres partenaires, nous espérons maintenant que le contenu des Ideas Cubes soit le plus adapté possible aux besoins exprimés par les formateurs. Le fait que les filières enseignées dans les CEM au Burundi sont en grande partie les mêmes et nous sommes heureux d'assister à la synergie des deux projets RESICODI et ACFPT.  Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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  • Ouvrir de nouvelles opportunités professionnelles grâce aux formations en numérique (Burundi)

    Burundi: Ouvrir de nouvelles opportunités professionnelles grâce aux formations en numérique


    Philippine DE BRUYN | 22/09/2022

    Dans le cadre du projet de Résilience au COVID-19 par la digitalisation Ils nous parlent des avantages mais aussi des défis qu’ils entrevoient dans la formation de professeurs aux outils digitaux. (RESICODI), Enabel en tant que partenaire d’implémentation pour le co-financement de l’Union Européenne collabore avec le prestataire de service “Burundi Formation”. Récit d’une rencontre avec Diane Ndayikeza (Directrice Générale des Opérations), Ella Munezero (Formatrice ICT) et Apollinaire Nahimana (formateur non-ICT).Dans le cadre du partenariat avec Enabel, Burundi Formation organise des séances de suivi et d’accompagnement à l’attention des formateurs ICT et non-ICT de Centres d’Enseignement des Métiers et Centres de Formation Professionnelle. Le but est de pouvoir renforcer leurs  compétences techniques et pédagogiques ainsi que se familiariser avec l’utilisation des outils informatiques et numériques afin de pouvoir transférer ces compétences par la suite dans leurs centres respectifs.Pour Ella Munezero, formatrice ICT, “la digitalisation ne s’apparente pas à une charge de travail supplémentaire pour les enseignants”. Pour elle la digitalisation s'apparente donc à une opportunité pour les formateurs car cela leur ouvre de nouveaux horizons dans leur développement professionnel. Ella est confiante sur la suite du processus quand elle voit l’implication des formateurs même après les différentes formations. La formatrice s’enthousiasme de l’ambiance des apprenants pendant les séances d’apprentissage : « Il faut vraiment regarder les apprenants en train de suivre les cours. On dirait qu’ils ont une nouvelle vie, qu’ils ont en quelques sortes développé une nouvelle motivation car on leur a ouvert d’autres horizons».De son côté, Apollinaire Nahimana, formateur non-ICT souligne l’importance d’être conscient des limitations matérielles encore bien présentes dans certains endroits du pays mais de ne pas oublier à quel point il est maintenant crucial de former ces formateurs pour qu’ils puissent transmettre à leur tour leurs bonnes pratiques.  « La découverte des outils numériques a été pour certains une véritable révolution. Certains désiraient même rester pour s’entrainer et faire leurs exercices pendant les moments de pause», précise Apollinaire Nahimana.Quelques mots au sujet de Burundi FormationBurundi Formation est un consortium de coordination et de compétences pour le développement humain durable. En d’autres mots, l’organisation développe des formations sur des sujets divers et variés permettant un meilleur développement des compétences au Burundi. L’organisation a été créée par des partenaires nationaux et internationaux lui permettant de mobiliser des acteurs aux compétences variées et provenant d’horizons divers.Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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  • Enabel impulse l’adoption d'une nouvelle politique pharmaceutique nationale en Mauritanie

    Enabel impulse l’adoption d'une nouvelle politique pharmaceutique nationale en Mauritanie


    Aminata KANE | 21/09/2022

    En septembre 2022, le Conseil des Ministres de la République Islamique de Mauritanie a adopté une nouvelle politique pharmaceutique nationale. Pour aboutir à cet exploit majeur dans un contexte complexe et sur un thème sensible tant d'un point de vue politique que technique, Enabel a appuyé techniquement le Ministère de la santé, et en particulier la Direction de la Pharmacie et des Laboratoires, dans le cadre du Programme AI-PASS2 financé par la Commission Européenne. Ce travail a été fait en synergie avec la Délégation de l'Union Européenne à Nouakchott et avec les autres Partenaires Techniques et Financiers. Avant cette adoption en Conseil des Ministres, la Politique Pharmaceutique Nationale, PPN, et son plan directeur quinquennal avaient été validés techniquement par l’ensemble des parties prenantes (les départements gouvernementaux concernés, les représentants des différentes organisations des corps professionnels de la santé, les administrations centrales du Ministère de la Santé, les représentants des partenaires techniques et financiers), lors d’un atelier qui s’était tenu le 5 juillet 2022 à l’hôtel Monotel à Nouakchott. Cet atelier était organisé avec l’appui de l’Union européenne à travers le Programme d’Appui au Secteur de la Santé (PASS) dans son volet Appui Institutionnel mis en œuvre par Enabel. la Politique Pharmaceutique Nationale, recense les principaux problèmes et les principales parties intéressées dans le secteur pharmaceutique national, elle fait une analyse détaillée de la situation, définit la vision, les objectifs et les stratégies nécessaires pour améliorer la situation pharmaceutique dans le secteur public et privé. Le plan quinquennal est conçu pour traduire en actions concrètes les stratégies de la PPN, et ce pour l’ensemble des différentes fonctions règlementaires pharmaceutiques.


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  • Rwanda TVET Trainer Institute (RTTI), partner in digitalising TVET education in Rwanda

    Rwanda TVET Trainer Institute (RTTI), partner in digitalising TVET education in Rwanda


    Philippine DE BRUYN | 20/09/2022

    Within the framework of the Resilience to COVID-19 Action, Enabel as implementing partner has joined forces with RTTI (Rwanda TVET Trainer Institute) to develop content for TVET centers. To clearly understand what it means to partnership in this kind of context, meet Maria Bernadette M. Ramos, project leader (Senior TVET Specialist).Located at the Integrated Polytechnic Regional Centre (IPRC) Kicukiro, Rwanda Technical Teachers Training Institute (RTTI) has been established in 2018. Since then, this training institute has provided regular updates in technical skills, a boost for vocational and technical teachers who have been using the old curriculum. On a permanent basis the institute hosts over 60 Technical and Vocational Education Teachers for trainings in pedagogical skills in respective areas of profession for a period of two weeks. The objective is to gather teachers to be trained and obtained a specific certification.Within the framework of the RESICODI project, TVET certificate courses are currently being digitalised and uploaded on the Rwanda Polytechnic platform. The aim is support trainers in the implementation of blended learning regarding their teaching approach. From her opinion, this approach could not only benefit students but also teachers that will bring their teaching method to the next level.  As highlighted by Maria Bernadette M. Ramos, the biggest challenges at this point are time and getting access to a good connection and infrastructures in every district. Nevertheless these limitations do not discourage RTTI and Enabel in their joint efforts to deliver qualitative and easy content for senior teachers. About RESICODI (Resilience to COVID-19 through digitalisation)In response to the global crisis caused by the COVID-19 pandemic, the European Commission and the High Representative announced an EU global response strategy to fight the pandemic in April 2020. Part of the EU COVID-19 emergency response is the Action “Resilience to COVID-19 through Digitalisation” (RESICODI). This Action is co-funded by the European Union and the German Federal Ministry of Economic Cooperation and Development (BMZ) and is jointly implemented by Enabel and GIZ (Team Europe Approach).


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  • Boosting digital literacy, what does it mean? - Partners and actors of the Resilience at COVID-19 through digitalisation project (RESICODI) give their

    Boosting digital literacy, what does it mean? - Reactions from partners and actors of the RESICODI Action (Rwanda)


    Philippine DE BRUYN | 20/09/2022

    COVID-19 highlighted limits in the traditional way of teaching. The digital transformation for increased resilience has not been self-evident everywhere, with the digital divide only becoming more apparent. Eastern and Southern African countries had at that time also temporarily closed educational institutions, affecting learners at all levels. Lack of continued quality education dramatically deepened existing social inequalities and might even destabilise societies in the future. In 2020, 82 % of learners in sub-Saharan Africa did not have access to the internet. As countries are exploring the use of e-learning, many are lacking sufficient support to provide quality digital education aligned with the national curricula that reaches a large proportion of pupils and students and ensure inclusive access for rural populations.The start of the school year is a good opportunity to discover the activities and infrastructures that have already been implemented, but above all to get the opinion of partners, school directors and teachers directly affected by these initiatives.  “Thanks to this software (Moodle in combination with H5P) I can now create my own content and use new technological tools. It allows me to facilitate my daily tasks and create more interactions with my colleagues.” Marie-Rose Abayisenga – CBA VERIFIER (Competence based Assessment), IPRC Kitabi.“During the trainings I have realised that using digital content and tools make my course more interactive. It allows me to give some tasks to students remotely and then giving concrete feedback. We have created more interactions between trainers and trainees and I find it very pleasant. (…) Besides I can say that we are now in a good stage in the learning process because I’ve followed more trainings than my colleagues and can share now my knowledge with them. They know we can collaborate and they can ask for my support.” Gedeon Manirakiza – Lecturer, IPRC Kitabi “It is really important that our teachers can follow ICT trainings and discover more on how digitalisation can assist them in their work. With the new classroom we hope that our students will also be able to develop new techniques and share knowledge aligned with the requirements of the modern world.” Simon Habanabashaka, Kanyinya TVET School Manager“Digitalising the existing content for TVET trainers should allow trainees to be more resilient and flexible when it comes to teaching new approaches. We also hope that digitalised content will add quality in TVET education.” Maria Bernadette M. Ramos, project leader (Senior TVET Specialist) - Rwanda TVET Trainer InstituteAbout RESICODI (Resilience to COVID-19 through digitalisation)In response to the global crisis caused by the COVID-19 pandemic, the European Commission and the High Representative announced an EU global response strategy to fight the pandemic in April 2020. Part of the EU COVID-19 emergency response is the Action “Resilience to COVID-19 through Digitalisation” (RESICODI). This Action is co-funded by the European Union and the German Federal Ministry of Economic Cooperation and Development (BMZ) and is jointly implemented by Enabel and GIZ (Team Europe Approach).


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  • Train the trainers: 4 questions to Gedeon Manirakiza and Fulgence Hagumubuzima, lecturers at IPRC Kitabi (Rwanda)

    Train the trainers: 4 questions to Gedeon Manirakiza and Fulgence Hagumubuzima, lecturers at IPRC Kitabi (Rwanda)


    Philippine DE BRUYN | 20/09/2022

    Gedeon Manirakiza and Fulgence Hagumubuzima are lecturers at IPRC Kitabi and have both been following trainings to not only being able to navigate in the new e-learning platform implemented in their school but also to create their own content and guide their colleagues. While Gedeon started some months ago, Fulgence, his colleague just joined the training. How do they collaborate? What do they see as benefits in digitalisation for education? Thanks to their answers, take a closer look into those activities, led by the Resilience to COVID-19 through digitalisation (RESICODI) project, at IPRC Kitabi. Can you shortly present yourself? Gedeon Manirakiza: I am assistant lecturer in forestry department, especially in forestry resources management, at IPRC Kitabi. Fulgence Hagumubuzima: I am a researcher in forestry department, I actually teach various courses including agroforestry, forest plantation for different levels. I joined the school in 2015 as a student and I am now currently working as lecturer. When did you start the trainings? What was your opinion at the beginning? G.M.: A few months ago, Enabel team came to offer us a specific training process on Digital Content Development. It came actually with the aim of supporting us to teach online due to the various circumstances we had to face with the COVID-19 pandemic. It arrived at that a time when it was difficult to stay in touch with our students and we did not really know how to not stop the learning process. I am really thankful for that initiative even if I have to admit that I was not sure digitalisation could help us in this scenario as a lot of students do not have access to a good internet connection.F.H.: I’ve joined the training on digital content development a bit later than my colleague Gedeon. Actually, I heard from him and other colleagues who had been following the training that the online platform was really helpful to stay in touch with students and create more interactions with them. My expectations are therefore quite high because I really want to learn about the value and impact that digitalisation can have on my courses and students. How does digitalisation change your teaching approach? Do you see any benefits or challenges?G.M.: On the one hand thanks to this new approach, I have realised how digital content can make my courses more interactive. It allows us to give (remotely) some tasks to students and they can take some time to make research and produce qualitative work. At the same time it has reduced the distance between me and my class, the interactions between trainer and trainees are more pleasant. On the other hand, I am now at a stage where I can offer support to my colleagues and guide them into the process of using the platform and developing their own content. F.H.: At this point, as I have only been following some days of trainings I cannot say precisely what it is going to change but I have my opinion about it. I suppose, from what I have seen, that this platform and online content will allow me to guarantee a continuity in teaching. During the COVID-19 pandemic, as everybody had to stay home it was not a great period for teaching, interactions were almost impossible and it was really frustrating. I am sure it will allow students to learn quickly and be more reactive when it comes to using digital tools. Then I think that I will see a great opportunity to optimise time management for students and teachers by improving the quality of the content and make sure at each step that students are still following and understanding the course. What are your expectations for the future?G.M.: At this point I am glad that I can create my own digital courses and upload it on the platform. I also know how to add quizzes and various assignments for my students. Nevertheless it will be far more important in the future to be able to monitor the attendance and evolution of my classes.F.H.: I do expert to become an expert in the platform. I have to stay that I am really confident and glad that the program has focused at first on some colleagues as Gedeon. They are now experts and can quickly give support and answer to our questions. I am very motivated to soon be able to develop the same skills as them and then be able to help my colleagues if they are stuck with the platform. I am setting some personal objective to master the platform and hope I will be soon able to present my own courses online.


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